Directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).
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Le concept de « Sud global » revendiqué par certain est réducteur, voire périlleux car il mélange trop de notions et crée des clivages peu convaincants. Cependant, il convient d’observer un fait géopolitique avec des remises en question et des interrogations légitimes de nombreux États quant à leurs relations multilatérales. Lire les premières lignes
La question de savoir si la dissuasion nucléaire évite la guerre reste d’actualité. De fait, il n’y a pas eu de conflits majeurs entre les États dotés de la bombe, mais cela ne signifie pas forcément que ce risque ait disparu. La dissuasion reste imparfaite et fragile, et néanmoins nécessaire à la paix. Lire les premières lignes
L’annonce de l’alliance AUKUS a été une surprise stratégique pour la France avec un impact direct sur les relations entre notre pays et les signataires de ce nouveau partenariat. Celui-ci suscite désormais de nombreuses interrogations, y compris sur sa concrétisation capacitaire. Lire les premières lignes
La France a-t-elle encore une « grande stratégie » ? Est-elle encore un acteur reconnu et crédible sur la scène internationale ou n’est-elle plus qu’une puissance largement déclassée, au grand dépit de ses dirigeants ? Autant d’interrogations essentielles aujourd’hui pour mieux affronter les défis de demain. Lire les premières lignes
Beaucoup prédisent le déclin américain. Or, malgré ses faiblesses politiques générées par le clivage Républicains-Démocrates, les États-Unis disposent d’atouts dont le regard vers l’avenir est son ADN. D’où le besoin pour l’Europe de conserver ce lien imparfait et irritant, mais indispensable dans un monde en rupture d’équilibre. Lire les premières lignes
La dissuasion française a pour mission de protéger les intérêts vitaux nationaux. Or, ceux-ci sont étroitement liés à notre environnement proche, l’Europe. De fait, il y a une forme de solidarité nucléaire qui pourrait évoluer à l’avenir. Le débat reste ouvert et la France devra être à l’écoute de ses partenaires européens. Lire les premières lignes
La défense antimissile connaît depuis quelques années un essor important, en étant présentée comme la panacée par rapport à la dissuasion nucléaire. Il faut garder raison en considérant les aspects techniques – taux d’interception encore faible – et les objectifs politiques qui de fait priment. Lire les premières lignes
La coopération sur le nucléaire militaire pourrait devenir très pertinente avec un accroissement des discussions dans un cadre trilatéral permettant de mieux répondre à d’éventuelles menaces communes autour du seuil nucléaire et préparer l’avenir. Lire les premières lignes
Si le réchauffement climatique est un enjeu majeur, le risque de conflit lié au climat semble cependant réduit. La déstabilisation de certaines régions du globe est d’abord d’essence politique et exige une réponse politique, la question climatique ne devant pas servir d’alibi. Lire les premières lignes
Le discours récent du président de la République à Istres constitue la « feuille de route » pour la dissuasion des années à venir avec une impression de continuité, mais aussi la volonté de poursuivre la pérennisation des moyens par leur « maintien à niveau ». Lire les premières lignes
En récapitulant les dés de la stabilité stratégique, l'auteur expose qu'elle est une tension, un moment éphémère et difficilement contrôlable, hier et plus encore aujourd'hui, où elle n'est plus bipolaire et de moins en moins une question nucléaire. Imparfaite, partielle et temporaire, cette stabilité est-elle moralement souhaitable ? Lire les premières lignes
En brossant à grands traits la carte de visite stratégique en ce début d’année de transition stratégique, l’auteur, expert en la matière, s’attarde sur les forces nucléaires, les dépenses de défense et appelle à un débat citoyen sur notre posture de dissuasion et nos engagements extérieurs. Lire les premières lignes
Le général de Gaulle n’a pas seulement fait passer la France du statut de puissance nucléaire « virtuelle » à celui de puissance nucléaire « opérationnelle ». Il est également le véritable père de la stratégie nucléaire française. Il a en effet réalisé une synthèse entre les différents courants et écoles de pensée qui se manifestaient à l’époque. Et sa vision, dans ce domaine, était beaucoup plus ouverte et pragmatique que celles qui étaient exprimées par les théoriciens français des années 60 tels que les généraux Ailleret, Beaufre, Gallois et Poirier. Lire la suite
Conclusions de l’essai de prospective, de décembre 2006, sur l’avenir de la dissuasion nucléaire française après 2015, sous la responsabilité de la Fondation pour la recherche stratégique (www.frstrategie.org). Lire les premières lignes
La Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat a organisé une table ronde le 14 juin 2006, présidée par M. Serge Vinçon, sur la dissuasion nucléaire française, organisée en trois séquences : analyse du contexte stratégique présent et prévisible à moyen terme, ainsi qu’aux conséquences à en tirer sur le rôle de la dissuasion, afin d’apprécier en quoi notre doctrine de dissuasion répond ou non aux menaces actuelles et à celles qui se profilent ; les moyens consacrés à la dissuasion, leur adéquation à la doctrine et leur compatibilité avec les autres priorités de défense ; l’examen de la situation au Royaume-Uni et au sein de l’Otan, ainsi qu’aux perspectives offertes dans le cadre d’une Europe de la défense plus affirmée.
La matinée du 25 juin 2002 était consacrée au constat et à la gestion de la crise post-11 septembre 2001. Lire la suite
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