Elles sont de deux types : temporaires, celles mettant à l’honneur une parution ou l’annonce d’un colloque ; archivées, celles qui concernent l’actualité du monde de la défense et des relations internationales.
« Le 24 septembre dernier, le président de la République a ordonné le rapatriement des militaires déployés au Niger depuis dix ans, en raison de la fin de la coopération militaire française avec ce pays.
« Le 17 février dernier, constatant que les conditions politiques et opérationnelles n'étaient plus réunies pour rester engagée au Mali, la France a décidé, en concertation avec ses partenaires africains et européens, de réarticuler le dispositif de l'opération Barkhane en dehors du territoire malien.
« • La réorganisation du dispositif militaire français au Sahel, décidée en relation étroite avec les partenaires européens et nord-américains, a conduit à la fin des opérations de la TF Takuba au Mali à compter du 30 juin.
Dans la nuit du 11 au 12 juin 2022, une opération de la force Barkhane, conduite à proximité de la frontière malo-nigérienne, a permis la capture d’Oumeya Ould Albakaye, haut responsable de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS).
Les forces françaises quittent le Mali. « En raison des multiples obstructions des autorités de transition maliennes, le Canada et les États européens opérant aux côtés de l’opération Barkhane et au sein de la Task Force Takuba estiment que les conditions politiques, opérationnelles et juridiques ne sont plus réunies pour poursuivre efficacement leur engagement militaire actuel dans la lutte contre le terrorisme au Mali », a écrit l’Élysée dans son communiqué. Le Président de la République Emmanuel Macron a annoncé, lors de la conférence de presse en compagnie des présidents sénégalais et ghanéen, Macky Sall et Nana Akufo-Addo, ainsi que du président du Conseil européen, Charles Michel, que malgré le retrait des troupes françaises, ces dernières continueront d’agir dans les autres pays du Golfe de Guinée, d’avantage auprès des populations civiles. "Déployer d’abord des programmes civils et sociaux. Ce n’est qu’en complément de ces programmes qu’une action militaire peut être efficace", a déclaré Emmanuel Macron. Ce changement permettra aux forces françaises d’agir « là où notre contribution est attendue ». Pour le Président de la République, « il était important d’adresser un message de continuité de notre engagement au Sahel ».
« Les 8 et 9 février 2022, des attaques coordonnées, menées par un groupe armé terroriste au Bénin, dans la région du parc naturel transfrontalier W géré par le Burkina Faso, le Bénin et le Niger, ont visé une patrouille de rangers puis des membres des forces armées du Bénin engagés en renfort.
« Du 1er au 6 février 2022, une unité de la Task force (TF) Takuba, composée du Task group n° 1 (TG1) franco-estonien en partenariat de combat avec l’Unité légère de reconnaissance et d’intervention (ULRI) n° 4, a opéré dans le Liptako malien. Cette opération avait pour objectif de renforcer la présence des Forces armées maliennes (FAMa) à l’ouest d’In Délimane, dans une zone de refuge de groupes armés terroristes (GAT). Elle a permis de repousser les terroristes entre In Delimane et la vallée d’Eranga (Mali).
« Nous, partenaires internationaux engagés en soutien du Mali et de son peuple dans leurs efforts pour parvenir à une paix et une stabilité durables et dans la lutte contre le terrorisme, regrettons profondément la déclaration des autorités maliennes de transition, en date du 24 janvier, alléguant que le déploiement du contingent danois dans la Task Force Takuba est intervenu sans base légale et sans le consentement du gouvernement malien, et exigeant dès lors son retrait du territoire de la République du Mali.
Nous apprenons ce 23 janvier la mort au combat du brigadier Alexandre Martin à Gao au Mali, dans le cadre de l’opération Barkhane. Le chef d’état-major des Armées, l’Élysée et le ministère des Armées ont confirmé le décès du brigadier du 54e régiment d’artillerie, qui a eu lieu hier samedi 22 janvier après avoir subi des tirs de mortiers en provenance de forces terroristes.
« Neutralisation de Soumana Boura, chef de groupe de l’EIGS
Les derniers soldats des forces armées françaises présents ont quitté le site de Tessalit au Mali le 15 novembre. Ils l’ont transféré aux Forces armées maliennes (FAMa), le 13 novembre, dans le cadre du partenariat de combat qui lie les forces françaises et les forces maliennes. Ces dernières se sont entraînées ensemble pendant plusieurs semaines et ont également échangé leur savoir-faire. Ce transfert était encadré par les FAMa et la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma). Cette nouvelle étape dans l’adaptation du dispositif militaire français déployé dans la bande sahélo-saharienne, actée en juillet 2021 par le président de la République et par ses homologues du G5 Sahel « a été conduite dans de très bonnes conditions de dialogue avec les forces partenaires. Elle n’a pas rencontré de difficultés particulières », a déclaré l’État-major des armées (EMA), dans un communiqué de presse. ♦
Florence Parly, ministre des Armées, a appris avec douleur la mort au combat du caporal-chef Maxime Blasco.
Dans un communiqué de presse du 20 juillet, le ministère des Armées a annoncé que l’équipage d’un Mirage 2000D a dû s’éjecter pendant une mission d’appui au-dessus de la région d’Hombori au Mali.
Vendredi 13 novembre, la ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé la neutralisation par la force Barkhane d’un haut placé dans les rangs d’Al-Qaïda au Sahel, le chef militaire du GSIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans), Bah Ag Moussa, survenue le 10 novembre. Un succès dans le cadre d’une opération mise en place depuis plusieurs jours.
Lundi 2 novembre, dans une conférence de presse exceptionnelle, l’État-major des armées (EMA) a annoncé un succès tactique dans sa lutte contre les forces djihadistes au Sahel pour les forces Barkhane et ses forces spéciales, la Task Force Sabre. Une avancée majeure pour l’armée française au Sahel, confirmée par la neutralisation de plusieurs dizaines de djihadistes, comme l’a indiqué la ministre des Armées, Florence Parly, en déplacement au Niger et au Mali, pour la première fois depuis le coup d’État qui a déposé le président Ibrahim Boubakar Keïta (IBK).
Nous apprenions hier, le 23 juillet 2020, la mort en opération du hussard parachutiste de première classe Tojohasina Razafintsalama.
Engagé dans l’opération Barkhane, le légionnaire de 1re classe Kévin Clément est décédé lundi 4 mai, a annoncé le ministère des Armées. Le même jour, le militaire de 21 ans avait été atteint par balle à la tête lors de combats contre des terroristes dans la région de Menaka, au Mali.
Le brigadier Dmytro Martynyouk est mort le 1er mai des suites des blessures reçues lors de combats contre des groupes armés terroristes au Mali, dans le cadre de l’opération Barkhane, a annoncé samedi le ministère des Armées. Le légionnaire né en Ukraine était membre du 1er Régiment étranger de cavalerie (REC) de Carpiagne (Bouches-du-Rhône).
Des combats entre des djihadistes de Boko Haram et l’armée tchadienne ont causé la mort de 92 soldats, lundi, a annoncé le président Idriss Déby Itno. Les affrontements qui se sont déroulés à Boma, dans la province du Lac (au sud-ouest du pays), ont duré plus de sept heures.
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