Cet article a été rédigé par le général Ély avant sa désignation au poste de Chef d’état-major général des forces armées. Lire les premières lignes
La RDN présente à ses lecteurs, sur le grave sujet de la Communauté européenne de Défense, ce diptyque qui témoigne une fois de plus, de son objectivité et de son impartialité. Il est à peine besoin d’ajouter que, selon une formule rituelle, ces articles n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs. Lire les premières lignes
La RDN présente à ses lecteurs, sur le grave sujet de la Communauté européenne de Défense, ce diptyque qui témoigne une fois de plus, de son objectivité et de son impartialité. Il est à peine besoin d’ajouter que, selon une formule rituelle, ces articles n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs. Lire les premières lignes
Le 27 juin 1950, aux termes d’une résolution du Conseil de Sécurité qui allait servir par la suite de fondement juridique à l’action des troupes de l’O. N. U., les Nations Unies étaient invitées à fournir à la République de Corée du Sud toute l’assistance nécessaire pour repousser l’agression armée. Lire les premières lignes
Chroniques
Bibliographie
M. Jonas Lied est un Norvégien de la race des Vikings. Parti encore tout jeune de son pays pour faire son éducation commerciale d’abord en Angleterre, puis en Allemagne et en France, il fut intéressé un jour par un voyageur rencontré dans un train et qui percevait les immenses possibilités commerciales de la Sibérie. M. Jonas Lied se donna alors tout entier, à partir de 1910, à la véritable besogne de pionnier que constituait l’exploitation des ressources sibériennes. Il établit son centre d’opérations à Krasnoïarsk, sur l’Iénisséi, descendant chaque année ce fleuve, à la belle saison, pour gagner l’océan Arctique où devait se présenter un navire venant de Norvège. Le passage du nord-est venait à peine d’être parcouru. C’était encore un exploit héroïque que d’affronter les glaces pour pénétrer dans la mer de Kara et atteindre l’embouchure du grand fleuve. M. Jonas Lied surmonta toutes les difficultés et avait obtenu des résultats remarquables quand la révolution russe vint anéantir le fruit de ses efforts. Lire la suite
A. Rossi nous présente le seul numéro des « Cahiers du Bolchevisme » paru pendant la « drôle de guerre ». Ce fascicule, dont la Bibliothèque nationale de Paris ne possède qu’une reproduction photostatique, n’est mentionné nulle part dans la presse communiste d’après 1941. Celle-ci a des raisons, que l’auteur analyse et commente. Elles s’inspirent d’une politique soviétique réaliste qui poursuit imperturbablement, parmi ses reniements, ses volte-face et son mépris des accords, les buts assignés par Lénine : subversion mondiale et absorption idéologique des Nations préalablement désagrégées, politiquement et socialement, par une propagande doctrinale souple et libre de scrupules. Lire la suite
À ses œuvres déjà remarquées : La bataille de Dunkerque, La campagne de Norvège, À la poursuite du Bismarck, Jacques Mordal vient d’ajouter une intéressante étude sur La bataille de Casablanca. Il s’agit du combat de trois jours (8, 9 et 10 novembre 1942) que se livrèrent Français et Américains lors du débarquement de ces derniers au Maroc. L’auteur retrace les divers combats autour de Port-Lyautey, à Fedala, autour de Casablanca, et à Safi, en donnant une description extrêmement détaillée que lui permet une connaissance évidemment très poussée de son sujet. Il s’étend plus particulièrement sur l’engagement des navires : croiseurs, contre-torpilleurs, torpilleurs et sous-marins, apportant des précisions et des renseignements qu’on ne saurait trouver nulle part ailleurs. Il souligne l’héroïsme déployé de part et d’autre dans l’accomplissement du devoir, quelque pénible que pût être celui-ci. Il met bien en valeur l’invraisemblable chance qu’eurent les Américains de trouver du calme plat sur cette côte du Maroc, surtout en cette période de l’année. Lire la suite
On sait l’importance de cette belle publication que dirige M. Jacques Lacour-Gayet, membre de l’Institut, et à laquelle collaborent des économistes, des juristes, des archivistes, des géographes et des linguistes de haute valeur. Avant que le tome III ne soit sorti des presses, ce sont les tomes IV et V qui sont ici présentés. Le tome IV traite du commerce depuis le XVe siècle. C’est une époque majeure pour l’essor du commerce que celle que présente Jean Canu par son étude sur le Nouveau Monde et l’Or espagnol. Ainsi que l’expose Claude-Joseph Gignoux, la période mercantile ne tarde pas à s’ouvrir. La marche du mercantilisme vers le libéralisme est suivie par André Gobert. Lire la suite
Un chasseur de la Luftwaffe raconte sa guerre. Le récit commence au moment du débarquement allié en Sicile et se termine en mars 1945, dans le réduit tchèque où Peter Henn, descendu par l’aviation soviétique, perd ses deux jambes. Le style est direct, vivant, sans apprêt. Parfois même l’auteur adopte le pittoresque style parlé qui est en usage sur toutes les pistes aériennes du monde. Lire la suite
Si un sujet peut être qualifié de neuf et d’inconnu, c’est bien celui de L’Art et la Mer. Ce n’est pas que « l’art marin » soit nouveau puisque, même si l’on ne s’en tient qu’à la peinture, il ne le cède en ancienneté qu’à l’Art de l’animalier. Mais cet ouvrage est le seul qui ait étudié un si vaste sujet sous ses aspects les plus divers. Lire la suite
Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.
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