15 résultats (15 articles - 0 Tribune - 0 e-Recension)
Le projet de rénovation de la fonction organisation de l’armée de terre, appelé Credo (conception, réalisation, études d’organisation), a été lancé le 1er juillet 1992, à la suite des premiers éléments de spécification du PMFP (plan de modernisation pour la fonction personnel). Lire la suite
Dans l’ensemble des institutions ayant vocation à promouvoir la coopération européenne dans le domaine de la défense, existe une organisation, Finabel, atypique et peu connue (1), qui fonctionne avec un certain bonheur, si l’on en juge par le volume et la qualité des études qu’elle fournit. Lire la suite
Le concept d’« armes non létales » est typiquement issu de la réflexion, pour l’essentiel américaine, menée après la guerre du Golfe à partir des multiples clichés largement commentés et véhiculés par les médias, tels que « guerre propre », « objectif zéro mort », « frappe chirurgicale », « dommages collatéraux réduits », « mesures incapacitantes », etc. À cet égard, il est clair que, dans les interrogations concernant les conflits futurs et les systèmes de défense permettant de les affronter, deux tendances lourdes caractérisent très nettement l’évolution des sociétés occidentales : d’une part, l’importance de l’information et de la communication en temps de crise, et, d’autre part, la préservation des vies humaines. Lire la suite
Notre XXe siècle finissant se caractérise par deux phénomènes concomitants : le premier, hérité des soubresauts de l’histoire, est la rupture politico-stratégique consécutive à l’effondrement du Pacte de Varsovie, qui ouvre désormais à l’armée de terre un champ d’action renouvelé. Le deuxième, qui est la marque du dynamisme des sociétés industrielles, concerne la technologie, et plus exactement la haute technologie avec ses perfectionnements, et surtout la miniaturisation. Lire la suite
Le Simat s'annonce comme le premier système global et cohérent d'information de la maintenance de l'Armée de terre. Il prend en compte les besoins de l'ensemble des acteurs concernés, de l'industriel au corps de troupes. Lire les premières lignes
Engagée dans de profondes restructurations de ses forces depuis l’effondrement du mur de Berlin qui a totalement modifié les données stratégiques de son engagement potentiel, l’Armée de terre a dû simultanément prononcer d’importants efforts d’adaptation de ses méthodes, notamment dans le domaine de l’instruction, pour faire face aux nouveaux défis auxquels elle se trouve désormais confrontée. Lire la suite
À la suite de l’effondrement du Pacte de Varsovie, les armées sont confrontées à une rupture politico-stratégique. La bipolarité du système international laisse derrière elle, en s’effaçant, un désordre qui oblige théoriciens et responsables à penser l’avenir dans un contexte devenu profondément mouvant et imprédictible, situation sans précédent dans l’histoire moderne et contemporaine. Lire la suite
Chacun connaît l’importance que l’Armée de terre attache désormais à la simulation (voir le dossier dans Armées d’aujourd’hui de mars 1995). De nombreuses contraintes, tant morales que financières, ne permettent pas d’évaluer l’effet des armes ou de vérifier la valeur d’une doctrine au cours d’exercices sur le terrain. Il importe donc de pallier ce manque de réalisme par la recherche et la mise en œuvre de moyens permettant de représenter la réalité avec le plus de précision possible. Lire la suite
Capable de gérer un nombre important de paramètres, la simulation permet par la modélisation des systèmes d’armes ou des schémas décisionnels d’obtenir une représentation, la plus fidèle possible, des opérations militaires par des hypothèses ou des environnements donnés. Lire la suite
Découlant directement des choix du Livre blanc, l’hypothèse d’un engagement des forces terrestres dans un cadre multinational ou interallié est désormais reconnue comme la plus probable et se trouve renforcée par l’expérience des conflits et crises les plus récents. Manifestation de notre solidarité à l’égard de nos alliés, affirmation d’une ambition européenne ou devoir d’assistance humanitaire, le champ est vaste qui s’ouvre sur des possibilités d’action au sein de l’UEO (Union de l’Europe occidentale), de l’ONU, de l’Otan ou de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe). Lire la suite
Depuis 1974, nos forces ont participé à une centaine d’opérations extérieures qui se répartissent en une soixantaine à caractère purement militaire, en une vingtaine d’évacuations de ressortissants et une vingtaine d’interventions à caractère humanitaire. Sur quinze opérations dans lesquelles notre pays se trouve actuellement engagé, douze sont placées sous mandat de l’ONU. Avec 5 500 hommes la France reste le second pourvoyeur de troupes de l’ONU (8 % du total) derrière le Pakistan. L’ex-Yougoslavie, où notre participation atteint 4 900 hommes, reste le théâtre d’opération principal. Lire la suite
En France, les trente années de guerre froide après les opérations d’Afrique du Nord avaient maintenu les réserves dans une situation de non-emploi tant était puissante la dissuasion nucléaire qui neutralisait deux blocs antagonistes. L’appel aux réserves ne se concevait que lors d’une mobilisation générale des forces vives du pays. Lire la suite
La décision d’implanter à Mailly un ensemble de centres d’entraînement par la simulation résulte de la convergence de plusieurs facteurs : tout d’abord la nécessité pour les armées modernes d’adapter les moyens d’entraînement au nouveau contexte géopolitique, les exercices classiques dans les camps et en terrain libre ne suffisant plus à un entraînement complet d’unités modernes ; ensuite, l’apparition de technologies nouvelles, qui rend possible le vieux rêve de disposer d’instruments permettant d’évaluer selon des critères non contestables le résultat des actions tactiques menées dans un environnement complexe, et notamment de sanctionner toute décision et de faire connaître les pertes ; enfin, la nécessité de réduire les coûts de l’entraînement sans en diminuer l’efficacité. Lire la suite
L’École supérieure et d’application des transmissions de l’Armée de terre (Esat) a été créée le 30 septembre 1994. Elle regroupe sur le double site de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine) et de Laval (Mayenne) les trois écoles des transmissions d’origine : École d’application des transmissions de Montargis, École des sous-officiers d’active des transmissions d’Agen, École supérieure de l’électronique de l’Armée de terre de Rennes. Lire la suite
Servant au sein des forces, les militaires appelés de l’Armée de terre font l’objet d’un effort particulier de formation d’autant plus nécessaire que la ressource du Service national ne permet pas d’honorer les besoins des unités dans toutes les spécialités. La réduction du service à dix mois, conjuguée avec l’arrivée des systèmes d’armes de haute technologie, met en évidence l’importance de l’investissement consenti pour la formation des personnels. À titre d’exemple, il faut plus de quatre mois pour former, dans sa spécialité, un conducteur d’engin de terrassement du Génie. Lire la suite
15 résultats
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...