Depuis 2000, l'usage des fausses identités est de plus en plus répandu dans toutes les sociétés occidentales. L'identité d'un individu n'est plus fixe ni immuable. Cela ouvre grand la porte aux réseaux criminels, qu'il s'agisse du terrorisme ou des mafias mondialisées. L'explosion de la criminalité identitaire est telle qu'elle commence dès à présent à entraîner le fonctionnement des États de droit dans le chaos. Le nom patronymique n'est plus fiable comme identité des personnes. Seule solution : revenir vers la biométrie multi-modale, ce mode d'identification animal que nous utilisons depuis toujours sans le savoir.