Discours du président de la République, le jeudi 29 août 2002, à l'occasion de la réception des Ambassadeurs. Lire la suite

  p. 11-24

Le projet de loi de programmation 2003-2008, approuvé en conseil des ministres a été présenté le 11 septembre 2002 par le ministre de la Défense. La rédaction a jugé utile de présenter de brefs extraits du dossier de presse adaptés au thème central de ce numéro. L'intégralité du projet de loi est disponible sur le site www.defense.gouv.fr/actualites/dossier/d140/index.htm Lire les premières lignes

  p. 25-32

Euronaval 2002

À la suite des événements du 11 septembre 2001 aux États-Unis, la France s'est immédiatement engagée, en particulier sur le plan militaire, dans une lutte déterminée contre le terrorisme. La marine, pour sa part, participe à l'opération Héraclès. Cependant, le 11 septembre bouleverse aussi les schémas stratégiques. Sur le plan maritime, une nouvelle stratégie se dessine, qui, tout en confirmant la pertinence des options prises en 1995 et du modèle d'armée 2015, rend nécessaire de renforcer la surveillance et la sauvegarde dans les approches maritimes. Elle s'inscrit désormais dans une relation action opérationnelle-dissuasion-sauvegarde renouvelée. Cette évolution stratégique s'insère par ailleurs dans une perspective européenne, voie dans laquelle la marine est aujourd'hui pleinement engagée. Lire les premières lignes

  p. 33-43

Euronaval se tiendra à Paris-Le Bourget du 21 au 25 octobre 2002. Organisée par le Groupement industriel des constructions et armements navals (Gican) qui rassemble les industriels français du secteur naval, la manifestation est devenue un événement majeur pour la profession. Euronaval est l'occasion pour le président du Gican, Jean-Loup Picard, de faire le point sur la situation de notre industrie navale française, d'insister sur les enjeux et dégager les perspectives qui s'y attachent.

  p. 45-55

Face à l'évolution forte des pratiques d'acquisition d'armement naval par les marines et aux restructurations en cours au sein de l'industrie navale européenne, DCN a préparé sa propre mutation pour lui permettre d'accroître sa compétitivité et de participer à la recomposition du secteur. Sa transformation en société, au début de l'année 2003, et les perspectives d'activité qui sont les siennes, tant au plan national qu'à l'exportation, lui permettront de renforcer sa performance au service de la Défense nationale, et d'être acteur majeur de la recomposition de l'industrie navale militaire en Europe.

  p. 57-62

Le 1er août 2002, Armaris, société commune DCN-Thales, a démarré son activité. L'accord auquel ont abouti DCN et Thales permet de créer un acteur majeur du secteur naval en confortant la présence des deux partenaires sur la scène internationale. Lire les premières lignes

  p. 63-66

Depuis cinq ans, le secteur « marine » d'Alstom est lancé dans une stratégie de conquête sur les marchés de construction de navires perfectionnés, dont il est devenu un des leaders mondiaux. Portée par les plans Cap 21 puis Cap 21+, la politique d'amélioration continue de la performance menée par Alstom Marine a donné des résultats positifs dans tous les domaines de son activité. Les progrès enregistrés dans la réalisation de navires civils profitent déjà aux navires militaires, une tendance qui devrait se confirmer dans les années à venir.

  p. 67-76

L'évolution des menaces et du contexte géostratégique de ces quinze dernières années a démontré aux nations occidentales la nécessité de renforcer leurs capacités d'intervention, notamment dans le domaine naval. Ces capacités requièrent des moyens modernes, « interopérables », diversifiés et évolutifs, qu'un groupe comme EADS est à même de fournir, aux meilleures conditions techniques et économiques, du fait de sa structure transverse et consolidée. Néanmoins, la consolidation industrielle doit pouvoir s'appuyer sur une politique d'acquisition européenne harmonisée, accompagnée d'une gestion pragmatique, pour satisfaire les objectifs capacitaires de l'Europe de la Défense.

  p. 77-90

Depuis plus de vingt ans, Navfco, branche « marine » de Défense Conseil International, a acquis une expérience unique dans la formation et le conseil au profit des marines, de l'aviation navale et des services hydrographiques étrangers. Plus de 30 marines ont fait appel à Navfco depuis sa création et plus de 10 000 officiers, officiers mariniers, marins et spécialistes ont bénéficié de cette formation. La prise en main d'un navire de combat n'est pas une entreprise facile. Pour réussir la formation d'un nouvel équipage, Navfco doit surmonter les difficultés de langage et de culture, ainsi que celles résultant de la complexité croissante des bâtiments de combat. Dans ce challenge, l'outil pédagogique multimédias est le complément indispensable de l'instructeur provenant de la marine française qui est, surtout et avant tout, un spécialiste dans son domaine.

  p. 91-104

Le marché de la construction navale connaît depuis plusieurs années une mutation profonde, marquée par l'augmentation de la part des systèmes et des équipements dans la valeur ajoutée et par la rationalisation des flottes. La concurrence reste difficile, avec un marché de l'occasion toujours actif et une augmentation du nombre d'acteurs, conséquence de l'ambition d'un nombre croissant de pays, clients traditionnels, de se doter de capacités de fabrication, et à plus long terme, de conception. L'industrie française aborde cependant ces évolutions avec l'atout de disposer d'une gamme complète de plates-formes, adaptées aux marchés d'exportation et proposées avec une panoplie d'équipements et d'armements très performants.

  p. 105-119

Les chantiers navals européens, confrontés à la réduction des budgets de la défense et à des marchés à l'exportation plus étroits, doivent se restructurer pour rentabiliser leur potentiel de production et assurer leur survie. Cependant, cette situation difficile est aussi une occasion unique pour l'Europe de bâtir une industrie navale militaire digne d'une grande puissance. Face à l'intérêt croissant de l'industrie américaine pour ce secteur, à la réduction de ses marges de manœuvre et à l'absence de vision d'ensemble, l'Europe n'a toutefois que peu de temps pour se mobiliser et mener à bien un tel projet industriel.

  p. 121-136

Cette décennie verra débuter le renouvellement d'une grande partie de la flotte de surface, avec la mise en service des deux bâtiments de projection et de commandement (BPC), de deux frégates Horizon et du premier de série de la nouvelle classe de frégates multimissions (FMM). Le projet de loi de programmation militaire prévoit également le lancement d'un deuxième porte-avions. C'est donc un investissement majeur pour la défense, dans lequel la Marine nationale s'est engagée activement. Les réflexions conduites sur les évolutions des technologies navales et des systèmes socio-techniques d'exploitation des navires, en rupture avec celles utilisées jusqu'à présent qui n'avaient pas fondamentalement changé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, ouvrent des voies significatives de réduction de coûts de possession et d'augmentation des taux de disponibilité. L'objet de cet article est de présenter les besoins de la marine et les solutions qui semblent les plus prometteuses en matière de construction, d'exploitation et d'entretien pour ces nouvelles générations de bâtiments de surface. Lire les premières lignes

  p. 137-148

Après le 11 septembre : conséquences stratégiques pour la France (1re partie - « Le constat »)

La matinée du 25 juin 2002 était consacrée au constat et à la gestion de la crise post-11 septembre 2001. Lire la suite

  p. 149-152

L’attentat du 11 septembre aux États-Unis correspond à un phénomène complètement nouveau qui a contourné les différentes formes de dissuasion militaire existantes, nous amenant à faire preuve d’une très grande modestie. Les formes d’organisation de la défense du territoire et de la sécurité intérieure en France sont-elles appropriées à ce type de menace ? Lire les premières lignes

  p. 153-157

Le 11 septembre a servi de révélateur à la fois de nos forces et de nos faiblesses. Nous sommes très certainement entrés dans un combat de longue haleine dont l’Europe n’a peut-être pas encore pris la complète mesure. Lire les premières lignes

  p. 158-161

Depuis plusieurs années, la Marine nationale engage un volume croissant de ses moyens dans les missions de protection de nos approches maritimes. En y consacrant, en 2001, près de 25 % du potentiel annuel d’activité de ses bâtiments et aéronefs, elle se situe au cœur d’un véritable dispositif de sauvegarde maritime. Tout laisse penser que cette tendance s’accentuera dans les prochaines années. Lire les premières lignes

  p. 161-166

C’est la question que nous nous sommes tous posé et à laquelle les responsables, les chercheurs, les observateurs (journalistes, hommes politiques…), ont répondu « Oui ! ». Lire les premières lignes

  p. 167-175

Je partage très largement l’analyse effectuée par M. Cousseran quant aux enseignements que l’on peut tirer de cette crise post-11 septembre. Lire les premières lignes

  p. 175-180

Comme cela a été écrit et dit, cette crise se caractérise au plan opérationnel par quatre facteurs principaux : Lire les premières lignes

  p. 180-189

Je crois qu’en termes de surprise, les événements du 11 septembre se sont passés de manière différente pour les États-Unis et pour la France. Pour les États-Unis, on peut parler de surprise tactique, mais pas de surprise stratégique car tous les indicateurs existaient : O. ben Laden était déjà considéré comme l’ennemi n° 1, le World Trade Center avait déjà été pris pour cible, et l’idée d’un terrorisme « catastrophiste » était déjà débattue dans les milieux stratégiques depuis au moins 1996-1997. En revanche, le cas est différent pour la France, car si pour les Américains les interrogations concernaient (ou auraient dû concerner) le lieu, le moment et les moyens, nous ne pouvions pas soupçonner en France que l’ampleur de l’attentat serait telle que nous nous sentirions obligés de nous impliquer comme nous l’avons fait, nos intérêts étant en jeu. Il me semble donc que, paradoxalement, on peut davantage parler de surprise stratégique pour la France que pour les États-Unis. Lire les premières lignes

  p. 190-193

Le 11 septembre 2001, les États-Unis, principale puissance diplomatique et militaire de la planète, ont été frappés sur leur sol par des actions terroristes spectaculaires et coordonnées, menées pour l’essentiel par des islamistes d’origine saoudienne, organisés en réseau international ayant des connexions dans de très nombreux pays, y compris en Europe et en France. Lire les premières lignes

  p. 194-199

° A-t-on des exemples de coordination réussie entre des gens de différents ministères, de différentes origines, ayant travaillé ensemble sur un objectif précis ? (Amiral Lacoste). Lire la suite

  p. 200-202

Repères - Opinions - Débats

Actes barbares, les attentats du 11 septembre ont bouleversé les États-Unis et le monde civilisé. Au-delà de leur horreur, ils constituent cependant un socle conjoncturel sur lequel les acteurs essentiels de la vie politique américaine rebâtissent. La reconfiguration géopolitique qui en est leur conséquence permet à l'exécutif de retrouver, à l'intérieur comme à l'extérieur, une autorité quelque peu altérée par la disparition de la menace soviétique. Elle reconstruit la légitimité de l'appareil politico- militaire. Plus largement, c'est l'identité américaine qui retrouve sa netteté par recomposition d'un projet transcendant permettant aux individualismes de se ressouder dans une vision nationale retrouvée.

  p. 203-211

L'opinion publique américaine n'a jamais exigé des guerres « zéro mort », mais elle attend de ses dirigeants qu'ils ne gaspillent pas la vie des GIs. Ce désir de limiter les pertes humaines est un pilier fondamental de la culture stratégique américaine. Les technologies issues de la Revolution in Military Affairs (RMA) – précision, furtivité, rapidité – permettent de minimiser les pertes. Si les Européens n'y prennent garde, cette évolution pourrait engendrer de sérieux problèmes d'« interopérabilité » entre l'armée américaine et les armées européennes.

  p. 213-222

Le 11 septembre 2001, Oriana Fallaci est dans son appartement de Manhattan. Elle en devient « enragée » et écrit un livre qui a fait scandale, présentant de l'islam un tableau sans pitié. À ce pamphlet poivré, on oppose ici un doux catéchisme où Tahar Ben Jelloun explique aux petits musulmans ce qu'il tient pour le vrai islam. Lire les premières lignes

  p. 223-227

La doctrine Bush, lutte totale et permanente contre le terrorisme, se donne comme instrument majeur « l'action militaire pre-emptive » : anéantir la menace dans l'œuf, frapper l'ennemi avant qu'il ne puisse agir. Cette question de la guerre préventive fait partie de ces débats stratégiques qui reviennent régulièrement. Les principes donnent finalement une réponse ambiguë : l'usage de la force ne saurait être admissible que pour réparer un tort ; en même temps, comment interdire totalement à un État, ou une communauté d'États, de prendre l'initiative, dès qu'il est sûr que l'adversaire développe des armes redoutables ? La prévention est-elle efficace ? La guerre est par nature imprévisible. Elle n'est jamais le produit d'une volonté parfaitement libre, mais le fruit d'une combinaison hasardeuse de circonstances et de calculs. La plupart des guerres pouvant être présentées comme préventives ont échappé à leur initiateur. Pourquoi une action militaire préventive en Irak échapperait-elle aux lois multiséculaires de la puissance et de ses aléas ? Cette action ne peut être limitée ni dans l'espace, ni dans le temps. Lire les premières lignes

  p. 228-234

Chroniques

L’intranet (1) de la marine est né en 1998, quand les premiers services web et de messagerie ont été mis à la disposition des marins dont l’ordinateur pouvait être connecté aux réseaux locaux de la Marine nationale (RLM). Baptisé Intramar, par contraction, il a vocation à être étendu à toutes les formations et organismes et, parmi eux, à tout le personnel de la marine, militaire ou civil, embarqué ou affecté à terre, susceptible d’en avoir l’usage dans ses fonctions. Depuis 2001, l’Intramar permet aux « cyber marins » de naviguer sur les intranets des organismes de la défense connectés au réseau Intradef, l’intranet fédérateur du ministère. Lire la suite

  p. 235-237

Même si, lors de la campagne pour les élections présidentielles, les deux principaux candidats, Jacques Chirac et Lionel Jospin — que les commentateurs et sondeurs avaient imprudemment investi avant l’heure duellistes du second tour — avaient pris clairement position en faveur de cette réforme, la modification du rattachement ministériel de la gendarmerie, à l’annonce de la composition du gouvernement Raffarin, a malgré tout fait l’effet d’un véritable électrochoc. Il est vrai que la question qui est posée dépasse le domaine purement institutionnel et politique : il ne s’agit pas seulement de savoir, en somme, qui commande la gendarmerie, qui en est le maître à bord, le ministre de la Défense ou son collègue de l’Intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales. Lire les premières lignes

  p. 238-242

Le 31 mai dernier, le Conseil de défense s’est réuni pour la première fois depuis l’élection présidentielle et la formation du gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Alors que les réunions du Conseil de défense ne sont généralement ni annoncées à l’avance, ni même commentées, celle-ci avait été exceptionnellement mentionnée à l’agenda prévisionnel du Premier ministre rendu public par son service de presse. À l’issue de cette réunion, un communiqué diffusé par le Palais de l’Élysée en restituait la teneur, relatant notamment qu’avait été décidé le dépôt au Parlement, avant la fin de l’année, d’un nouveau projet de loi de programmation militaire (2003-2008). Lire les premières lignes

  p. 243-246

Pendant le premier semestre 2002, la Corée du Nord semblait s’enfermer dans son isolement. Classée par le président américain parmi les pays formant « l’axe du mal », elle n’avait rien fait pour répondre aux gestes du président Sud-coréen, M. Kim Dae-jung. Le grave incident naval du 29 juin dernier semblait avoir définitivement enterré la politique de la main tendue de ce dernier. Soudain, le mois suivant, Pyongyang annonçait s’orienter vers une amorce d’économie de marché. La reprise des négociations avec le Sud et le Japon a abouti à des résultats très positifs au point que le Premier ministre japonais a annoncé, événement historique, qu’il allait se rendre en Corée du Nord. Avec les États-Unis eux-mêmes, des signaux positifs rendent fort possible la reprise du dialogue. Lire les premières lignes

  p. 247-250

La revue américaine publie un article de l’historien britannique Lawrence Freedman analysant un livre d’Eliot A. Cohen sur les rapports entre hommes politiques et haut-commandement. La question posée est : qui doit mener la guerre ? Les premiers doivent fixer des objectifs précis aux militaires sans interférer dans le détail de la conduite des opérations et sans imposer de douteuses théories. C’est ce qu’a fait le président Bush avec le général Colin Powell, pour ne pas renouveler les erreurs commises au Viêt-nam ou à Beyrouth en 1983-1984. Lire les premières lignes

  p. 251-267

Bibliographie

Béatrice Heuser : Reading Clausewitz  ; Londres, Pimlico, 2002 ; 238 pages - Hervé Coutau-Bégarie

Peut-on encore écrire sur Clausewitz, après tant d’exégèses, de commentaires et de réfutations ? D’emblée, Béatrice Heuser, professeur de stratégie et de relations internationales au King’s College de Londres, connue pour ses travaux sur la stratégie nucléaire, prévient que son livre ne prétend pas ajouter des vues nouvelles sur Clausewitz, mais plutôt offrir une synthèse des études les plus importantes sur la pensée clausewitzienne, ses problèmes fondamentaux et sa valeur persistante, ainsi que sur les interprétations et les utilisations que ses innombrables disciples ou adversaires ont pu en faire. Lire la suite

  p. 269-269

Jean Mauclere : Alerte ! Droit devant  ; Nouvelles éditions latines, 2002 ; 211 pages - Pierre Morisot

Comme l’annonce la quatrième de couverture, cet ouvrage présente une série d’« épisodes colorés et vivants » retraçant l’action de la marine nationale au cours de la Seconde Guerre mondiale. On y trouve tous les types d’unités, de la vedette au cuirassé et au sous-marin, toutes les natures d’opérations, offensives ou défensives, en mer ou à terre, enfin des marins en tous genres, de carrière ou de réserve, de l’amiral au simple matelot. Lire la suite

  p. 270-270

Revue Défense Nationale - Octobre 2002 - n° 646

Revue Défense Nationale - Octobre 2002 - n° 646

Discours du président de la République, le jeudi 29 août 2002, à l'occasion de la réception des Ambassadeurs.

Jacques Chirac

Revue Défense Nationale - Octobre 2002 - n° 646

La RDN vous invite dans cet espace à contribuer au « débat stratégique », vocation de la Revue. Cette contribution doit être constructive et doit viser à enrichir le débat abordé dans le dossier. C’est l’occasion d’apporter votre vision, complémentaire ou contradictoire. Vos réponses argumentées seront publiées sous votre nom après validation par la rédaction.

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La RDN est fière d'accompagner Nemrod – Enjeux contemporains de défense et de sécurité et ses auteurs dans la promotion de ce Cahier de la RDN. Venez retrouver l'équipe et les auteurs de « La guerre des sanctions » le mercredi 2 avril à la Librairie Pedone à Paris pour un temps d'échange sur ce sujet qui fait l'actualité.

Rendez-vous :
Mardi 2 avril
18h30-20h30
13 rue Soufflot – 75005 Paris
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