Auteur : Zaki Laïdi

D'origine algérienne, chercheur au CNRS et professeur à l'Institut d'études politiques de Paris ainsi qu'à l'Université Johns Hopkins de Bologne, auteur notamment d'une brochure publiée par le Centre des hautes études sur l'Afrique et l'Asie moderne sur « Les Grandes Puissances et l'Afrique ».

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N° 574 Avril 1996 - Guerres et paix au XXIe siècle - Colloque - Guerres et paix au XXIe siècle (organisé par la FED) - p. 33-40

Enjeux de sens et de puissance au XXIe siècle - Zaki Laïdi

N° 396 Février 1980 - p. 85-98

Contradictions africaines et système international - Une analyse « dimentionnelle » des crises et conflits en Afrique - Zaki Laïdi

Cet immense continent africain, qui est à notre porte, est-il promis à de nombreux et importants bouleversements ? L'analyse qu'en fait l'auteur peut nous le faire craindre. Elle fait apparaître des contradictions à l'intérieur de chaque Nation, en raison des crises que traversent les sociétés africaines parce qu'elles ont du mal à s'ajuster à la logique d'un État moderne. D'autres contradictions existent entre États africains dont les frontières sont le plus souvent artificielles, les interventions étrangères donnant une dimension externe à nombre de situations internes. La réflexion à laquelle l'auteur de cet article nous invite, nous touche de très près. Son point de vue mérite la plus grande attention.

N° 383 Décembre 1978 - p. 19-23

Les limites de la pénétration soviétique en Afrique - Zaki Laïdi

L'Afrique offre-telle le champ libre aux dirigeants soviétiques pour y conduire une politique de pénétration idéologique et de déstabilisation ? L'auteur poursuit une recherche sur les grandes puissances et l'Afrique. Sa thèse va, en bien des points, à l'encontre de ce qui s'affirme ici ou là. Pour mener à terme son analyse, il ne prend pas seulement en considération les récents événements mais rappelle les déconvenues de l'URSS en Afrique depuis le début de l'émancipation de ce continent. On voit ainsi succéder à une diplomatie où la dimension idéologique a été non négligeable, une période de repli après l'échec, puis une stratégie du coup par coup mettant à profit les conflits locaux. Ce nouveau dispositif d'intervention au sein duquel Cuba joue un rôle capital est certainement mieux approprié mais est-il pour autant plus efficace ? Une question à laquelle l'auteur répond en mettant en évidence les facteurs qui viennent tempérer l'actuelle politique soviétique en Afrique. Lire les premières lignes

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