Ancien sous-chef d’état-major de l’Armée de terre, ancien directeur de la Direction centrale du matériel de l’Armée de terre et de la Structure intégrée de maintien en conditions opérationnelles des matériels terrestres.
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La LPM veut préserver l’ensemble des modes d’action que nos armées maîtrisent tout en prenant en compte les nouvelles menaces et les enseignements tirés notamment de la guerre en Ukraine. C’est aussi adapter nos capacités industrielles dans la durée. Pour l’Armée de terre, ses qualités comme la réactivité et l’agilité doivent être renforcées pour répondre à tous les scénarios possibles d’engagement. Lire les premières lignes
Les armées ont été soumises à un processus permanent de réformes ayant mis en cause les fondements du fonctionnement des forces tant au quotidien qu’en opération, avec des pertes de savoir-faire pénalisant la conduite et le soutien des unités engagées. Il faut réfléchir désormais à des approches plus innovantes et répondant aux besoins militaires. Lire les premières lignes
La Politique d’emploi et de gestion des parcs (PEGP), initiée il y a une décennie, a été et reste un enjeu majeur pour l’Armée de terre et son aptitude opérationnelle. Malgré la complexité de cette réforme dans un contexte particulièrement difficile, la PEGP permet de répondre aux exigences actuelles marquées par l’engagement de nos forces. Lire les premières lignes
La réforme du maintien en condition des matériels terrestres ne doit pas être appréhendée par la seule restructuration qu’elle entraîne, principalement au sein de l’Armée de terre. Pour atteindre effectivement son but de modernisation dans un contexte opérationnel et économique exigeant, elle suppose de relever le double défi d’un partenariat industriel innovant et d’une approche financière dépassant les limites de la segmentation budgétaire que la mise en œuvre de la Lolf n’a pas fait disparaître.
La politique d’emploi et de gestion des parcs (PEGP) n’est plus à présenter. Volontiers caractérisée par la seule réduction des équipements laissés à la disposition des régiments, elle est alors ressentie comme le « mal nécessaire » que l’Armée de terre aurait choisi plutôt que de poursuivre un combat trop incertain pour la conquête des ressources financières nécessaires au renouvellement et à l’entretien de ses équipements. Cette approche révèle une méconnaissance profonde des conditions générales dans lesquelles s’envisage l’exécution des missions de l’Armée de terre au cours des quinze prochaines années, et occulte le caractère éminemment stratégique de cette révolution dans son organisation et son fonctionnement.
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