Conclusion
L’heure met un terme à cette soirée d’études, et la part m’incombe maintenant d’exprimer nos remerciements aux intervenants. Je les exprime à Mme Véronique Riches qui a su remarquablement montrer le contraste entre les progrès récemment accomplis par l’économie britannique et les problèmes de fond qui demeurent et qui soulèvent bien des interrogations passionnantes pour quiconque s’intéresse à l’économie contemporaine. Je remercie Mme Monica Chariot que tant d’entre nous connaissent déjà pour ses travaux sur la société britannique.
Il est assez rare mais particulièrement précieux, comme on le voit aujourd’hui, que les discussions et les études que nous effectuons mettent autant en valeur l’importance de l’évolution sociale en profondeur et des données concernant le fonctionnement de la société elle-même ; et nous mesurons, à l’écoute de son exposé, le poids dont ces évolutions pèsent sur la texture même des nations et sur leur comportement autant intérieur qu’extérieur.
M. l’ambassadeur, c’est à vous que nous devons des remerciements très particuliers ; d’abord pour la clarté de votre intervention et pour l’amabilité, la gentillesse dont vous avez fait preuve en acceptant de venir parmi nous, la tolérance et l’indulgence que vous avez témoignées en participant à un débat dont vous saviez à l’avance qu’il serait très libre. ♦