(1903-1995) Officier de marine français. Il s'illutre pendant la Seconde Guerre mondiale à la tête du Régiment blindé de fusillers marins. Capitaine de frégate, il commande le centre d'instruction aux opérations amphibie avant de devenir capitaine de vaisseau en 1947. Il a commandé la Marine au Tonkin et termine contre-amiral.
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De la nécessité d’organiser : a) une grande communauté française, comme contrepoids à la Fédération européenne ; b) une force nationale d’intervention outre-mer, comme contrepartie de l’Armée européenne. Il n’a été traité, dans cet article, que la participation de la Marine à une force nationale outre-mer. Il est bien certain que les forces non européennes et non Otan des Armées de terre et de l’air (en particulier l’Armée d’Afrique et l’Armée coloniale) entreront dans l’amalgame de cette force. Lire les premières lignes
Une fois de plus, le problème capital de la stratégie française est la défense des frontières de l’Est. Une fois de plus, le rôle principal échoit à l’Armée de Terre. C’est une tâche écrasante qu’elle ne peut assurer toute seule. Si elle a besoin de l’aide européenne et alliée, à plus forte raison doit-elle compter sur l’aide des deux autres Armées. Celles-ci doivent par conséquent lutter contre la dispersion de leurs efforts et chercher dans la répartition de leurs missions, l’emploi de leurs forces et le choix de leurs armes, à donner à l’Armée de Terre l’aide la plus efficace. Cette étude se place donc sur le terrain de la collaboration interarmées, à ce carrefour où suivant de vieilles préventions, chaque Armée ne s’aventure qu’avec la crainte de se faire dépouiller, et la conviction qu’elle n’a rien à gagner. Lire la suite
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