Juillet 1956 - n° 138

« Qu’on apprenne donc, de gré ou de force, que tout pays qui parle arabe est notre pays. » Lire les premières lignes

  p. 823-827
  p. 828-846
  p. 847-857
  p. 858-873

Il a semblé longtemps qu’il y avait dans la stratégie un certain nombre de principes et de règles simples qu’il suffisait, par un travail plus ou moins facile d’extrapolation, d’appliquer aux moyens nouveaux pour maîtriser ceux-ci et les faire entrer dans le cadre familier. Lire les premières lignes

  p. 874-893
  p. 894-903

Dans un précédent article nous avons exposé les éléments politiques sur lesquels s’est ordonnée depuis 1945 l’hégémonie soviétique sur la mer Baltique ; il convient maintenant de préciser les moyens militaires adéquats qui appuient dans cet espace la diplomatie du Kremlin. Leur caractéristique est la présence, dans cette zone opérationnelle bien déterminée, d’une force aéro-navale considérable et en constant renforcement. Le développement, depuis dix ans, de la marine soviétique a pris un caractère si rapide que d’aucuns estiment qu’elle surclasse celle de la Grande-Bretagne. Aux dires d’experts (1), elle apparaîtrait réellement comme le « n° 2 sea power in the world » en état d’armement. Elle s’articule en 6 flottes réparties entre l’océan Glacial Arctique (Mourmansk), la mer Baltique (Paldiski), la mer Noire (Sébastopol) et l’océan Pacifique (Vladivostok) (2)Lire les premières lignes

  p. 904-922

Dans cet exposé, nous distinguerons : 1° la réforme agraire ; 2° l’industrialisation et, corrélativement, les communications et les grands travaux ; 3° les réformes sociales : émancipation de la femme, structure de la famille, langage et écriture ; 4° le sort des minorités nationales. Lire les premières lignes

  p. 923-963

Dans mon précédent article (1) je me suis efforcé de présenter, après un bilan sommaire des résultats obtenus par l’O.T.A.N. dans le domaine militaire, quelques suggestions sur la tâche que pourrait remplir cette organisation dans le domaine politique et surtout dans le domaine économique. Lire les premières lignes

  p. 937-942
  p. 843-849

Chroniques

  p. 950-953
  p. 953-957
  p. 957-962
  p. 963-966

Le renforcement des effectifs par l’envoi des disponibles en Algérie et la reconversion tactique permettent désormais aux troupes françaises de marquer un net avantage chaque fois qu’elles réussissent à accrocher les bandes rebelles. Sentant sa position de plus en plus critique sur le plan des opérations militaires, la rébellion accentue son action terroriste dans le but d’effrayer les colons français et dans l’espoir de provoquer un contre-terrorisme qui rendrait impossible une réconciliation des deux éléments de la population. Le 7 mai 1956, 40 fermes ont été attaquées entre Oran et la frontière marocaine et 20 Européens ont été assassinés ; le 26 mai, 12 Européens ont été égorgés à Oumache, au sud de Biskra. L’énergie du ministre-résidant, M. Robert Lacoste, et la confiance qu’il a fait renaître parmi la population européenne ont évité les réactions dangereuses d’une colère légitime. Lire la suite

  p. 966-968

Bibliographie

André Thérive : Clinique du langage  ; Éditions Bernard Grasset, 1956 ; 316 pages - L. R.

André Thérive nous offre une sorte d’étude sur la formation – et la déformation – du parler contemporain. Lire la suite

  p. 969-969

Collection : « La Nature vivante »  ; Éditions Horizons de France - L. R.

Cette collection offre aux lecteurs des études aussi diverses que possible, illustrées de photographies en noir et en couleurs. Elle nous montre les diverses manifestations de la vie sur la terre. Lire la suite

  p. 970-970

La Réunion  ; Collection « Richesses de France », CAEL, 1956 ; 125 pages - L. R.

Parmi la collection « Richesses de France », richement illustrée, citons l’ouvrage consacré au plus lointain des départements français : La Réunion. Il donne une idée précise de l’île enchanteresse, aimée des marins et louée par les poètes Il souligne la variété de ses paysages, de ses productions, de ses climats. La Réunion, qui correspond au tiers d’un département de la métropole, nous offre les végétations tropicales sous un climat des latitudes tempérées. Des champs de canne à sucre l’entourent presque tout entière. Lire la suite

  p. 970-971

Collectif : Le Dictionnaire des difficultés de la Langue française  ; Éditions Larousse 1956 ; 448 pages - L. R.

Les Éditions Larousse viennent de publier un nouveau dictionnaire appelé à rendre les plus grands services : Dictionnaire des difficultés de la Langue française, par Adolphe V. Thomas, chef-correcteur des Dictionnaires Larousse, sous la direction de M. Michel de Toro, docteur ès-lettres. Lire la suite

  p. 971-971

Jacques Soustelle : La vie quotidienne des Aztèques  ; Librairie Hachette, 1955 ; 318 pages - R. Bt.

Il est peu d’exemples aussi caractéristique de la fragilité des civilisations humaines, que celui que nous présente ici Jacques Soustelle. Issus de tribus primitives de nomades chasseurs, les Aztèques, après cinq siècles de barbarie, prennent progressivement contact avec les sédentaires Toltèques, hautement civilisés. Puis, ils font irruption dans leur habitat. Suivant le processus habituel, le conquérant adopte la culture supérieure du vaincu. C’est le développement des différentes formes de cette culture qui est l’objet de ce livre. Durant un siècle (de 1430 à 1519), il nous est donné de mesurer la valeur d’une civilisation à base autoritaire et mystique, d’un caractère sans équivalent, à ce moment-là, dans le monde. Puis, en plein épanouissement, c’est le débarquement de Fernand Cortes, et c’est la conquête violente qui, en quelques années, anéantit toutes les formes et presque toutes les traces de la culture ancienne. Lire la suite

  p. 971-972

Jérôme Carcopino : De Pythagore aux Apôtres  ; Éditions Flammarion, 1956 ; 380 pages - R. Bt.

C’est un ouvrage d’érudition. Le sous-titre : Études sur la conversion du monde romain, précise les intentions de l’auteur qui, avec une science incomparable de l’épigraphie, de l’interprétation des textes et des symboles, étayée par une somme monumentale de connaissances, nous entraîne dans la vie religieuse romaine des trois premiers siècles du christianisme. Nous y voyons évoluer et réagir l’un sur l’autre, les milieux païens et chrétiens. Les influences réciproques, infiniment nuancées, sont souvent préparées par des tendances internes venant de fort loin dans le temps. C’est ainsi que l’on voit le pythagorisme s’éloignant du paganisme primitif, se rapprocher du christianisme, notamment lorsqu’il fait, du saut de Sappho à Leucate, le symbole du salut par le sacrifice, cependant que Clément d’Alexandrie, évoquant le triomphe moral d’Ulysse attaché au mât de son bateau, adjure les païens de l’imiter et de recourir à l’assistance de l’Esprit-Saint en se faisant attacher à la Croix, qui est le « bois du salut ». Lire la suite

  p. 972-973

Marcel-Edmond Naegelen : Grandeur et solitude de la France  ; Éditions Flammarion, 1956 ; 225 pages - R. Bt.

Entreprendre d’écrire l’histoire contemporaine, c’est tenter de saisir l’insaisissable : « Le tableau du monde se modifie sous les yeux comme un paysage de montagne quand passent les nuages dans le ciel ». C’est pour cette raison que l’auteur a choisi de brosser ici un tableau à larges traits, pour marquer « ce que peut être encore la place de la France dans le monde à la seconde moitié du XXe siècle ». De même, il met surtout l’accent sur ce qui a quelque chance de ne pas se transformer durant l’élaboration d’un ouvrage : « L’état économique et l’état psychologique du pays ». Lire la suite

  p. 973-973

Henri Poydenot : Quand le ciel était Français  ; Éditions Amiot-Dumont, 1956 ; 228 pages - R. Bt.

Cet ouvrage ne prétend pas être une histoire complète de la conquête de l’air. L’auteur s’attache surtout à montrer l’apport prédominant des Français dans la naissance et le développement de la navigation aérienne. Il souligne aussi, en comparant les premiers types d’avions aux avions actuels, combien l’imagination créatrice de nos constructeurs avait, dès l’origine, vu loin et juste. Les anciens liront ce livre avec émotion ; les jeunes y trouveront les traces d’une foi exemplaire. ♦

  p. 974-974

Général Pierre-André Bourget : Le général Estienne  ; (préface du général Maxime Weygand) Éditions Berger-Levrault, 1956 ; 94 pages - M. B.

Bibliographie fort intéressante, agréable à lire qui met en lumière les belles qualités d’inventeur et aussi de soldat du général Estienne. ♦

  p. 974-974

Gilbert Brunet : Les Fils des Vainqueurs (1924-1929) : Le temps de l’Espoir  ; Librairie académique Perrin, 1955 ; 318 pages - M. B.

Cet ouvrage est une longue étude psychologique sur la mentalité de la jeunesse française entre 1924 et 1929. ♦

  p. 974-974

Franz L. Neher : Mars aller-retour  ; (traduit par Sorana Gurian) Éditions Calmann-Lévy, 1955 ; 349 pages - M. B.

Cet ouvrage plein d’imagination renferme, surtout dans sa première partie, des détails techniques très intéressants. ♦

  p. 974-974

Walter Kolarz : Les Colonies russes d’Extrême-Orient  ; Éditions Fasquelle, 1955 ; 238 pages - R. Bt.

L’auteur rassemble tout ce qu’il est possible à un Occidental de savoir sur les colonies russes en Extrême-Orient, c’est-à-dire sur les territoires bordés par les mers du Japon et d’Okhotsk et ayant des frontières communes avec la Chine, le Japon, la Corée, les États-Unis. « Pour l’Extrême-Orient soviétique, dit-il d’ailleurs, l’isolement du monde extérieur est complet depuis la fin de 1948. » Lire la suite

  p. 974-974

Anton Lubke : L’Homme dans les profondeurs de la Terre  ; Éditions Plon, 1955 ; 326 pages - R. Bt.

« Le présent livre se propose d’attirer l’attention, même des profanes, par le texte et par l’image, sur un domaine qui n’a retenu jusqu’ici que celle de quelques amateurs et des savants, et qui renferme pourtant tant de prodiges. » Ainsi s’exprime l’avant-propos de cet ouvrage qui traite des grottes cavernes, mines et autres cavités souterraines. Lire la suite

  p. 974-975

René Maran : Les Pionniers de l’Empire  ; Éditions Albin Michel, 1955 ; 280 pages - R. Bt.

Ce troisième volume de biographies que René Maran consacre aux bâtisseurs de la France d’outre-mer, présente à la fois des personnalités de premier plan et des personnages non moins admirables et efficaces, mais moins connus. Le nom de Dupleix est dans la grande histoire. Celui de Mgr Pigneaux de Behaine, évêque d’Adran et évangélisateur du Siam, du Cambodge et de l’Indochine a déjà moins de notoriété. Lire la suite

  p. 975-975

Ludwig Opitz : Croix de fer  ; Éditions Pierre Horay, 1955 ; 223 pages - M. B.

Cet ouvrage est une peinture tristement exacte des horreurs de la guerre ; d’un réalisme souvent outré, il renferme, à côté de pages magnifiques et vraies, des détails scatologiques qui les déparent ; il présente les officiers, les cadres subalternes et les soldats allemands sous un aspect général qui n’a été qu’une exception, car il oublie l’enthousiasme et le dévouement à la Patrie qui animait la masse des combattants jusqu’au jour où la défaite leur apparut comme inévitable. ♦

  p. 975-975

Giles Rommilly et Michel Alexander : La tour de Golditz  ; Éditions France-Empire, 1954 ; 316 pages - Henry Freydenberg

MM. Giles Romilly et Michael Alexander, en narrant les vicissitudes de leur captivité en Allemagne pendant la dernière guerre, nous font assister en fait aux traitements réservés aux prisonniers « de marque » par le IIIe Reich. Certes les prominenti n’ont pas toujours joui du confort et des soins auxquels ils étaient habitués en période de paix. La surveillance stricte de leurs geôliers était odieuse mais bien qu’Ernst Kaltenbrunnel les ait eus un moment sous sa férule ; ils n’ont jamais craint le pire, « la chambre à gaz et le four crématoire ». Le récit, fait avec beaucoup d’humour, est fort intéressant et les Allemands avaient certainement médité la morale de la fable de La Fontaine : « Suivant que vous serez puissant ou misérable… » ♦

  p. 974-974

Lincoln Barnett : Einstein et l’Univers  ; Éditions Gallimard, 1951 ; 222 pages - R. Bt.

Ce livre est, à la fois, un résumé magistral de ce que nous savons aujourd’hui de la nature de l’Univers et de ce qu’a été la participation d’Einstein à l’accroissement de cette connaissance. Le champ des problèmes exposés est immense et la compréhension complète de ceux-ci nécessiterait les lumières réunies des plus grands savants du monde. Aussi Lincoln Barnett se propose-t-il de rendre ces problèmes accessibles, dans leur sens le plus général, à un très grand nombre de lecteurs. Einstein lui-même juge du résultat obtenu puisqu’il écrit dans la préface : « Le livre de Lincoln Barnett apporte une contribution de grande valeur à la littérature scientifique populaire. » ♦

  p. 976-976

Antonina Vallentin : Le drame d’Albert Einstein  ; Éditions Plon, 1955 ; 254 pages - R. Bt.

Voici rassemblés et imbriqués dans une biographie passionnée et vivante d’Einstein, un portrait d’une pénétration et d’une vérité rarement atteintes, et l’exposé du drame de la vie du savant qui, profondément pacifiste, voit sa pensée et ses travaux aboutir à la réalisation des bombes atomiques. Lire la suite

  p. 976-976

Général Théo Osterkamp : Avant tout pilote de chasse  ; Éditions France-Empire, 1955 ; 348 pages - R. Bt.

Plus de la moitié de l’ouvrage est consacrée à l’histoire de la renaissance de la Lutfwaffe. Puis c’est la guerre, la guerre d’un pilote de chasse passionné de son métier et de son rôle. On retrouve dans ce récit les échos des controverses qui opposaient les tenants des bombardiers et des chasseurs. Théo Osterkamp, pourtant hitlérien convaincu et qui vécut dans sa chair les erreurs du Führer, tend à démontrer que la chasse reste primordiale, non seulement dans son cœur mais aussi dans l’évolution de la guerre. ♦

  p. 976-976

J. Norton Léonard : Ciel des hommes  ; Éditions Arthaud, 1955 ; 280 pages - R. Bt.

Sous ce titre, J. Norton Leonard, critique scientifique du Time fait une synthèse complète de tous les problèmes que pose la conquête des espaces interplanétaires. Lire la suite

  p. 976-977

Edmund W. Eallot : Le Japon à l’ère américaine  ; Documents du Monde, 1955 ; 188 pages - R. Bt.

Ceci est un témoignage vivant. L’auteur (journaliste américain) est arrivé au Japon en 1952, au moment où le pays retrouvait sa souveraineté. Plein de curiosité, il essaie de tout voir, de tout connaître, de tout comprendre. Le monde dans lequel il pénètre est en pleine effervescence, en plein « devenir ». Aussi, parfois, peut-on constater, à quelques mois d’intervalles, certaines oppositions dans ses points de vue. De même remarque-t-on de flagrantes contradictions dans le comportement des Japonais. Peu importe ! Edmund W. Ballot tente de saisir la vie en mouvement. Et il y réussit. Nous voyons le Japon, convaincu que sa force essentielle tient du respect de ses traditions, s’engager résolument dans de nouvelles formes de vie et de pensée (l’ère américaine) sans rien abandonner de son passé. Que fera-t-il de son armée renaissante ? Nul ne le sait. Mais certainement il l’utilisera au relèvement de sa propre grandeur. ♦

  p. 977-977

Fernand Gigon : Formose ou les tentations de la guerre  ; Documents du Monde, 1955 ; 188 pages - R. Bt.

Fernand Gigon est allé à Formose en 1951, 1952, 1953 et 1954. Cette simple énumération montre, non seulement qu’il connaît parfaitement le pays et ses habitants, mais aussi et surtout qu’il a vu évoluer les événements qui font de Formose un des points les plus sensibles du monde. D’où son titre : Les Tentations de la guerreLire la suite

  p. 977-977

Walter O. Knitel : Allemagne… Heure zéro  ; Documents du Monde, 1955 ; 222 pages - R. Bt.

Walter O. Knitel était journaliste allemand. Naturalisé français il a parcouru l’Allemagne d’après-guerre en se disant Alsacien. Il a donc beaucoup vu, beaucoup lu et surtout beaucoup interrogé. Ainsi tente-t-il de nous donner un panorama de l’Allemagne actuelle, l’Allemagne fédérale (RFA) rendue à la liberté. La sincérité et la vérité semblent éclater à chaque page. Lire la suite

  p. 977-978

Guy Le Rumeur : Le grand méhariste  ; Éditions Berger-Levrault, 1955 ; 216 pages - R. Bt.

Comme la mer et comme l’air, le désert impose à l’homme des disciplines qui l’obligent à se surmonter et à accéder à la fois aux plus hauts domaines de la spiritualité, de l’action désintéressée et de l’héroïsme. Joseph Peuré, dans une préface magistrale, présente Le Coq, officier d’infanterie coloniale, « Grand Méhariste » « qui commença par une victoire sur lui-même, victoire qui s’impose à qui veut mériter du Désert » et dont le souvenir est impérissable dans la mémoire de ceux qui « pratiquèrent la même ascène et souffrirent eux aussi l’exaltation des solitudes ». Le Grand Méhariste, c’est une aventure actuelle et vécue – et c’est l’histoire d’un de ceux que le Sahara forgea jusqu’à le promouvoir au rang des Grands exemples. ♦

  p. 978-978

Rosita Matza : Le silence est d’or   ; Éditions CMM, 1954 ; 207 pages - R. Bt.

Au printemps de 1773, un couple français se faisant appeler comte et comtesse de Joinville, voyage en Italie et se fixe un moment à Modigliana, au sommet des Appennins. Ce couple, en vérité est composé de Louis-Philippe-Joseph d’Orléans (dit Égalité) et de Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre. Ils font connaissance d’un geôlier, Lorenzo Chiappini, dont la femme Vicenzia Diligenti est enceinte. La Duchesse est enceinte aussi. Lire la suite

  p. 978-978

Général Pierre Paquier : Je suis aviateur   ; Éditions du Conquistador, 1955 ; 124 pages - R. Bt.

L’auteur nous raconte sa vie et nous dit comment il est devenu aviateur. Puis il nous fait sentir les hautes joies éprouvées dans la pratique du vol. Dans la seconde partie il analyse les éléments qui déterminent certains êtres (hommes ou femmes) à s’engager dans « la vie ardente de l’espace ». Petit ouvrage rempli de l’enthousiasme et de la foi en la valeur exaltante de la discipline aérienne. Doit susciter les vocations. ♦

  p. 978-978

Jean-Jacques Brieux : La Chine du Nationalisme au Communisme  ; Éditions du Seuil, 1951 ; 464 pages - R. Bt.

C’est beaucoup plus une tentative d’explication qu’une histoire ou un tableau complet. « La Chine vient de tourner une page » dit l’auteur. C’est là un phénomène mondial de première importance, surtout si l’on considère qu’il s’agit du premier pays du monde par la population, du second par l’étendue. Aussi un certain nombre de questions se posent-elles : Lire la suite

  p. 979-979

Georges Harold Galpin (dir.) : La Nation Sud-Africaine : valeurs et idéaux d'une société pluriraciale  ; Éditions du Rocher-Monaco, 1954 ; 219 pages - R. Bt.

C’est une œuvre collective. Son propos est de montrer comment une Nation a pu se constituer dans la pluralité raciale et religieuse des éléments ethniques de base, pluralité accentuée par l’évolution sociale résultant du passage d’un état initial entièrement agricole à un développement industriel considérable. L’histoire des cent cinquante dernières années de l’Afrique du Sud, dit l’introducteur, est « une longue suite de luttes et de conflits : conflits entre homme noir et homme noir, entre homme blanc et homme noir, entre homme blanc et homme blanc ; lutte de l’homme noir et blanc contre une nature avare. » Lire la suite

  p. 979-979

Revue Défense Nationale - Juillet 1956 - n° 138

Revue Défense Nationale - Juillet 1956 - n° 138

Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.

Revue Défense Nationale - Juillet 1956 - n° 138

La RDN vous invite dans cet espace à contribuer au « débat stratégique », vocation de la Revue. Cette contribution doit être constructive et doit viser à enrichir le débat abordé dans le dossier. C’est l’occasion d’apporter votre vision, complémentaire ou contradictoire. Vos réponses argumentées seront publiées sous votre nom après validation par la rédaction.

Aucune contribution n'a encore été apportée.