L'auteur est un ancien élève de l'École Polytechnique qui tient à garder l'anonymat. Son article n'engage nullement la hiérarchie militaire et n'a d'autre ambition que de faire partager au lecteur le fruit de réflexions qui ne prétendent pas d'ailleurs à la rigueur scientifique. Rappelons enfin – le ministre de la Défense l'a encore affirmé récemment – que la France n'envisage pas de se doter de la bombe à neutrons.
Qu'est-ce que l'arme à neutrons ? Effets et emplois possibles
L’auteur est un ancien élève de l’École Polytechnique qui tient à garder l’anonymat. Son article n’engage nullement la hiérarchie militaire et n’a d’autre ambition que de faire partager au lecteur le fruit de réflexions qui ne prétendent pas d’ailleurs à la rigueur scientifique.
Rappelons enfin – le ministre de la Défense l’a encore affirmé récemment – que la France n’envisage pas de se doter de la bombe à neutrons.
L’arme à effets de radiations renforcées, ou « bombe à neutrons », n’est sans doute qu’en hibernation, car il serait facile pour les États-Unis d’en lancer la production en série s’il s’avérait que l’URSS venait à s’en doter. On peut gager d’ailleurs qu’alors – et comme jadis pour la bombe thermonucléaire russe après le 12 août 1953 (1) – cette arme perdrait vite dans l’esprit de certains de ses actuels détracteurs son caractère « immoral et diabolique »…
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