Ambassadeur de France en Birmanie depuis 2018. Conseiller « Affaires stratégiques et Asie-Pacifique » du président de la République de 2012 à 2014. Secrétaire permanent pour le Pacifique et ambassadeur auprès de la Communauté du Pacifique (CPS) et du Programme régional océanien de l'environnement (PROE) de 2014 à 2018.
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Les États-Unis ont eu longtemps des approches différenciées dans la région, sans être acteur reconnu à part entière dans les forums. Malgré une présence en Micronésie, Océanie et Indo-Pacifique, confronté à la concurrence chinoise, Washington doit relancer une politique ambitieuse et respectueuse des souverainetés régionales. Lire les premières lignes
Les collectivités françaises d’Océanie sont des actrices essentielles dans la zone indo-pacifique. C’est un atout de premier plan à condition qu’elles participent pleinement à la définition d’une stratégie globale au cœur d’une des zones où le monde se fait aujourd’hui. L’État doit s’appuyer sur cette puissance insulaire. Lire les premières lignes
La politique Indo-Pacifique de la France doit prendre en compte la diversité des territoires dans cette région aux nombreuses interactions. La France est de fait un État insulaire qui doit accroître ses relations en prenant en compte de multiples dimensions pour répondre aux nouveaux défis dont le réchauffement climatique. Lire les premières lignes
Les États insulaires des océans Indien et Pacifique font l’objet de convoitises. Cette raison les pousse à travailler ensemble et à valoriser des institutions régionales qui permettent de mieux répondre aux nombreux défis qui se posent, en particulier autour des coopérations bleues et en valorisant une approche non sécuritaire. Lire les premières lignes
La Chine a de nouvelles ambitions dans le Pacifique, tout en cherchant à y préserver la stabilité en établissant des partenariats avec les pays de la région. L’aide au développement est un des outils permettant un dialogue indispensable pour préserver les équilibres. Lire les premières lignes
L’ouverture du G8 aux puissances émergentes n’a pas renforcé la responsabilité collective au sein du club des administrateurs auto-investis de la communauté internationale. Chacun des nouveaux venus a importé ses biais spécifiques qu’accentue un monde émietté ; ils alimentent un révisionnisme sourd de la gouvernance mondiale, notamment économique et financière. Lire les premières lignes
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Un an après le début de l’invasion de l'Ukraine par la Russie, quel est le bilan de l’action de l’Union européenne, de sa politique de sécurité et de défense et de sa solidarité avec l’Ukraine ? Le centre Europe Direct de la mission Europe du département de Seine-et-Marne initie un dialogue participatif entre le public, des élus et des experts sur le campus de Melun de l’Université Paris-Panthéon-Assas (Paris 2)
Avec la présence de :
Jean-Louis Thiériot, député de Seine-et-Marne, vice-président de la Commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale
Anne de Tinguy, historienne et politologue, spécialiste de la politique étrangère de la Russie et de l’Ukraine
Jean-Vincent Holeindre, professeur de sciences politiques, directeur du Centre Thucydide, centre de recherches en relations internationales (Paris 2)
Modération des débats par Marie-Christine Vallet, journaliste spécialiste des questions européennes.
À 18 h 30, amphithéâtre Reine Blanche du campus de Melun de l’Université Paris-Panthéon-Assas – 19, rue du Château 77000 Melun
Sur inscription : https://www.seine-et-marne.fr/fr/inscription-conference-conflit-russo-ukrainien
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