Commissaire en chef de 1re classe, chef de la section « Juridique Opérationnel » à l’état-major des armées.
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C’est l’articulation complexe entre le droit pénal et le droit des conflits armés qui est analysée ici pour mettre en évidence les réalités de la judiciarisation qui guette les opérations extérieures et laisse le juge souvent isolé face à des faits dont il a bien du mal à apprécier le contexte. Lire les premières lignes
De retour d’Afghanistan où il exerçait la fonction de conseiller juridique du commandement Fias (Force internationale d’assistance à la sécurité) de la région de Kaboul, l’auteur décrit le désenchantement grandissant vis-à-vis de la présence occidentale, en dépit de tous les efforts consentis. Le relâchement du soutien de l’autorité afghane risque d’être le prix à payer pour les errements actuels, si la communauté internationale ne révise sérieusement les modalités de sa coopération avec l’Afghanistan. Lire les premières lignes
L'État souverain, seul à même de conduire une guerre juste, conserve jusqu'à nos jours le monopole de la violence légitime, y compris dans ses aspects internationaux. La prohibition de la guerre par la Charte des Nations unies préserve la souveraineté des États qui doit être considérée pourtant comme source de conflits. Il est donc nécessaire de faire évoluer le droit en introduisant au coeur du dispositif international d'une part la délégation systématique de l'action militaire de l'Onu à des États ou des Alliances, d'autre part une véritable reconnaissance du droit des conflits armés.
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