En 1960, les personnalités représentatives de l’Université, de l’Armée et de l’Industrie s’étaient réunies pour confronter leurs idées sur la formation des cadres. Depuis cette date, des tendances et des inquiétudes nouvelles se sont fait jour. C’est pourquoi il fut jugé utile, en 1963, de compléter l’effort du précédent colloque. Trois réunions eurent lieu dans ce but, d’abord à l’École Militaire, enfin à Jouy-en-Josas. On y adoptait le même thème qu’en 1960, sous quatre aspects : Lire les premières lignes
Dans un livre récent, l'auteur a tenté une définition de la stratégie adaptée aux besoins de notre époque : « L’art de faire concourir la force à atteindre les buts de la politique », la force n’étant pas seulement militaire, mais comportant également tous les moyens de coercition politiques, diplomatiques et économiques. Il s’agit donc d’un élargissement de la notion de stratégie à l’ensemble des facteurs participant à la décision, c’est-à-dire l’acceptation par l’adversaire des conditions politiques que l’on veut lui imposer. Lire les premières lignes
Cet article a été rédigé avant les événements qui ont renversé, les 1er et 2 novembre, le gouvernement Diem. La politique des hameaux, parfaitement valable en soi, sera vraisemblablement poursuivie par le nouveau régime mais, sans doute dans des conditions plus apolitiques et, partant, plus efficaces.
Chroniques
Bibliographie
Il y a quelques mois paraissait sous la plume de François Bloch-Lainé et sous le titre Pour une Réforme de l’entreprise un livre qui fit grand bruit. Lire la suite
L’analyse des actes et des pensées du Maréchal Pétain a été souvent faite en vue d’y trouver les preuves de sa culpabilité, qu’il s’agisse de questions militaires ou de choix politiques. Alfred Conquet, qui servit longtemps sous les ordres de Pétain, a entrepris dans ce livre de réfuter les critiques dont celui-ci a été l’objet, sinon toutes, du moins les principales. Suivant ses propres lumières ou ses propres sentiments, le lecteur appréciera l’argumentation d’Alfred Conquet, et se laissera aisément ou difficilement convaincre ; mais il reconnaîtra la clarté avec laquelle elle est présentée, et rendra hommage à l’esprit de fidélité de l’auteur envers son ancien chef. ♦
Nul doute qu’il faille lire ce livre et en méditer plusieurs des conclusions et suggestions. Écrit par des commissions formées de jeunes gens libérés du service militaire, il témoigne d’abord d’un état d’esprit : l’armée, dans sa forme actuelle, ne donne pas aux conscrits ce qu’ils attendent d’elle et les déçoit ; une armée de métier serait une sorte de « légion étrangère » dont la technicité enfermerait les membres dans le dilemme de l’emploi de la force, contre un ennemi extérieur mais aussi intérieur ; il faut qu’elle conserve des conscrits en nombre suffisant pour être représentative de la nation. Mais le pays a trop d’hommes pour les besoins propres de l’armée ; il faut donc ajouter au service militaire un service civil. Lire la suite
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