Ancienne auditrice de l'Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN), elle a été professeur agrégée d'histoire et de géographie au lycée Henri Wallon d'Aubervilliers, présidente du Cercle d'études pour la géostratégie et la défense, et chargée de recherches à la Fondation pour les études de défense nationale (FEDN).
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L'auteur profite de la réforme du service national pour évoquer un thème qui lui est cher et qu’elle avait déjà abordé : éducation civique et défense. Ses réflexions sont particulièrement pertinentes, mais ses idées sont-elles partagées par les enseignants ?
À la lumière de tous les événements de ces dernières années, l'auteure nous fait part de ses espérances et de ses craintes sur cette « poudrière » qu'est la région du golfe Arabo-Persique.
L'auteure développe les questions de coopération et de sécurité dans ce « lac » qu'est la Méditerranée. Notant la différence entre les bassins oriental et occidental de celle-ci, elle considère que l'Europe et la France particulièrement ont un rôle majeur à jouer dans l'instauration d'une coopération étroite et indispensable avec le Maghreb.
L'auteur a beaucoup œuvré pour la mise en place de communications fructueuses et durables entre l'Éducation nationale et la Défense. Ici, elle appelle notre attention sur l'évolution qui se fait jour dans l'opinion publique française en raison des changements à l'Est et des négociations de désarmement ; perspicace, elle nous incite à la vigilance.
Le nouveau protocole d’accord Défense-Éducation nationale, signé le 25 janvier 1989 par M. Lionel Jospin, ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, et M. Jean-Pierre Chevènement, ministre de la Défense, réaffirme que l’École et la Défense ont un même objectif : la liberté. Lire la suite
L'auteure poursuit sa tâche d'information en nous faisant part de ses réflexions sur l'évolution des rapports qui se sont développés entre l'éducation nationale et la défense. On pourra rapprocher ce texte de celui du général Chavanat, publié dans notre livraison de mars 1989.
L'auteur nous apporte ainsi le témoignage de sa conviction profonde : la défense est l'affaire de tous les citoyens. Après nous avoir précédemment décrit les expériences heureuses qu'elle a conduites dans l'enseignement sur ce sujet, elle aborde ici le délicat problème des rapports des femmes avec la défense nationale : réflexions intéressantes et « percutantes » comme à l'accoutumée.
L'auteure nous avait fait connaître ses réflexions en avril 1985 sur une mission qu'elle s'était assignée avec une grande conviction : enseigner la défense aux élèves. Nos lecteurs apprécieront ce nouveau témoignage où elle décrit, avec force et un franc-parler certain, d'une part les raisons des divergences entre le monde de l'éducation et celui de la défense, d'autre part et surtout l'évolution tout à fait favorable qui se fait jour depuis quelque temps déjà dans leurs relations. Son optimisme est fort encourageant.
Ancienne auditrice de l'Institut des hautes études de la défense nationale, l'auteure, professeure d'histoire et de géographie au lycée Henri Wallon d'Aubervilliers, a mis à profit les connaissances qu'elle a acquises lors de la session nationale pour expérimenter un enseignement de la défense dans les classes du secondaire. Elle nous donne ici son témoignage et, en outre, esquisse les méthodes qui seraient susceptibles de faire évoluer les mentalités.
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