Agrégée d’histoire, docteur ès Lettres, directeur de recherche (E) au CNRS, auditrice (29e session) à l’IHEDN. A notemment publié L’Amérique des néoconservateurs : l’Empire a-t-il un avenir ? (Ellipses, novembre 2004).
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Examen des avantages et des inconvénients de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne tels qu’ils ressortent d’ouvrages ou d’articles récents, mettant en évidence les risques que cette adhésion présente pour l’Europe.
Les ambitions géostratégiques des États-Unis sont d'une grande clarté, mais la stratégie précise qu'ils veuilent mettre en place pour assurer leur organisation de la sécurité prête à discussions. C'est ainsi que s'exprimer Mme Denise Artaud après avoir analysé soigneusement la politique américaine à l'égard de l'Europe au cours de ces années.
Le Club États-Unis, un groupe d'anciens auditeurs de l'IHEDN (D. Artaud, J. Caplain, F. Moreau de Balasy, M. Pauwels, D. Porquet, J. Rémus, G. Tixier, J. Villard, B. Willi), a suivi depuis l'automne l'évolution des rapports entre les États-Unis et l'Europe occidentale. Il livre ici, sous la plume de Denise Artaud, le résultat de ses recherches et de ses réflexions. Nos lecteurs apprécieront, à la suite d'une étude approfondie, une conclusion sans doute sévère mais parfaitement justifiée et pleine de bon sens.
Après le changement de président aux États-Unis et le discours d'investiture de Bill Clinton, voici les impressions et réflexions d'une spécialiste sur l'évolution possible de la seule superpuissance restante. Cet article est d'ailleurs en quelque sorte le prélude à notre journée d'études, qui aura lieu fin mars sur le thème : « L'Amérique de Clinton », et où l'auteure prendra d'ailleurs la parole. Lire les premières lignes
En novembre 1988, à l'occasion du 25e anniversaire de la mort de Kennedy, l'auteure, directrice de recherches au CNRS et spécialiste des États-Unis, avait analysé les conséquences de la guerre du Vietnam sur un quart de siècle de politique américaine. Maintenant que la guerre du Golfe a été brillamment gagnée, il semblerait que le syndrome vietnamien soit en partie effacé, et nous retrouvons une opinion publique américaine renforcée dans ses convictions sur la grandeur retrouvée des États-Unis. L'auteure nous explique toutefois que tout n'est pas si simple et qu'il reste bien des interrogations dans la politique américaine : qu'en est-il du nouvel ordre mondial, de la Pax americana, d'une éventuelle doctrine Bush… ?
À l'occasion d'un colloque organisé par le SGDN et ayant pour thème « Économie de défense et désarmement », l'auteure a fait une communication fort intéressante sur les sanctions économiques appliquées au Nicaragua par les Américains.
Vingt-cinq ans après la mort de Kennedy, responsable de l'engagement américain au Vietnam, l'auteure analyse les raisons de l'échec de ceux-ci dans une guerre qui a laissé des traces profondes – et pourtant, maintenant, quel est l'Américain qui n'est pas allé au Vietnam ?!! –, et dont les enseignements, fort bien dégagés par l'auteure, éclairent bien des aspects de la politique actuelle de la Maison-Blanche. Lire les premières lignes
Directrice de recherches au CNRS et spécialiste des questions américaines, l'auteure nous apporte des précisions sur l'immigration aux États-Unis, et en déduit les conséquences possibles sur la politique étrangère de cette Nation en proie à des courants de pensée – et d'action – susceptibles de préoccuper gravement les Européens, en particulier dans le domaine de leur défense. Lire les premières lignes
Le président Reagan a pris ses fonctions le 20 janvier 1981, après un interrègne de plus de deux mois, particularité des institutions américaines qui avait déjà eu de fâcheuses conséquences lors de l'élection de Lincoln, car les principaux États du Sud en avaient profité pour faire sécession. La nouvelle « administration » va se trouver devant de redoutables problèmes. Fera-t-elle mieux que celle qui vient de quitter le pouvoir ? C'est le problème que cherche à élucider l'auteur.
Selon leurs options politiques, les Européens – les Français en particulier – ont tendance à voir les États-Unis sous les traits de la puissance tantôt généreuse et tutélaire, tantôt impérialiste et égoïste. Ces stéréotypes viennent d'une ignorance de l'histoire et notamment d'une conception erronée du phénomène historique de l'isolationnisme américain. Revoyant à grands traits l'histoire de la politique américaine, l'auteure montre que l'engagement américain procède à la fois d'une croyance en la « destinée manifeste » des États-Unis et d'une interprétation réaliste des rapports de force dans le monde tendant avant tout à préserver leur liberté de décision. Lire les premières lignes
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