La dissuasion n'est pas un objet acquis définitivement. Les grandes puissances, même si elles s'en défendent, n'en recherchent pas moins activement la percée technologique, le « breakthrough » qui assurera une supériorité incontestable à leurs armes. Dans cette bataille engagée dès maintenant en matière de « stratégie génétique », notre pays ne risque-t-il pas de voir son armement déclassé et la crédibilité de sa force nucléaire stratégique remise en cause ? Question d'autant plus opportune que certains des éléments les plus anciens de notre Force nucléaire stratégique (FNS) auront bientôt vingt ans d'âge. Pour éclairer les décisions relatives à l'évolution de nos armements à long terme, il convient de cerner du mieux possible les conditions qui risquent de prévaloir dans le monde de l'an 2000, et ceci pour trois domaines : la technique, le champ politico-stratégique et les concepts d'emploi des armements. Cet article s'inspire d'un exposé fait il y a quelques mois sur le même sujet à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Lire les premières lignes
En évoquant l'évolution du concept de défense américain, cet exposé se propose de rappeler le système de forces sur lequel il repose aujourd'hui avant d'esquisser les orientations qu'il est susceptible de prendre avec la nouvelle administration démocrate. Lire les premières lignes
L'auteur expose ici la situation économique difficile du Portugal et la position délicate de M. Soares dont le nouveau gouvernement, formé en février 1978 après une crise qui a duré deux mois, repose sur la coalition hétérogène associant le Parti socialiste au Centre démocratique et social. Il semble que le Parti socialiste de M. Soares soit menacé d’effritement à ses deux ailes et que les pertes qu’il subit bénéficient au Parti communiste et à la droite conservatrice des anciens caetanistes. Lire les premières lignes
La démission, début février, de M. Georg Leber, membre du parti social-démocrate (SPD), ministre de la Défense de la République fédérale d'Allemagne, et son remplacement par M. Hans Apel, SPD lui aussi, jusqu'alors ministre des Finances, sont le résultat de sérieuses difficultés au sein de la Bundeswehr ; ces changements amorcent des évolutions qui sont lourdes de conséquences pour l'avenir du SPD et de la politique intérieure allemande. Malgré le râle très positif joué par Georg Leber tant dans le développement de la Bundeswehr que dans l'affermissement des rapports entre la RFA et l'Alliance atlantique, le Chancelier Helmut Schmidt a été contraint de se séparer d'un ministre, très populaire à l'origine, mais dont la crédibilité s'était érodée à la suite de diverses « affaires » nuisibles à la réputation de la Bundeswehr et du gouvernement fédéral. À condition qu'il réussisse dans ses nouvelles fonctions et que les positions électorales de son parti ne se détériorent pas davantage, Hans Apel pourrait devenir un des principaux dirigeants du SPD au cours des années 1980. L'auteur analyse l'arrière-plan des mutations intervenues récemment à Bonn.
Avant de porter quelque jugement que ce soit sur les Sud-Africains, il convient d'abord de bien saisir leur état d'esprit, leur situation qui est sans rapport avec celle, par exemple, des Français dans l'Algérie des années 1950. Les « Afrikaners » n'ont, hors d'Afrique, pas de métropole capable de leur offrir un refuge en cas de malheur, et ils se considèrent, avec quelque raison, comme une vigie du monde occidental tenant une position et des réserves de matières premières stratégiques très importantes sur un continent menacé par les entreprises communistes. Certes, rien de ceci ne justifie l'apartheid. Mais, là encore, avant de porter un jugement catégorique sur le phénomène, il convient de se reporter à ses origines, d'en suivre l'évolution à travers l'histoire, de prendre en compte les données de la démographie et de connaître les positions actuelles des partis sud-africains à cet égard et les solutions qu’ils proposent pour la résolution du problème que pose la majorité noire.
En Amérique latine plus qu'en toute autre région du monde, les firmes transnationales sous dépendance américaine, en raison de leur puissance, structurent l'économie des nations-hôtes selon leur logique propre, celle du profit privé. Comment ces nations peuvent-elles faire prévaloir leurs préférences pour des structures qui mettraient l'appareil de production au service du peuple ? Ceci suppose l'instauration d'une politique concertée au niveau mondial. L'auteur indique un certain nombre d'objectifs concrets que pourrait se fixer une telle politique.
Chroniques
Plusieurs événements récents laissent craindre une grave détérioration des relations soviéto-américaines. En effet, le communiqué publié le 25 février par le Département d’État a établi un lien direct entre l’intervention soviétique dans la corne de l’Afrique et l’ensemble des relations entre les États-Unis et l’URSS. L’ampleur de l’intervention soviéto-cubaine autorise à penser qu’après l’Ogaden, l’Éthiopie a l’intention de « reconquérir » l’Érythrée par les mêmes moyens. Or l’enjeu est plus important, et la liquidation, par Soviétiques et Cubains interposés, de la rébellion érythréenne pourrait avoir de graves conséquences. Lire les premières lignes
Pour la première fois, l’aide militaire américaine qui, les années précédentes, faisait partie du budget de la défense, a été inscrite dans le budget des Affaires internationales. Cette démarche traduit la volonté politique de l’Administration Carter de concilier, dans la mesure du possible, les impératifs de développement économique des pays bénéficiaires et les préoccupations militaires des États-Unis avec le souci de défendre les droits de l’homme. Lire les premières lignes
Que pense l’École de guerre ? Cette question que, dit-on, le président Georges Pompidou posait souvent aux initiés, l’opinion est en droit de l’énoncer. Au cours de la campagne électorale que vient de traverser le pays il fut, certes, souvent question de défense mais combien de fois la démagogie n’a-t-elle pas pris le pas sur le sérieux de l’analyse ? Tout ayant été fait pour répondre aux vœux de chaque secteur de l’électorat, voici qu’on en revient à des exégèses plus spécifiques. Toutes ne sont pas le fait de spécialistes et certaines émanent d’esprits avertis soucieux d’informer leurs lecteurs de l’évolution des idées ou des techniques en la matière. Lire les premières lignes
Dans notre chronique du mois de janvier, traitant notamment de l’instruction collective des réserves, nous avions annoncé la refonte du plan de mobilisation en raison de la réorganisation des forces d’active. Le nouveau plan sera mis en place à partir de l’été 1978. Il opère une transformation majeure dans la mesure où il repose sur deux principes nouveaux : Lire la suite
L’été dernier, les 9 quadrimoteurs DC-6 du Commandement du transport aérien militaire (Cotam) étaient retirés du service et stockés sur l’aérodrome du Bourget dans l’attente d’éventuels acquéreurs. En 1982, les plus anciens des 129 Nord 2501 qui équipent l’Armée de l’air atteindront 30 ans d’âge. Ces appareils éprouvés, qui représentaient en 1977 près des trois quarts du parc d’avions de transport du Cotam, pourraient sans doute poursuivre techniquement leur carrière aéronautique une dizaine d’années encore. Lire les premières lignes
Sur invitation de la République Populaire de Chine, la frégate Duguay-Trouin fera escale à Chang-Haï [Shanghai] du 1er au 7 avril. Cette escale officielle fait suite aux récents échanges de visites entre autorités françaises et autorités de la République Populaire de Chine. C’est la première escale d’un bâtiment de la marine nationale dans un port chinois depuis 1949. Lire les premières lignes
Aux deux extrémités de la mer Rouge se déroulent des événements que l’on peut considérer comme symétriques. Dans le nord, Égypte et Israël, à l’ombre des États-Unis, se livrent à un jeu diplomatique subtil, sous le regard attentif ou réprobateur des pays du « Front de refus » soutenus par l’URSS. Dans le sud, à proximité du détroit de Bab-el-Mandeb, porte de l’océan Indien, les Soviétiques sont directement mêlés à l’affrontement armé somalo-éthiopien qu’ils n’ont pu éviter malgré l’influence qu’ils exerçaient, avant le conflit, sur les deux adversaires ; les États-Unis se profilent derrière les pays arabes « modérés » qui soutiennent la Somalie et les maquis érythréens contre l’Éthiopie révolutionnaire. D’un côté, on cherche, par la diplomatie, à rétablir les conditions de la paix dans un secteur où Washington a pu consolider sa position ; de l’autre, on veut restaurer par la force la « pax sovietica » que Moscou espérait maintenir dans la corne orientale de l’Afrique avant l’offensive de la Somalie sur l’Ogaden éthiopien. De part et d’autre, la pénétration des deux « grands » peut être entravée par les interventions des États voisins : les pays du « Front de refus », en appuyant les thèses des extrémistes palestiniens, limitent les concessions que l’Égypte est en mesure d’accorder à un Israël soucieux de sa sécurité : l’Arabie saoudite, ses alliés des Émirats, le Soudan, voire l’Égypte et l’Iran, continuent à exalter l’esprit d’indépendance de la Somalie et de l’Érythrée afin d’éviter que ces pays ne tombent sous une emprise idéologique qui leur serait hostile. Lire les premières lignes
* L’intervention soviéto-cubaine dans la corne de l’Afrique compromet la détente : un nouvel accord SALT constituerait une étape importante vers une amélioration des relations entre nos deux pays (États-Unis et Union soviétique). Mais il est évident que le caractère de nos relations dépend également d’une certaine retenue ainsi que des efforts constructifs qui seront consentis pour résoudre des conflits localisés comme celui dont la corne de l’Afrique est le théâtre. L’intervention en cours dans cette région accentue inévitablement les hostilités et accroît la tension dans le monde. Lire la suite
À voir les programmes des films français de ces dernières semaines, on pourrait penser que le bon temps des vaudevilles militaires est revenu pour le plus grand plaisir des spectateurs dits moyens. Ceux qui ont risqué leur temps et leur argent n’ont certainement pas été comblés. Le film le plus récent des Charlots, Et vive la liberté ! réalisé par Serge Korber, parfois mieux inspiré, n’est qu’une farce assez plate dont les effets loufoques sont vite émoussés. Nous y trouvons pêle-mêle des réminiscences de la guerre d’Algérie et des pérégrinations métropolitaines de la Légion étrangère rapatriée de Sidi-Bel-Abbès, le tout assaisonné de séquences de strip-tease en travesti (!) d’un goût pour le moins douteux. Les Charlots ne se prennent sans doute pas au sérieux eux-mêmes, les éditeurs de leur musique se faisant appeler Édition Cocorico et Choucroute International ! Il ne s’agit donc pas d’une réussite, le film de Serge Korber n’atteint pourtant pas la vulgarité, on pourrait même dire la grossièreté de celui qu’a signé Philippe Clair : Comment se faire réformer. La grosse farce dépasse ici les limites de l’acceptable et la sympathie initiale qu’inspire l’auteur dans son rôle d’adjudant borné mais bonasse se change vite en réprobation et répulsion. Cette « œuvre » ne mérite guère qu’on s’y attarde. Lire la suite
Bibliographie
Le Professeur Charles Zorgbibe, que nos lecteurs connaissent par ses articles, a voulu non seulement rappeler ce que furent les efforts de construction politique de l’Europe depuis la fin de la seconde guerre mondiale, mais surtout en dégager les lignes de force et en éclairer la logique. Cette intention apparaît dans les titres des trois chapitres – « Le temps des chantiers » (1947-1958), « Le temps des controverses » (1958-1969), « Le temps des relances » (1969-…) – de la première partie de son ouvrage, « Les trois âges de l’Europe politique ». Au-delà des faits, il va ainsi jusqu’aux motivations. Lire la suite
Élève de Stanley Hoffmann et de Henry Kissinger à Harvard, d’Alfred Grosser à Paris, Lois Pattison de Ménil, au confluent de plusieurs cultures nationales ou écoles des relations internationales, était mieux placée que quiconque pour traiter avec objectivité et ouverture de la conception gaullienne de l’Europe. Lire la suite
Alors que l’on s’achemine vers la conclusion de l’accord dit SALT II et que l’Assemblée générale des Nations unies s’apprête à débattre des problèmes du désarmement au cours d’une session spéciale (printemps 1978), il est expédient de soumettre à un nouvel examen les modalités et la fonction du contrôle qui est apparu dans le passé comme le principal obstacle à une authentique limitation des armements. Certes, les conceptions maximales développées dans les années 1950 ont dû céder le pas à des formules de vérification plus simples, l’objectif poursuivi par les négociateurs étant moins d’obtenir une garantie absolue quant à l’exécution de toutes les clauses d’un traité que de rassurer les États signataires sur les incidences politiques et stratégiques d’une réduction concertée des armements. Lire la suite
Il s’agit d’une nouvelle édition, en format de poche, d’un des ouvrages essentiels de François Fejtö, qui est, sans doute, le plus éminent parmi les spécialistes du communisme mondial. Cet ouvrage avait paru la première fois en 1973 et nous en avions rendu compte dans le numéro de janvier 1974 de la revue. « L’héritage de Lénine » disions-nous entre autres, est à la fois un livre d’histoire, mais relié à l’actualité, et aussi une sorte de manuel, mais imprégné de réflexions philosophiques personnelles qui lui confèrent une profondeur et une résonance exceptionnelles. Il constitue en outre dans cette édition à large diffusion, une excellente introduction à toute étude sérieuse de sociologie moderne. Le texte primitif est repris pour l’essentiel, mais l’auteur y a apporté des additions relativement importantes qui rehaussent aussi bien l’intérêt historique que l’actualité de l’ouvrage. ♦
Ce petit ouvrage (dont le titre surprend quelque peu sous la plume d’un académicien) se présente comme une suite de réflexions sur les problèmes scientifiques, sociaux et économiques les plus caractéristiques de notre temps, en France et dans le monde. La plupart de ces problèmes sont connus. Ils ont été abondamment discutés, à l’approche des élections, dans la presse et l’audiovisuel. L’originalité et l’intérêt des points de vue exprimés par Louis Leprince-Ringuet tiennent à trois facteurs. Lire la suite
Ce deuxième tome de la « Grande histoire des Français sous l’Occupation » se veut, dans la lignée du précédent, une minutieuse enquête de psychologie historique cherchant à cerner les rapports entre le maréchal Pétain et les Français de juin 1940 à juin 1943. Henri Amouroux fait preuve ici d’un réel talent de conteur. Son ouvrage est en effet construit comme une pièce de théâtre : la première partie nous présente les protagonistes (L’homme de 1856 et les Français de 1940) ; la deuxième introduit les chœurs (L’assemblée des fidèles) et la troisième voit l’entrée en scène des futurs héros (Des adversaires bien élevés). Lire la suite
Le général André Zeller confirme avec ce nouvel ouvrage, sa reconversion en historien. Il s’agit cette fois d’histoire militaire. « Soldats Perdus » est une recherche sur les bouleversements entraînés dans l’armée par la chute de Napoléon et la restauration de la monarchie des Bourbons entre 1814 et 1823. Période difficile pour les cadres, comme pour la troupe. Après 20 ans de campagnes presque ininterrompues sur tous les champs de bataille de l’Europe, l’armée, couverte de gloire, convaincue d’être l’élite de la nation et en profond accord avec celle-ci, se retrouvait du jour au lendemain (et les Cent Jours n’y changèrent pas grand-chose) sans chefs de valeur, sans appuis auprès du nouveau pouvoir, soupçonnée par celui-ci et par le pays tout entier de comploter contre une paix ardemment désirée par tous. Lire la suite
L’Essai de bibliographie critique établi par Paul Harsin et inséré à la fin du monumental ouvrage d’Edgar Faure sur le « Système » financier introduit en France sous la Régence par l’Écossais Law, permet de mesurer l’intérêt considérable manifesté par les historiens français ou étrangers pour cette expérience assez étonnante de modernisation des structures économiques et monétaires d’un pays. Lire la suite
Le livre de Richard Friedenthal, traduit de l’allemand par Denise Meunier, se veut une biographie du Tchèque Jean Mus, hérétique et rebelle. En fait, l’auteur va plus loin. Il nous montre l’effacement des idéaux du Moyen-Âge devant les principes qui régiront la Renaissance. Lire la suite
Professeur à la Sorbonne et spécialiste du Moyen-Âge, l’auteur de cette étude s’attache à discerner les germes annonciateurs de l’époque de la « Renaissance », voulant montrer par là qu’il ne faudrait pas considérer celle-ci comme une césure radicale. Selon lui, « le Moyen-Âge français ne mourait pas : il muait en pleine jeunesse ». Le lecteur s’en doutait bien un peu, mais Michel Mollat, par son analyse rigoureuse, étaye ce qui n’était que simple présomption. Lire la suite
Dans un style facile et agréable à lire, Micheline Dupuy retrace la vie aventureuse de ce preux qui fut l’artisan de l’unité française au XIVe siècle. Ce n’est pas un ouvrage d’érudit, ni une étude scientifique historique, ni encore une étude politique, mais tout simplement une biographie précise, bien documentée qui recourt volontiers aux anecdotes pour faciliter la lecture. Lire la suite
La mode chez les éditeurs est aux biographies. Curieusement, cette mode revient en force tous les quarante ou cinquante ans environ et dure une dizaine d’années. Les historiens sachant écrire n’étant pas toujours disponibles en nombre suffisant, il est alors fait appel à d’autres volontaires : romanciers, journalistes, hommes politiques, ou écrivains sans aucune spécialité. Le résultat est en général un produit de grande consommation, qui peut sur le moment paraître excellent, mais qui n’est qu’exceptionnellement de bonne conservation, car il reflète par trop les préoccupations de l’actualité et se plie aux goûts passagers du public. Lire la suite
Professeur de Droit africain (entre autres) à l’Université Libre de Bruxelles, l’auteur a longtemps vécu en Afrique et notamment en Éthiopie. C’est donc le livre d’un spécialiste mais d’une écriture sobre, d’une conception originale et à l’abondante iconographie. Aucun effort n’est exigé du lecteur qui, bien au contraire, aborde d’une manière vivante ce vieux pays, véritable mosaïque de populations. Le texte est clair et il est entrecoupé de portraits, de scènes de la vie courante, d’aperçus politiques dont la disposition typographique à part est réalisée avec bonheur. Lire la suite
Disons tout de suite qu’il s’agit d’un roman policier. Excellent d’ailleurs. Dans le droit fil de la tradition classique léguée par Maurice blanc et Gaston Leroux. Ceci étant entendu, nous avons voulu néanmoins, signaler l’ouvrage à nos lecteurs, parce que l’action se passe à bord d’un sous-marin nucléaire en patrouille – environnement malgré tout assez peu familier à la plupart d’entre nous. Il se trouve que Pierre Lamballe (il s’agit d’un pseudonyme : l’auteur est un ancien officier des Services spéciaux) est, quant à lui, très au courant. Du moins, il arrive très adroitement à en persuader le lecteur. Lire la suite
Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.
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