(1909-2000) Général français. Polytechnicien, il choisit l’artillerie et sert comme capitaine en Extrême-Orient, en 1939. À l’issue du coup de force japonais du 9 mars 1945, il subit une très dure captivité marquée par des sévices et la torture. Nommé général en 1959, il commande un secteur en Algérie. À partir de 1962, il enchaîne les commandements de la 7e Division, de la 2e Région militaire, puis, enfin, de la 6e Région à Metz, jusqu’en 1970. Promu général d’armée en 1968, il est nommé Secrétaire général de la Défense nationale (SGDN) jusqu’en 1973.
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Dans un précèdent article (v. Revue de Défense Nationale d’octobre 1971), l’auteur avait traité des « Structures de défense nationale ». Il met aujourd’hui l’accent sur la dynamique qui doit animer en permanence, dès le temps de paix, ces structures dont le Secrétariat général de la défense nationale (SGDN) est un élément essentiel : d’où le nom de cybernétique que l’auteur donne à ce système d’aide à la décision gouvernementale en matière de défense. Le présent article est tiré d’un exposé que le général a fait le 15 mai 1973 à l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), quelques semaines avant de quitter son poste de SGDN. Lire les premières lignes
Nombreux sont les décrets et arrêtés qui, depuis l'ordonnance du 7 janvier 1959 portant organisation générale de la Défense, sont venus compléter et préciser l'architecture de ce monument légal sur lequel repose la défense nationale. Mais leur connaissance, en raison même de leur multitude, ne suffirait pas à donner une claire vision de cet ensemble. L'auteur présente de façon simple et claire les structures de la défense nationale en transformant l'exposé qu'il avait fait aux auditeurs de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) le 18 janvier 1971. Lire les premières lignes
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