Ancien élève de l'École nationale d'administration (ENA, « promotion Simone Weil »), chargé, entre autres questions, au Secrétariat général de la Défense nationale, des problèmes concernant l'enseignement de défense et les relations avec les universités. Il est également le collaborateur du Professeur Pierre Dabezies à l'ENA.
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L'étude de la défense sous tous ses aspects, politiques, stratégiques, économiques, juridiques, etc., n'est-elle pas une affaire passionnante ? C'est ce qu'affirmait le général de Gaulle lors de l'une de ses dernières visites à l’École militaire. Et puis cette défense ne fait-elle pas partie du « programme commun » de tous les Français ? Autant de raisons militant en faveur de l'enseignement de défense aux divers niveaux de notre système d'éducation nationale. Certains universitaires l'ont compris et l'on voit de nos jours se développer à Paris et en province des « Centres d'études de défense » grâce auxquels le fossé séparant l'armée de l'université est en train de se combler. Cet article fait le tableau actuel de l'enseignement de défense en France, et le compare aux réalisations étrangères actuelles (États-Unis, Grande-Bretagne et République fédérale d'Allemagne – RFA) sur lesquelles nous avons un retard certain.
À propos de l'ouvrage de Jean-Pierre Boivin, L'organisation territoriale de la défense nationale.
Dans une précédente chronique (décembre 1974, p. 147), nous avions évoqué, à l'occasion de la Xe Session du Conseil supérieur de la fonction militaire, le rôle que cet organisme était appelé à jouer dans le développement de l'information et de la concertation au sein des armées pour tout ce qui touche à la condition militaire. Le travail important accompli depuis quatre ans par le Conseil supérieur semble encore mal connu. Nous avons donc jugé opportun de revenir sur ce sujet avec le secrétaire général du CSFM.
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