(1912-1996) Homme politique français. Docteur en Droit admis au concours du Conseil d’État. Engagé dans la Résistance, il est chargé par le général de Gaulle de l’établissement de la liste des préfets à mettre en place à la Libération. Chargé, après la Libération, d’une mission de réforme de la fonction publique, il crée l’École nationale d’administration (ENA). Élu sénateur, il rejoint le Rassemblement du peuple français (RPF). Garde des Sceaux (1958-1959) dans le gouvernement de Gaulle, il joue un rôle majeur dans la rédaction de la Constitution de la Ve République. Il est nommé Premier ministre (1959-1962) par le général de Gaulle, lors de la formation du premier gouvernement de la Ve République. Il sera ministre de l’Économie et des Finances (1966-1968), ministre des Affaires étrangères (1968-1969) de Couve de Murville, puis enfin, ministre d’État, chargé de la Défense nationale (1969-1974). Les élections présidentielles de 1981, où il essuie un grave revers marquent la fin de sa carrière politique.
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Le 9 novembre 1970, dans sa résidence de La Boisserie, à Colombey-les-deux-Églises, le général de Gaulle décédait brusquement dans sa quatre-vingtième année. Michel Debré, alors ministre d’État chargé de la défense nationale (1969-1973) écrivit ce « In Memoriam » pour la RDN de décembre 1970. Il y retraçait avec des mots bien choisis l’importance majeure qu’a eu le Général dans notre histoire contemporaine. Cinquante ans après, ce texte résonne encore d’actualité, rappelant les ambitions de l’ancien Chef de l’État pour la France. Lire les premières lignes
Exposé du ministre d’État chargé de la Défense nationale devant les auditeurs et les cadres de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) le 25 juin 1970 à l’occasion de la clôture de la 22e session. Lire les premières lignes
Dans la partie occidentale de l’océan Indien et sur la côte orientale de l’Afrique, les rivalités des puissances s’accentuent, les visées de la Chine se précisent. Face aux tensions que provoquent ces entreprises, la France ne doit pas renier son passé ni abdiquer sa mission. Tout retrait, toute faiblesse de sa part, tout affadissement de sa foi dans son rôle mondial serait néfaste pour elle, pour les peuples qui lui font confiance et pour l’Occident dont elle porte l’image. Lire les premières lignes
Extraits d'une conférence donnée dans le cadre des Cercles universitaires d'études et de recherches gauliennes (CUERG) réunis à Strasbourg le 17, 18 et 19 mai 1975 sur le thème « De Gaulle et l'Europe ». Lire les premières lignes
Conférence donnée le 24 octobre 1972 à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) à l'occasion de la séance inaugurale de la 25e session. Lire les premières lignes
Conférence donnée le 17 février 1972 aux Écoles supérieures de guerre des trois armées. Lire les premières lignes
Conférence donnée à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) à l'occasion de l'ouverture de la 24e session le 19 octobre 1971. Lire les premières lignes
Allocution prononcée le 1er juin 1971 devant les auditeurs de la 23e session de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Lire les premières lignes
La mort du Général de Gaulle fut un événement d’une ampleur nationale et internationale qui n’a pas de précédent dans notre histoire. L’émotion populaire fut profonde, sincère, effaçant tout désaccord dans une vague quasi unanime d’admiration et de reconnaissance. L’hommage des gouvernements étrangers fut spectaculaire et le plus souvent animé par une réaction authentique de leurs opinions publiques. Lire la suite
Conférence prononcée le 20 octobre 1970 à l'institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Lire les premières lignes
Conférence donnée à l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) le 25 juin 1970 à l’occasion de la clôture de la 22e session. Lire les premières lignes
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