Auteur : Michel Manel

Colonel

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N° 576 Juin 1996 - Eutosatory 96 - Repères - Opinions - Débats - p. 113-121

Libre opinion - Idéologie « européiste » : utopies et réalités - Michel Manel, Henri Havard

N° 564 Mai 1995 - Repères - Opinions - Débats - p. 57-69

Quelle armée pour quelle politique ? - Michel Manel, Henri Havard

Le projet d'armée mixte combinée dévoilé en 1994 a déclenché un très grand intérêt dans les milieux politique et militaire et encourage à poursuivre la réflexion en y intégrant les nombreuses questions et observations suscitées par cette étude. L'article qui suit, dont la compréhension implique de se reporter à notre livraison d'août-septembre 1994, se propose de préciser pourquoi les structures actuelles et l'état de l'Armée de terre ne répondent pas parfaitement aux problèmes posés par les scénarios du Livre blanc ; le projet amendé présenté par les auteurs constitue une solution possible, sans remettre fondamentalement en cause la loi de programmation militaire, dans le domaine des effectifs : il contribue à une discussion sur un sujet qui est loin d'être épuisé.

N° 556 Août/Sept 1994 - Repères - Opinions - Débats - p. 59-70

Un projet d'armée mixte combinée - Michel Manel, Henri Havard

Cet article est le résumé d'un mémoire intitulé : « Éléments de discussion sur la création de l'armée mixte combinée », fruit de la réflexion commune d'un groupe d'officiers d'active et en retraite – parmi lesquels des officiers généraux – dont les deux auteurs sont les rédacteurs. Il est tenu compte, ici, des observations formulées par plusieurs hautes personnalités politiques et militaires. Lire les premières lignes

N° 437 Novembre 1983 - p. 37-53

Libre opinion - L'Europe des États sanctuarisés - Michel Manel

L'auteur cherche à montrer qu'une dissuasion nucléaire peut couvrir l'Europe occidentale sans qu'il y ait d'autorité politique à l'échelle européenne, car une multiplicité de centres de décision augmente l'incertitude qui règne dans l'esprit de l'adversaire potentiel. C'est effectivement un des avantages de l'existence de forces stratégiques autonomes, françaises voire britanniques. Il est probablement plus difficile de suivre l'auteur quand il conclut que chaque État européen doit se sanctuariser. À part la France et la Grande-Bretagne, peu de pays en possèdent les moyens financiers et techniques, sauf l'Allemagne fédérale qui, par les protocoles du 23 octobre 1954 modifiant le Traité de Bruxelles de 1948, s'est engagée à ne pas construire d'armes nucléaires sur son territoire.

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