Elles sont de deux types : temporaires, celles mettant à l’honneur une parution ou l’annonce d’un colloque ; archivées, celles qui concernent l’actualité du monde de la défense et des relations internationales.
Le 25 octobre, une équipe de 39 militaires soignants ou logisticiens du Service de santé des armées (SSA) et du Régime médical de l’Armée de terre (RMED) sera projetée avec un avion A330 MRTT de l'Armée de l'air et de l'espace afin de soutenir le personnel soignant en Nouvelle-Calédonie face à l’épidémie de Covid-19.
Face à la recrudescence de cas de Covid-19 en Martinique, le ministère des Armées a annoncé, dans le cadre de l’Opération Résilience décidée en mars 2020 par le président de la République, la projection de 50 militaires du Service de santé des armées (SSA) et du régiment médical de l’Armée de terre. Il s’agit d’épauler le personnel soignant de Fort-de-France (Martinique) face à la forte tension épidémique de Covid-19 sur l’île.
Florence Parly a dévoilé lundi devant la Commission de la défense de l’Assemblée nationale les principales conclusions des deux enquêtes (épidémiologique et de commandement) expliquant comment quelque 1 300 marins du groupe aéronaval Charles-de-Gaulle ont contracté le coronavirus. Des erreurs sont constatées, mais aucune faute n’a été commise, selon la ministre des Armées.
Le Bataillon des marins-pompiers de Marseille (BMPM) participe, en partenariat avec une start-up, au projet Comete (Covid-19 Marseille Environnemental TEsting). Composé d’une cellule de prélèvements mobile et d’une plateforme d’analyse, le programme permet de mesurer la présence du virus dans l’environnement.
La ministre des Armées, Florence Parly, a indiqué vendredi 17 avril devant la Commission de défense de l’Assemblée nationale, qu'au moins 1 081 marins du groupe aéronaval (GAN) du Charles-de-Gaulle ont été testés positifs au covid-19. Parmi eux, 545 présentent des symptômes, 24 sont hospitalisés à Toulon dont 1 en réanimation.
Pour l'heure, 668 marins présents sur les bâtiments du groupe aéronaval Charles-de-Gaulle ont été testés positifs au Covid-19, a annoncé le ministère des Armées, mercredi 15 avril en soirée. « À ce jour, la plupart des marins n'inspirent aucune inquiétude », a assuré le porte-parole de la Marine nationale, Éric Lavault, interrogé jeudi sur BFM TV. Une vingtaine d'entre eux sont hospitalisés à Hôpital d'instruction des armées Sainte-Anne, à Toulon, dont un en réanimation.
Après avoir accosté vendredi à La Réunion pour faire le plein, le Mistral est reparti lundi en direction de Mayotte, avec 300 tonnes de matériel. Dans le cadre de l’opération Résilience qui vise à combattre la crise du coronavirus, le porte-hélicoptères amphibie (PHA), accompagné de la frégate Guépratte (admise au service actif en 1999, classe « La Fayette »), assure le ravitaillement dans le département français de l’archipel des Comores.
Les 66 tests effectués sur l’équipage du porte-avions Charles-de-Gaulle ont permis d’identifier 50 cas positifs, a indiqué vendredi le ministère des Armées. Par ailleurs, trois marins ont été évacués jeudi par hélicoptère, à titre préventif. Ils ont été transportés vers Lisbonne avant d’embarquer sur un avion médicalisé. Ils ont été transférés à l’Hôpital d’instruction des armées Saint-Anne, à Toulon.
Une quarantaine de marins présents à bord du porte-avions Charles-de-Gaulle présentent des symptômes similaires à ceux du coronavirus, a annoncé mercredi le ministère des Armées. Le bâtiment va rentrer plus tôt que prévu à Toulon.
Pour remplacer les vieux patrouilleurs P400 (cf. Brève du 2 avril 2019) et les Bâtiment de transport léger ou Batral (1974-2017), la Marine nationale déploie 4 Bâtiments de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM), appelés précédemment B2M (Bâtiments multi-missions). Ces navires ont été construits de 2015 à 2018, à Concarneau par Kership, une joint-venture regroupant Piriou et Naval Group.
Un premier projet de test de dépistage rapide du Coronavirus va être financé – pour 1 million d’euros – par la Direction générale de l’armement, a annoncé samedi le ministère des Armées. Développé par NG Biotech, entreprise de biotechnologies située en Ille-et-Vilaine, ce test sera effectué à partir d’une simple goutte de sang.
A400M : élongation et capacité multirôle
Le PHA Dixmude (admis au service actif en juillet 2012) vient de quitter son port base de Toulon pour les Antilles. Auparavant en mission en Méditerranée, il a été rappelé pour pouvoir être engagé dans le cadre de l’opération Résilience dans la zone Antilles-Guyane en apportant des capacités logistiques et de soutien sans équivalent. Pour cette mission d’aide à la population, le Porte-hélicoptères amphibie a embarqué de nombreux matériels et équipements qui seront déployés en fonction des besoins exprimés par les autorités civiles et militaires aux Antilles-Guyane.
Les hélicoptères NH90 de l’Aviation légère de l’Armée de terre (Alat) sont mis à contribution dans le cadre de l’opération Résilience. La pratique de l’évacuation sanitaire (Évasan) est maîtrisée depuis de très nombreuses années par l’Alat. Les premières Évasan par hélicoptères ont débuté en Indochine en 1950, notamment à l’actif d’une jeune médecin-capitaine, Valérie André. Depuis, toutes les Opérations extérieures (Opex) voient la projection d’hélicoptères de manœuvre (SA330 Puma, AS532 Cougar, puis NH90). Ces appareils servent au transport de troupes, à la logistique mais aussi aux Évasan. Le NH 90 a été conçu pour assurer tout cet éventail de missions. Dans le cadre d’une Évasan, le Service de santé des armées (SSA) met en place des kits spécifiques.
Le général Pellistrandi, rédacteur en chef, a participé le 29 mars 2020 à un débat sur RFI - Radio France Internationale : « Le coronavirus, un tournant géopolitique ? ».
Le 26 février 2020, la croisière école « Jeanne d’Arc 2020 » a quitté la métropole avec le PHA Mistral (admis au service actif en 2006) et la Frégate légère furtive (FLF) Guépratte (ASA en 1999) pour une mission permettant d’achever la formation des officiers de Marine sortant de l’École navale. Le trajet prévu comprenait l’océan Indien et devait aller au-delà pour atteindre l’Asie et la mer de Chine. Cette année, le navire – outre son équipage d’environ 200 marins – accueille environ 140 officiers ou élèves-officiers, dont 84 enseignes de vaisseau de 2e classe de l’École navale, 40 élèves-officiers sous contrat, 7 commissaires et 9 élèves-officiers étrangers.
Face à la pandémie de coronavirus, les soldats français participant à l’opération Chammal et Irak vont être immédiatement rapatriés, a annoncé l’État-major des armées dans un communiqué publié mercredi. Ces quelque 200 militaires participent à des missions de formation.
À la demande du Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), sous l’autorité du Premier ministre, la Direction générale de l’armement (DGA) se mobilise pour identifier des solutions alternatives aux masques FFP2 (Filtering facepiece, littéralement « pièce faciale filtrante », de niveau 2) et chirurgicaux.
Le Porte-hélicoptères amphibie (PHA, ancien Bâtiment de projection et de commandement) Tonnerre va quitter Toulon pour la Corse afin de prendre en compte des patients civils atteints du Covid-19. Le but est de soulager l’hôpital d’Ajaccio en évacuant « entre 12 et 14 malades placés en réanimation vers les hôpitaux de la Côte d’Azur », a indiqué le préfet de Corse, Franck Robine.
Le kit Mortphée a été conçu après les attentats de Karachi (8 mai 2002) contre des employés de DCN (aujourd'hui Naval Group). Il permet des évacuations sanitaires massives (de 6 à 12 patients en réanimation). Il est installé à bord d'avions du type Boeing KC-135 de l'Armée de l'air : ces appareils sont en cours de remplacement par des Airbus A330 MRTT (Multi Role Tanker Transport) Phénix. Il est servi par du personnel du Service de santé des armées (SSA) spécialisés dans ce type de convoyage (médecins, infirmiers et convoyeuses). C'est donc un engagement interarmées associant l'Armée de l'air et le SSA. Dans le cas de l'épidémie de Covid-19, l'emploi répond à une demande de la Direction générale de la santé (DGS) du ministère des Solidarités et de la Santé pour transférer des patients civils de la région Nord-Est vers des structures hospitalières du Sud-Est moins embouteillées.
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