(1916-2010) Général français. Saint-Cyrien. Hussard, il participe à la campagnes de France puis, avec la légion aux camapgnes de Tunisie, de la Libération et d'Indochine. Parachutiste, il participe à la guerre d'Algérie. Attaché militaire aux États-Unis (sous Kennedy et Johnson), puis chef d’état-major du commandant en chef des Forces françaises en Allemagne, commandant de la 2e Brigade blindée ou de la 11e Division parachutiste. Général de corps d’armée (cr), il devient correspondant pour les affaires de défense du journal Ouest-France à partir de 1980. Il s’est particulièrement intéressé à l’étude des armes chimiques.
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Cet ouvrage a été réalisé sous la direction des pharmaciens en chef, professeurs agrégés du Val-de-Grâce, Ivan Ricordel et Claude Renaudeau, avec la collaboration du pharmacien en chef F.-M. Priller, professeur au Val-de-Grâce, du médecin général Noto, ex-médecin-chef de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, et du colonel J.-M. Blanchet, spécialiste nucléaire, bactériologique et chimique à la brigade des sapeurs-pompiers de Paris. Lire la suite
Le 15 janvier 1993 à Paris, la Convention d’interdiction des armes chimiques a été signée par 130 États : c’est l’aboutissement de pourparlers qui durent depuis des années. Néanmoins, de nombreux pays du Proche-Orient appartenant à la Ligue arabe ont refusé de signer, toujours parce qu’Israël est là. L'auteur, spécialiste de ces questions dont il ne manque jamais de nous informer, nous présente cette Convention, en fait l’analyse et l’accompagne de commentaires clairs et objectifs. Lire les premières lignes
Trois ans après son article sur le désarmement chimique, nous avons demandé au général Jean Compagnon de bien vouloir faire le point sur cette question. Nos lecteurs pourront constater que le traité d’interdiction des armes chimiques ne paraît plus hors d’atteinte ; il faut reconnaître que les discussions suivies, entre Américains et Soviétiques puis Russes, ont beaucoup fait pour la mise au point du projet. Toutefois, il faut craindre que la ratification ne soit pas unanime ; l’auteur nous en donne les raisons Lire les premières lignes
Dans notre livraison précédente, à l’occasion de l’étude faite par l'auteur sur les armes chimiques, nous annoncions son intention de nous faire part de ses réflexions sur le non-emploi de ces armes par Saddam Hussein lors de la guerre du Golfe. Voici ses hypothèses raisonnées et prudentes émises. Lire les premières lignes
La guerre du Golfe a été l’occasion, pour Saddam Hussein, de brandir la menace de l’arme chimique, et cette crainte a été une des préoccupations majeures des belligérants d’une part, d’Israël d’autre part. L'auteur, spécialiste dans ce domaine, nous rappelle les différentes étapes des négociations concernant les armes chimiques. Ultérieurement, il nous fera part des réflexions sur la non-utilisation de celles-ci par le chef d’État irakien. Lire les premières lignes
Encadrées par la Conférence internationale de Paris en janvier et les déclarations devant l’Assemblée générale de l’ONU du président américain Bush et du ministre des Affaires étrangères soviétique Chevardnadze fin septembre, les négociations en vue du désarmement chimique ont fait des progrès sensibles en 1989. Lire la suite
L'auteur, qui s’est depuis très longtemps intéressé aux armes chimiques, avait publié dans notre revue en 1983 un long article fort documenté sur cette question. À l’occasion de l’élaboration d’un projet de convention d’interdiction de ces armes et après avoir assisté à la Conférence d’Ottawa où se sont discutés nombre de points soulevés par ce document, il nous fait une synthèse de ce sujet, accompagnée de réflexions pertinentes. Lire les premières lignes
Nous donnons ici la seconde partie de l’article de l'auteur sur les armes chimiques, la première partie, d’ordre historique et juridique étant parue dans notre numéro précédent. Lire les premières lignes
L'auteur nous donne ici une vue plus étendue de la question des armes chimiques que nous publierons en deux parties. Dans le présent numéro, il situe les armes chimiques dans l’histoire et le droit international avant une réflexion sur les aspects techniques et militaires de cette arme, sa mise en œuvre et la défense qu’on peut lui opposer. Lire les premières lignes
L’interdiction étudiée par Ricardo Frailé, docteur en droit, secrétaire général du Centre d’études et de recherche sur le désarmement de l’université de Paris II, est celle qui résulte du Protocole de Genève de juin 1925, par lequel les puissances contractantes s’interdisent « l’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires, ainsi que tous liquides, matières ou procédés analogues », et étendent cette interdiction « aux moyens de guerre bactériologique ». Lire la suite
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