23 résultats (23 articles - 0 Tribune - 0 e-Recension)
L’École supérieure de guerre navale (ESGN) avait presque un siècle d’existence. Créée en 1882, elle avait dû attendre 1895 pour voir le jour à Brest à bord des croiseurs Amiral Charrier, Latouche-Tréville et Suchet. Abandonnant Brest deux ans plus tard, elle s’était ensuite installée à Paris, à l’École militaire qu’elle ne devait plus quitter jusqu’à ce jour de mai 1993 où, vaincue par une lame de fond interarmées, elle avait dû se résigner à programmer une dernière leçon destinée aux stagiaires de l’ultime promotion, la 84e, puis fermer ses portes. Lire la suite
Le 13 juillet 1992, l’aviso Premier-Maître L’Her, de la flottille de la Méditerranée, rallie le détroit d’Otrante pour participer, au sein d’un groupe de bâtiments de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), à la surveillance de l’embargo décrété à l’encontre des pays de l’ex-Yougoslavie : c’est le début de la mission Sharp Vigilance. Lire la suite
C’est à leur marine que les gouvernements des quatre plus grandes puissances du monde ont confié la mission de garantir la survie de la Nation par la dissuasion nucléaire. Toutes les armes stratégiques ne sont certes pas embarquées sur sous-marins nucléaires, mais toutes celles qui y sont risquent peu d’être détruites ou neutralisées par une attaque surprise de l’adversaire. Les armes tirées de terre, même mobiles, sont plus vulnérables. Imagine-t-on sérieusement cacher en permanence à l’adversaire, et à la population, les déplacements d’un missile balistique ? Lire la suite
Intérêt stratégique de l’Afrique du Sud Lire la suite
Coût de possession Lire la suite
« Cuirassé trois cases Nord. » « Cinq coups en B4. » « Contre-torpilleur coulé ». Ceux qui s’adonnent aux joies de la bataille navale sur une feuille de papier quadrillé, armés d’une gomme et d’un crayon, désignent presque toujours leurs bâtiments en utilisant des appellations d’une autre époque : le torpilleur et le contre-torpilleur sont toujours les vedettes de ce jeu. Le cuirassé et le croiseur connaissent également un grand succès, bien que leur nombre ait beaucoup diminué depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ; au jeu de la bataille navale ils sont toujours considérés comme les bâtiments les plus précieux car les plus puissants. Lire la suite
Le budget 1986 de la Marine Lire la suite
« La première chose qu’il faut faire est de se rendre puissant sur la mer qui donne entrée à tous les États du monde… » ainsi s’exprimait Richelieu dans son fameux testament. Bien avant lui Thucydide avait déjà affirmé, parlant d’Athènes : « Notre fortune est sur la mer ». Lire la suite
L’aéronautique navale a fêté en 1985 son 75e anniversaire. Tout a, en effet, commencé en 1910. Cette année-là, la France vibre des exploits de quelques passionnés qui ont noms Santos Dumont ou Blériot. Les Français se sont entichés des aéroplanes et de leurs pilotes intrépides. La traversée de la Manche par Blériot a enthousiasmé le pays. Des foules immenses suivent les meetings aériens, la presse de l’époque relate dans le détail les exploits de ces nouveaux héros. Lire la suite
Grande-Bretagne Lire la suite
Le terrorisme maritime aujourd’hui Lire la suite
Japon Lire la suite
Il est souhaitable de disposer d’un autre mode d’action, différent de l’affrontement, soit que les circonstances apparaissent trop défavorables ou trop coûteuses en moyens, soit que la situation se prête mieux à une réaction diversifiée dans l’espace et dans le temps qu’à une action unique et massive. Ce mode d’action est la rétorsion dont on a déjà montré l’économie de moyens qu’elle entraînait. Bien sûr, le mot heurte les mentalités occidentales classiques pour qui la guerre devrait rester un affrontement et le combat naval la réplique moderne de Tsoushima (27-28 mai 1905) ou de la bataille de Leyte (23-26 octobre 1944). Le mot rétorsion a une consonance immorale et l’utilisation de telles méthodes apparaît condamnable car liée, dans l’imagerie populaire, au massacre d’innocentes victimes tuées en représailles. Et pourtant il ne s’agit d’abord que d’un mode d’action de non-guerre, typiquement dissuasif et bien adapté aux situations de crise et de conflit limité, cohérent avec notre posture générale de défense. Lire la suite
Les moyens de la riposte (1re partie) Lire la suite
Coup d’œil sur les marines d’Amérique latine Lire la suite
Marine et service public : les missions Lire la suite
Les porte-avions (2e partie) Lire la suite
Faisant suite aux 1ers essais qui se sont déroulés dans le sud de la France en 1983 avec le dirigeable Skyship 500, une série de tests complémentaires vient d’être imposée au nouveau Skyship 600, version améliorée du précédent, dernier né de la société Airship Industries. Financée par la Marine nationale, cette nouvelle évaluation du dirigeable britannique s’est déroulée récemment, d’abord en Bretagne depuis la base de Lanvéoc Poulmic, puis en 1re région maritime. Lire la suite
Le marché des bâtiments de guerre d’occasion Lire la suite
L’histoire montre qu’une Nation souveraine doit maîtriser ses espaces maritimes. Aujourd’hui plus que jamais une Marine moderne doit être en mesure d’assumer des missions toujours plus complexes qui relèvent de la défense militaire, garante d’une politique d’indépendance, mais aussi de la protection des zones économiques. C’est la raison pour laquelle plus de 80 exposants français se sont réunis au Bourget fin octobre 1984 afin de présenter à un public de spécialistes français mais surtout étrangers, le nec plus ultra de notre savoir-faire en matière d’équipements navals. Lire la suite
Depuis la fin du dernier conflit mondial l’emploi, en temps de crise ou de guerre, des bâtiments de la marine marchande par les années françaises est couvert par le concept de flotte militaire de complément. Lire la suite
États-Unis : attributions du Comité des Chefs d’état-major Lire la suite
23 résultats
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...