Auteur : Guy Lacharrière (de)

(1919-1987) Diplomate et juriste français. Directeur des Affaires juridiques au ministère des Affaires étrangères de 1969 à 1979 puis conseiller d'État en service extraordinaire à la 3e Conférence des Nations unies sur le droit de la mer de 1979 à 1982.

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N° 391 Août/Sept 1979 - p. 19-28

Bilan provisoire de la Conférence des Nations unies sur le Droit de la Mer - Guy Lacharrière (de)

Un bilan très positif nous dit l'auteur, spécialiste des affaires juridiques internationales, en ce qui concerne les matières traditionnelles du droit de la mer, mais beaucoup moins satisfaisant, en raison des positions différentes adoptées par le Tiers-Monde et les pays industrialisés, en ce qui concerne l'exploitation du fond des océans (sur ce sujet, voir les articles du même auteur de juin 1977 et août-septembre 1978) et les pouvoirs de l'Autorité internationale qui en serait chargée.

N° 380 Août/Sept 1978 - p. 9-20

Les travaux de la Conférence du Droit de la mer - Guy Lacharrière (de)

S'il est vrai que la conférence sur le droit de la mer est encore loin de l'objectif qui lui a été assigné et qui est d'opérer par une convention la réforme du droit de la mer, la lenteur de cette procédure ne doit pas masquer les progrès très réels qu'elle accomplit sur la voie de la réforme pratique, notamment en produisant des textes de référence qui donnent lieu de la part de certains États à une mise en vigueur immédiate. Ainsi en est-il des zones économiques (ZEE) des 200 nautiques. Au moment où la Conférence va reprendre ses travaux à New York, l'auteur en fait le bilan. Lire les premières lignes

N° 367 Juin 1977 - p. 19-45

La réforme du Droit de la Mer - Guy Lacharrière (de)

Pour un pays comme le nôtre, doté en Europe de façades maritimes développées, exerçant des responsabilités outre-mer et possédant des forces navales, et en particulier nucléaires – dont la liberté de navigation ne saurait être entravée – la 6e session de l'actuelle Conférence sur le droit de la mer qui va s'ouvrir fin mai à New York revêt une certaine importance. Mais celle-ci n'est pas moins grande pour les rapports du Tiers-Monde et des pays industrialisés et d'une manière générale pour l'avenir du droit appelé à régir les rapports internationaux, et par conséquent pour la paix du inonde. Cet article permettra au lecteur de se rappeler l'évolution récente des problèmes du droit de la mer et de sa nécessaire révision, de prendre conscience de leur enjeu, de faire connaissance avec les principales thèses qui vont s'affronter à New York et d'apercevoir les perspectives d'échec ou de succès qui s'offrent à la négociation. Lire les premières lignes

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