Auteur : Plessis (du)

 

Colonel.

 

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N° 186 Décembre 1960 - Chroniques - p. 2071-2074

Otan - Prochaines assises atlantiques - Choix difficiles - Allemagne et Berlin - Accords bilatéraux - Plessis (du)

La session ministérielle ordinaire du Conseil de l’Atlantique se tiendra à Paris, du 16 au 18 décembre 1960, et il n’est pas exclu que le Président Eisenhower y vienne en personne faire ses adieux à l’Otan, ce qui pourrait entraîner la participation d’autres chefs d’États ou de Gouvernements. Lire la suite

N° 185 Novembre 1960 - Chroniques - p. 1880-1882

Otan - Au Conseil - Les deux Allemagnes et Berlin - Défense aérienne - Commandement - Plessis (du)

Le représentant permanent de la Grande-Bretagne à l’Otan, Sir Frank Roberts, nommé ambassadeur à Moscou, quitte le poste qu’il occupait depuis trois ans ; il est remplacé par Sir Paul Mason, ambassadeur du Royaume-Uni à La Haye (Pays-Bas) depuis 1954. Lire la suite

N° 184 Octobre 1960 - Chroniques - p. 1694-1697

Otan - L'Otan et l'Afrique - Allemagne et Berlin - Les fusées Polaris - Dans le haut commandement - Manœuvres - Plessis (du)

Bien qu’elle n’ait pas de responsabilité propre dans l’avenir de l’Afrique, l’Organisation atlantique a été sévèrement affectée par les douloureux événements du Congo. Quatre de ses membres ont des intérêts majeurs sur le continent africain, outre la Belgique durement éprouvée, la Grande-Bretagne, la France et le Portugal. Le Conseil de sécurité des Nations unies où siègent également quatre puissances de l’Otan a eu à connaître à trois reprises en quelques semaines de l’affaire congolaise. Il serait vain de parler d’une « solidarité atlantique » face à ces problèmes puisque dans aucun des trois votes, le gouvernement de Bruxelles n’a obtenu le plein appui de ses alliés anglo-saxons. La résolution relative au retrait immédiat des troupes belges du Katanga que les États-Unis et l’Angleterre ont votée le 10 août 1960 avec l’Union soviétique a porté un coup sérieux à la santé tant physique que morale de l’alliance. Lire la suite

N° 183 Août/Sept 1960 - Chroniques - p. 1512-1516

Otan - Rapport Est-Ouest - Pour ou contre un « Deterrent Otan » - Plessis (du)

N° 182 Juillet 1960 - Chroniques - p. 1319-1321

Otan - Raidissement à l'Est - Le départ du général Valluy - Organisation du Traité de l’Asie du Sud-Est (Otase) - Plessis (du)

Le Conseil permanent de l’Otan réuni le 19 mai 2023 a pris acte de l’échec de la Conférence de Paris, ou plus exactement du « fait que, en raison de l’attitude adoptée par le Président du Conseil des ministres de l’Union soviétique, il n’a pas été possible d’aborder à la conférence au sommet l’examen des problèmes dont il avait été convenu qu’ils seraient débattus entre les quatre chefs d’État ou de gouvernement ». Lire la suite

N° 180 Mai 1960 - Chroniques - p. 938-940

Otan - Avant le « Sommet » - Réunion des ministres de la Défense - Dans le Haut-commandement - Plessis (du)

Voyages et contacts multipliés de chefs d’États et de gouvernements, reprise à Genève de pourparlers Est-Ouest sur le désarmement suspendu depuis plus de deux ans, évolution accélérée des États d’Afrique ont défrayé la chronique internationale pendant cette période préparatoire à la Conférence au Sommet. Lire la suite

N° 179 Avril 1960 - Chroniques - p. 739-743

Otan - Sur quelques problèmes de défense - Manœuvres d'hiver - Commandement - Activités diverses - Plessis (du)

Avant la réunion que doivent tenir début mars à Paris les ministres de la Défense des nations membres de l’Otan, seules des informations fragmentaires avaient été livrées à l’opinion : ainsi la publication du Livre blanc britannique sur la Défense, la conférence de presse du président Eisenhower sur le partage des secrets nucléaires, le vœu émis par l’Assemblée de l’Union européenne occidentale (UEO) en faveur d’une force de frappe européenne, la création possible de bases militaires en Espagne… n’avaient pas manqué de donner lieu à des commentaires divers et souvent fantaisistes. Une conférence de presse donnée le 2 mars 1960 (1) au SHAPE par le général Norstad a largement contribué à faire le point de ces divers problèmes. Sans doute, le Commandant suprême (SACEUR) n’a-t-il pu satisfaire pleinement la curiosité de son auditoire ; il s’est gardé de se laisser entraîner sur le terrain politique comme l’y incitaient nombre de questions posées par les journalistes. Nous résumons ci-dessous les principaux points de son exposé. Lire la suite

N° 178 Mars 1960 - Chroniques - p. 538-541

Otan - Désarmement - Coopération économique - Dans le commandement - Plessis (du)

La date de la prochaine réunion du Conseil ministériel de l’Atlantique-Nord qui doit avoir lieu à Istanbul a été fixée au 2 mai 1960. Ceci permettra, comme l’ont demandé un certain nombre de pays membres, d’associer aussi largement que possible l’Otan aux ultimes mises au point du dossier de la Conférence au Sommet, compte tenu des résultats alors acquis par la Conférence du Désarmement. Lire la suite

N° 176 Janvier 1960 - Chroniques - p. 164-167

Otan - Calendrier diplomatique - Nouveau siège de l'Otan - Conférences des parlementaires - Relance de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) - Armements - Plessis (du)

L’ouverture à Paris de la prochaine session ministérielle du Conseil de l’Atlantique Nord a été définitivement fixée au 15 décembre (1) ; il a été en outre décidé qu’après trois jours de réunion, elle serait reprise le 22, faisant droit ainsi au désir des nations qui ne participeront pas au colloque des chefs d’États occidentaux du 19 d’y être associées aussi largement que possible : ce n’est sans doute qu’après cette session que sera fixée la date exacte de la « conférence au sommet ». Évitant, selon les thèses du gouvernement français, une hâte excessive pour cette rencontre, les capitales intéressées semblent s’être mises d’accord pour fin avril, vraisemblablement à Genève. Se situant donc après le voyage en France de M. Khrouchtchev (2e quinzaine de mars) et la visite officielle du général de Gaulle au Royaume Uni (5 au 8 avril), la conférence des « quatre ou cinq chefs d’État ayant des responsabilités mondiales » prendrait place avant le voyage de M. Eisenhower à Moscou [NDLR 2024 : il semblerait que ce voyage n’ait pas eu lieu]. Lire la suite

N° 175 Décembre 1959 - Chroniques - p. 2049-2052

Otan - Vers la détente ? - CENTO - Nouvelles militaires - Plessis (du)

La tenue, en Europe, avant six mois, d’une conférence à Quatre entre Occidentaux et Soviétiques à l’échelon des plus hauts responsables est désormais une certitude. Une nouvelle initiative de l’Est pour modifier unilatéralement le statut de Berlin semble pour un temps exclue et les dispositions relativement conciliantes manifestées par le chef de la diplomatie soviétique ouvrent la voie à la grande négociation Est-Ouest. Seul fait acquis jusqu’ici, c’est à Paris que se réuniront le 19 décembre, auprès du général de Gaulle, MM. Eisenhower (président des États-Unis), Adenauer (Chancelier de la République fédérale d’Allemagne) et Macmillan (Premier ministre du Royaume-Uni) pour préparer ladite conférence au sommet dont la date, le lieu et l’ordre du jour restent sujets à discussion. D’aucuns, côté anglo-saxon, pensent que l’intérêt de l’Occident est de « battre le fer tandis qu’il est chaud » et de hâter la réunion, dût-on se contenter de résultats partiels et d’un ordre du jour restreint, d’autres conférences ultérieures devant permettre de consolider les premiers points acquis. Ailleurs, et notamment à Paris, on pense qu’aborder sans une préparation minutieuse une rencontre exceptionnelle dont les opinions publiques attendent la fin de la guerre froide et des décisions définitives pour liquider un contentieux Est-Ouest très charge pourrait avoir de très graves conséquences : quelques mois ne sont-ils pas nécessaires au surplus, tant pour réaliser une pleine unité de vues occidentale que pour mettre à l’épreuve des faits les bonnes intentions du Kremlin ? Lire la suite

N° 173 Octobre 1959 - Chroniques - p. 1674-1676

Otan - Échec à Genève - Prochaines rencontres - Retrait de France des bombardiers de l'USAF - Plessis (du)

Reprise comme prévu le 13 juillet 1959, mais sans avoir donné lieu, comme le demandaient notamment la Belgique et l’Italie, à une préalable session ministérielle de l’Otan, la Conférence de Genève s’est ajournée le 5 août 1959. Bien que le communiqué final mentionne que « les positions se sont rapprochées sur certains points », c’est en réalité un échec grave. En dépit de larges concessions aux vues soviétiques, les Occidentaux ne pouvaient admettre la proposition de Moscou de réunir sur une base paritaire le comité panallemand chargé de préparer la réunification. Il apparaît en fait, aujourd’hui comme hier, que le Kremlin est décidé à maintenir la division de l’Allemagne, et les Occidentaux ne peuvent souscrire à toute disposition qui, impliquant une reconnaissance de jure du gouvernement de Pankow, perpétuerait à leurs yeux la division de l’ancien Reich. La conférence n’aura servi qu’à éprouver l’esprit de résistance de l’Occident en s’efforçant de l’entraîner dans un engrenage progressif d’abandons. Lire la suite

N° 172 Août/Sept 1959 - Chroniques - p. 1484-1486

Otan - Rapports Est-Ouest - Divergences - Manœuvres - Plessis (du)

Après cinq semaines d’une longue et fastidieuse controverse, la Conférence des Quatre à Genève s’est ajournée au 13 juillet 1959. Au lendemain de cette décision, M. Couve de Murville, ministre des Affaires étrangères a, le 22 juin, mis au courant le Conseil de l’Otan du déroulement de la négociation. Lire la suite

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