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Le mois dernier, nous avons tenté de dessiner les coques du futur. Nous avons vu qu’elles seraient plus dépouillées, laissant de l’espace pour les manœuvres d’hélicoptères, et que l’évolution la plus profonde, peu apparente, se situera dans la recherche d’une moindre vulnérabilité. Nous n’avons parlé du tonnage que pour le lier au mode de propulsion. Nous nous attacherons désormais à remplir des coques avec des armes et des équipements qui fixeront la véritable physionomie des bâtiments et, en fonction de leur plus ou moins grande spécialisation, leur corpulence et leur rôle au sein de la Marine. Lire la suite
Dans la chronique du mois de mars 1983, nous évoquions les menaces auxquelles seraient confrontés les navires des puissances moyennes à l’aube du XXIe siècle, et nous en concluions que le moment se prêtait bien à une réflexion sur le type des unités qui y feront face. Lire la suite
Au moment où nous rédigeons cette chronique, le projet de loi n’a pas encore été définitivement voté par le Parlement. Les réflexions qui sont exprimées ne sont donc liées qu’au projet et ne préjugent en rien des modifications que pourrait lui apporter la représentation nationale. Lire la suite
Surveillée à partir du sémaphore du Stiff jusqu’au 13 octobre 1982, la zone de séparation du trafic d’Ouessant l’est désormais depuis le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) du Corsen-Ouessant (Crossco). Pour sa fonction de surveillance de trafic, le Crossco dispose d’une tour radar de 73 m installée à la pointe du Stiff sur l’île d’Ouessant, et d’un centre d’exploitation implanté sur la pointe de Corsen, face à Ouessant, et qui reçoit les images radar de la tour par faisceaux hertziens. Des moyens de secours installés au sémaphore du Stiff sont très rapidement mis en fonction en cas d’indisponibilité des moyens principaux. Lire la suite
À la fin du mois de janvier 1983, le projet de budget pour l’année fiscale 1984 (1er octobre 1983 au 30 septembre 1984) ainsi que le plan quinquennal 1984-1988 ont été présentés au Congrès. Par ailleurs, le budget de l’année fiscale 1983 de la Navy a été adopté par le Congrès. Lire la suite
En juin 1974, les chefs d’état-major des trois marines belge, française et néerlandaise signaient une déclaration d’intention pour la réalisation commune d’une nouvelle génération de bâtiments de lutte contre les mines. Les études doivent se concrétiser par la réalisation de 40 unités du même type : 15 pour la France, 10 pour la Belgique et 15 pour les Pays-Bas. Chaque pays construit ses propres bâtiments, mais les matériels embarqués sont fournis par des sociétés des trois pays suivant une répartition qui tient compte des capacités techniques de chacun d’entre eux, et harmonise les intérêts au prorata des commandes de navires. L’organisation industrielle correspondante a fait l’objet d’un accord signé en mars 1978 par les trois ministres de la Défense. La France assure la direction du programme. Lire la suite
En dépit du débat très vigoureux qui se déroule depuis plus d’un an, tant au Congrès américain que parmi les spécialistes, le programme de réactivation des cuirassés de la classe Iowa poursuit sa route imperturbablement. Lire la suite
Comme pour l’ensemble des armées, le budget de la Marine est un budget de « rigueur ». Sa croissance par rapport à 1982 est de 8,8 %, celle de la défense de 8,44 % alors que celle du budget de l’État est de 11,8 %. Le budget 1983 est donc, si l’on tient compte de l’évolution du coût de la vie, moins bon que celui de 1982. Lire la suite
Ainsi que l’annonçait Georges Outrey dans la précédente chronique, une large place sera consacrée ce mois-ci aux commentaires sur l’exposition navale 1982 qui s’est tenue au Bourget du 26 au 30 octobre 1982 et qui a été suivie d’une présentation de bâtiments et d’aéronefs à Brest ainsi que d’un certain nombre de visites chez les industriels de l’armement naval. Lire la suite
Depuis le 1er juin 1982, la Marine française a participé aux différentes phases de l’action internationale au Liban. Les opérations successives ont nécessité la mise en œuvre d’une partie importante de la flotte du Levant. Il y a eu sur zone jusqu’à 8 unités de combat et de soutien, représentant quelque 2 900 hommes. Les moyens ont consommé quelque 8 000 tonnes de mazout, 5 000 t de gasoil et 70 m3 de combustible aéronautique. Lire la suite
Les commentaires de presse sur la 3e CNUDM se sont principalement attachés à présenter les implications « minières » de la convention. Il ne faudrait cependant pas oublier que l’exploitation des fonds marins n’est pas le seul objet de la convention, car ce traité met également en jeu des intérêts directement militaires. C’est cet aspect que l’on se propose de commenter ici. Lire la suite
« J’ai le sentiment de participer à une très grande action nationale. Une Marine présente sur tous les océans est non seulement au service de la France mais aussi au service des actions que mène la France, y compris, ce qui n’est pas négligeable, au plan humanitaire. On l’a constaté récemment encore dans les mers asiatiques, et on le constate aujourd’hui en Méditerranée orientale. J’ai voulu témoigner de tout cela devant la Nation tout entière… ». Lire la suite
On peut être étonné par l’intérêt soudain qui se manifeste pour le missile anti-navire. Il n’est pas une revue, un hebdomadaire, un quotidien qui n’ait brutalement découvert que le missile était redoutable, surtout quand il vole au ras de l’eau. Il aura suffi pour cela qu’un Exocet, dans sa version air-mer (AM-39), désempare un navire doté de moyens de défense antiaérienne (NDLR : référence à l’attaque du destroyer anglais HMS Sheffield par deux Dassault Super-Étendard argentins armés de missiles Exocet durant la guerre des Malouines en mai 1982). Lire la suite
Le Sirpa (Service d’information et de relations publiques des Armées) a décidé de célébrer avec un faste particulier le bicentenaire des batailles navales conduites dans des conditions difficiles et avec fougue par le bailli de Suffren sur les côtes de Coromandel. Lire la suite
Les États-Unis possèdent 4 porte-avions et 9 croiseurs lance-missiles à propulsion nucléaire, l’URSS un seul croiseur à propulsion mixte nucléaire et classique. Parmi les bâtiments en construction ou en projet, seuls des porte-avions adopteront la propulsion nucléaire. Les grandes marines ne sont donc pas encore passées systématiquement au « tout nucléaire » pour les bâtiments majeurs de surface, alors que la majorité des futurs sous-marins seront à propulsion nucléaire. Lire la suite
L’organisation actuelle de la recherche et du sauvetage maritime en France s’appuie sur trois textes principaux. Lire la suite
À la fin de l’année 1981, 21 postes d’officiers et 728 postes d’officiers-mariniers étaient occupés par du personnel féminin, soit un peu plus de 1,5 % des effectifs d’active. Dans les Armées de terre et de l’air, ce pourcentage dépasse déjà 5 %, et dans l’armée américaine il est de 8,6 %. Lire la suite
Le budget de la Marine s’élève, en 1982, à 21 952 millions de francs en crédits de paiement, dont 10 462 pour les dépenses de fonctionnement (Titre III), soit 47,7 %, et 11 490 pour les dépenses d’investissement, soit 52,3 %. En autorisations de programme, la Marine reçoit 12 490 MF. Lire la suite
En 1982, 14 bâtiments seront livrés à la Marine nationale, alors que 8 unités seront retirées du service actif. Lire la suite
L’édition 1982 des Flottes de combat, réalisée par M. Jean Labayle Couhat, est parue. Cet ouvrage, que l’on trouve aussi bien sur les bureaux des États-majors que sur les rayons des amateurs de l’actualité maritime, ne faillit pas à sa réputation méritée d’ouvrage de base. Lire la suite
Si la rencontre des présidents français et américain à Yorktown a fait l’objet de très nombreux commentaires, le caractère exceptionnel de la réception qui a eu lieu le dimanche 18 octobre à bord de la frégate De Grasse a été quelque peu laissé dans l’ombre. Lire la suite
Après la visite du président de la République à l’Île Longue, la présence du ministre de la Défense au lancement du Saphir, puis son séjour à bord du Clemenceau survenant quelques jours avant la participation de ce bâtiment à un important exercice de l’Alliance atlantique (Otan), ont été largement commentés par la presse tant régionale que nationale. En l’espace d’un mois, l’opinion publique a été informée en détail sur trois des principales composantes de la Marine nationale, tant au point de vue technique qu’opérationnel. Lire la suite
Le 24 juillet 1981, le président de la République, M. François Mitterrand, accompagné du ministre de la Défense, M. Charles Hernu, du chef d’État-major de la Marine (CEMM), l’amiral Lannuzel, du chef de son État-major particulier, le général de corps aérien Saulnier, s’est rendu à Brest et a visité les installations de la Force océanique stratégique de l’Île Longue et le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Terrible, en instance d’appareillage pour une patrouille. Il s’est fait présenter par le commandant, le capitaine de frégate Berges, les deux tiers de l’équipage non de quart rangés sur le quai, soit environ 90 hommes. Il a déjeuné sur le sous-marin et assisté à son appareillage. Il a ensuite fait part de ses impressions à la presse et répondu aux questions des journalistes. Nous donnons ci-dessous les déclarations du président de la République sous la forme impromptue qu’il leur a données. Lire la suite
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