Général (2S). Membre du bureau d’EuroDéfense France.
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La réalité de la défense européenne reste modeste au regard des efforts consentis. Or, il est nécessaire de renforcer les capacités actuelles sous-utilisées. Cela peut se faire sans un coût excessif, mais nécessite une volonté politique plus affirmée de l’Union européenne pour être plus autonome dans ses choix stratégiques. Lire les premières lignes
La construction de l’Union européenne est une longue route avec des avancées réelles mais aussi des blocages aux causes multiples. Pour progresser, il faudrait envisager de réviser les Traités européens : un processus politique complexe cependant nécessaire pour répondre aux défis de demain. Lire les premières lignes
L’Union européenne a constaté sa totale dépendance à la mondialisation sur le plan économique et sa très faible autonomie stratégique, l’Otan l’assurant sur le plan de la sécurité. Il est donc urgent et nécessaire de redéfinir ce que signifierait cette autonomie et donc de proposer ainsi un objectif politique. Lire les premières lignes
Comment définir l’autonomie stratégique européenne ? (T 1272)
- Jacques Favin Lévêque - 4 pagesSi le concept d’armée européenne reste complexe à mettre en œuvre, des progrès sont possibles via le principe des coopérations structurées permanentes qui permettraient à certains pays de s’engager ensemble et assurer davantage de responsabilités, préfigurant un nouveau projet européen. Lire les premières lignes
Quel avenir pour l’Europe institutionnelle en proie aux difficultés, à commencer par le Brexit ? Il importe désormais de relancer un projet commun porteur d’espoirs concrets pour les opinions publiques. Le volet Défense pourrait y contribuer car si l’on peut s’interroger sur le bilan de l’Union, les motifs de réussite existent. Lire les premières lignes
Un geste politique significatif pour l’Europe de la défense (T 346)
- Jacques Favin Lévêque - 4 pagesEn vue du conseil européen de fin d’année qui traitera de la politique de sécurité et de défense commune, il est proposé de colocaliser les unités d’un groupe tactique européen pendant toute la durée de son astreinte.
La Coopération structurée permanente (CSP) que prévoit le traité de l’Union est l’objet de toutes les spéculations. Instrument encore inexploité, mais réellement prometteur de la Politique de sécurité et de défense commune, il pourrait, selon l’auteur, être mis en oeuvre de façon progressive, pragmatique et attentive aux spécificités des États-membres. Pour l’esquisser, il expose quelques pistes pratiques. Lire les premières lignes
Le Traité constitutionnel ouvrira aux États membres de l'Union européenne, s’il est ratifié, la possibilité, pour les pays qui souhaiteraient marquer ensemble leur volonté de progresser dans la voie d’une défense commune, d’adhérer à un processus défini sous les termes de Coopération structurée permanente (CSP). Cette structure de coopération, qui sera unique, permettra d’atteindre une capacité de défense à la mesure des ambitions d’une Europe se destinant à jouer un rôle majeur dans l’équilibre géostratégique du monde. Les conditions de participation à la structure de coopération ainsi créée devront être précisées. L’article ci-après, fruit de réflexions au sein d’Eurodéfense-France, propose des critères d’accès suffisamment contraignants pour atteindre le haut niveau d’efficacité opérationnelle souhaitable, mais permettant malgré tout de n’en pas écarter des pays fortement motivés pour la défense commune et ne disposant que de capacités plus modestes.
Synthèse des actes des principaux intervenants du colloque « Politique spatiale et souveraineté européenne », sous la présidence de M. Philippe Douste-Blazy, ministre des Affaires étrangères et président du Grand Toulouse. Ce colloque organisé le 17 novembre 2006 par PanEurope-France, en partenariat avec la ville de Toulouse et la communauté d’agglomération du Grand Toulouse, a pour objet de mettre en évidence les liens qui existent entre la définition et la mise en œuvre d’une politique spatiale, l’indépendance et la souveraineté de l’Europe.
La doctrine française de dissuasion nucléaire n’avait guère évolué depuis son élaboration dans les années 60. Destinée à dissuader toute agression contre les intérêts vitaux du pays, elle ne pouvait jusqu’à présent s’adresser qu’à des pays eux-mêmes dotés d’un armement nucléaire. Ainsi définie, elle jouit depuis plusieurs décennies d’un consensus tacite au plan politique. Le discours que le chef de l’État a prononcé à l’Île Longue le 19 janvier 2006 modifie sensiblement cette théorie de la dissuasion en étendant la possibilité de la menace d’emploi à certains États non nucléaires et en donnant des intérêts vitaux une définition plus large de leur positionnement géographique et de leur nature même. L’article ci-après se propose d’analyser cette importante évolution de la doctrine française. Il en souligne la pertinence, mais il met également en garde contre sa relative fragilité dans l’environnement géopolitique de la France en 2006.
Le Traité constitutionnel, ouvrira aux États-membres de l'Union européenne, s'il est ratifié, la possibilité, pour les pays qui souhaiteraient marquer ensemble leur volonté de progresser dans la voie d'une défense commune, d'adhérer à un processus défini sous les termes de Coopération structurée permanente (CSP). Cette structure de coopération, qui sera unique, permettra d'atteindre une capacité de défense à la mesure des ambitions d'une Europe se destinant à jouer un rôle majeur dans l'équilibre géostratégique du monde. Les conditions de participation à la structure de coopération ainsi créée devront être précisées. L'article ci-après, fruit de réflexions au sein d'Eurodéfense-France, propose des critères d'accès suffisamment contraignants pour atteindre le haut niveau d'efficacité opérationnelle souhaitable, mais permettant malgré tout de n'en pas écarter des pays fortement motivés pour la défense commune et ne disposant que de capacités plus modestes.
Loin de toute intention polémique, l'auteur, directeur de l'Enseignement militaire supérieur scientifique et technique (EMSST), a voulu apporter une vision particulière dans le débat ouvert par les bouleversements géostratégiques de ces dernières années, et proposer une voie de réflexion originale.
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