(1908-?) Colonel français. Historien. Membre de la Résistance en Guinée (1940), puis homme politique de la Quatrième république, chargé de mission au Cabinet de Marius Moutet. Grand prix de littérature coloniale et auteur de nombreux ouvrages historiques. Il signe ses articles comme commandant (1946), lieutenant-colonel (1954) puis sans grade (1955 et 1957).
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L’Officier est avant tout un « chef de jeunesse ». Du moins celui qui vit au contact des hommes et oriente son activité vers ce qu’il est convenu d’appeler le métier militaire proprement dit. Mission d’autant plus belle que les temps actuels sont plus perturbés. « Chef de jeunesse, disait le maréchal de Lattre, il l’est parce que l’apport régulier des conscrits le maintient auprès de la France de vingt ans. Sa « clientèle », du fait de son renouvellement incessant, ne vieillit jamais. Telle est la vérité que nos Écoles Militaires doivent révéler et apprendre à leurs élèves ». Lire la suite
On parle depuis longtemps déjà de la nécessité de bâtir une nouvelle doctrine militaire, de « repenser » tout notre système de défense nationale, de l’adapter organiquement aux nécessités nouvelles, de « coller » de plus en plus à l’évolution de l’art de la guerre. Lire la suite
Les guerres modernes, malgré leur aspect essentiellement scientifique, ne peuvent plus ignorer l’importance des hommes et de leur moral dans le pays tout entier. Tout le monde est d’accord sur la nécessité pour l’Armée et la Nation de s’unir autour d’un même sentiment national. Les forces armées n’ont d’efficacité que si, intimement soudées à la nation, elles s’appuient sur un « front de production » et un « front psychologique » invulnérables. Toute organisation d’ensemble qui n’accorderait pas au facteur moral une place primordiale ou qui tendrait à séparer l’Armée de la Nation, compromettrait le sens même de la Défense Nationale et aboutirait inévitablement à un désastre militaire. Lire la suite
Deux événements importants, qui consacrent toute une œuvre révolutionnaire, viennent de se produire les 15 et 28 septembre 1954, à Pékin, sous les toits d’or de la Cité impériale. À l’unanimité des voix, l’« Assemblée chinoise des députés du peuple » ratifie alors la nouvelle Constitution et porte Mao Tsé-Toung à la présidence de la République populaire, tandis que le général Chu Teh, commandant en chef des armées communistes chinoises depuis 1931, grand stratège de la « Longue Marche », devient Vice-Président. Lire la suite
L'auteur, grand prix de littérature coloniale, après avoir esquissé l'histoire du Japon moderne et, notamment, décrit le culte de l’Empereur, analyse l’âme du peuple nippon. Lire les premières lignes
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