Mars 1975 - n° 342

Le général d’armée Paul Ely s’est éteint le 16 janvier dernier. Avec lui disparaît un homme de devoir, qui tout au long de sa vie a mis son intelligence, son courage, sa volonté, sa générosité au service de la France. Lire la suite

  p. 5-7

En laissant se développer la critique systématique de l'institution militaire, craignons, dit l'ancien commandant de la 1re Armée française, de donner raison à la prédiction pessimiste d'Ardant du Picq quant à la difficulté pour un peuple démocratique et évolué de trouver des soldats assurant sa défense avant que l'ennemi n'ait imposé son joug ou ne menace de façon évidente le territoire – alors qu'il est trop tard. Lire les premières lignes

  p. 9-15

L'auteur, directeur-délégué à la mission des applications industrielles nucléaires du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), reprend ici pour l'essentiel les termes d'une conférence qu'il avait faite le 21 octobre 1974 à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Il dresse d'abord un bilan de nos besoins et de nos ressources énergétiques pour replacer dans ce contexte le développement des cinquante centrales électro-nucléaires dont notre pays va s'équiper d'ici 1985 et il montre la compétitivité croissante de l'électricité d'origine nucléaire. Il aborde ensuite les problèmes impliqués par ce qu'on nomme le « cycle de combustible » : approvisionnement en uranium, enrichissement, fabrication et retraitement des éléments combustibles. En ce domaine, comme en ce qui concerne l'avenir plus lointain des centrales surrégénératrices à neutrons rapides, la France, grâce aux efforts des savants et des techniciens du CEA et des constructeurs français, occupe une place plus qu'honorable dans la compétition qui s'engage et qui doit permettre, avec la coopération d'autres États européens, d'accroître l'autonomie de notre continent par rapport au monopole américain actuel dont les conditions sont léonines.

  p. 17-38

La Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), ouverte le 3 juillet 1973 à Helsinki par les ministres des Affaires étrangères de 33 États européens, des États-Unis et du Canada, poursuit toujours ses travaux à Genève sans qu’on puisse encore prévoir quand elle se terminera et à quel niveau se tiendra sa dernière phase à Helsinki. Les communiqués des rencontres soviéto-américaine et franco-soviétique de Vladivostok et de Rambouillet ont laissé entendre qu'elle pourrait s'achever dans un proche avenir et que « les prémisses sont créées » pour qu’elle soit conclue « au plus haut niveau ». Lire les premières lignes

  p. 39-59

Cet exposé, inspiré d'une conférence qu'il a faite récemment à l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), souligne, entre autres, la relation dialectique qui existe entre la « renégociation » de l'adhésion britannique à la Communauté européenne et les contraintes de la politique intérieure auxquelles M. Wilson s'est lui-même lié depuis qu'il s'est servi de l'Europe comme d'une arme contre ses adversaires alors au pouvoir.

  p. 61-81

Dès l’aube de l’histoire, la Méditerranée a favorisé la rencontre, pacifique ou conflictuelle, mais le plus souvent féconde, des peuples et des civilisations. Elle entre aujourd’hui dans une phase critique de son histoire ; la crise revêt une forme aiguë et menaçante avec les deux poudrières de Chypre et de Palestine. Et cependant, les riverains aspirent de plus en plus à prendre en mains leur destin. « La Méditerranée aux Méditerranéens », l’idée fait son chemin. L’Europe ne peut y rester indifférente, même si sa réalisation est encore lointaine. Le dialogue euro-arabe est un élément nécessaire de la politique méditerranéenne. Lire les premières lignes

  p. 83-98

« Le vice essentiel de notre organisation, écrivait Jaurès dans L'Armée nouvelle, c'est qu'elle a l'apparence d'être la nation armée et qu'en effet elle ne l'est point ou qu'elle l'est à peine ». L'auteur de l'essai qui va suivre est un jeune chef d'entreprise qui n'a, certes, aucune compétence militaire particulière et ne parle au nom d'aucune instance politique, mais qui s'inquiète de certaines faiblesses qu'à ses yeux présente notre défense et qui voudrait la voir reposer sur une assise populaire plus large.

  p. 99-111

Le système international contemporain comporte de nombreux paradoxes. L’un d’entre eux consiste dans l’apparente contradiction entre la tendance — que de nombreux observateurs croient constater — à l’organisation d’une société internationale, de plus en plus intégrée à maints égards, et la fragilité, voire le caractère tout à fait illusoire que certains attribuent aux « garanties internationales ». Ce paradoxe est sans doute en relation avec la modification qui s’est produite dans le système international de l’après-guerre. En dernière analyse, deux puissances, les États-Unis et l’Union Soviétique, paraissent être garantes de la paix, cependant que la nouvelle situation stratégique résultant de l’apparition d’armes nucléaires, à parité dans les deux camps, contraint Washington et Moscou à s’abstenir de tout ce qui pourrait conduire à une confrontation directe. Il s’ensuit que les seules garanties « valables » sont celles qui peuvent être données par chacun des deux Grands : mais ces garanties ne valent plus guère dès lors qu’ils ne peuvent s’opposer l’un à l’autre. Comme cette neutralisation réciproque des deux Grands au niveau des conflits militaires n’a pas pour conséquence d’arrêter les évolutions et de résorber les crises dans les régions du globe où il s’en produit, les garanties qu’ils peuvent donner ne sont pas, en règle générale, absolument rassurantes. Il y a là en tout cas matière à réflexion. Lire les premières lignes

  p. 113-120
  p. 121-135

Chroniques

  p. 137-142
  p. 143-148

À la veille de quitter une charge ministérielle dont il avait sollicité sa relève plusieurs semaines auparavant, M. Jacques Soufflet, ministre de la Défense, avait tenu à présenter, le 30 janvier 1975, devant les hautes autorités militaires des trois armées et de la gendarmerie, les projets établis sous sa direction pour la réforme du statut des officiers et des sous-officiers de carrière. Comme il l’avait annoncé au Conseil supérieur de la fonction militaire (CSFM) réuni le 20 octobre 1974, ces projets feront l’objet d’une large information à l’échelon régional où des groupes de travail seront constitués, afin que l’ensemble des bénéficiaires puisse en prendre connaissance, faire part de leurs observations à leur sujet et faire valoir leur avis sur les solutions à retenir. C’est là, il faut le souligner, surtout à un moment où les détracteurs de l’institution militaire l’accusent d’immobilisme, une procédure libérale sans précédent à porter au crédit d’un ministre qu’une certaine presse avait pris pour cible, alors qu’en fait, c’est en grande partie grâce à son action personnelle que la condition militaire aura fait les progrès matériels les plus sensibles et les plus rapides. Lire les premières lignes

  p. 149-157
  p. 158-163
  p. 164-168
  p. 169-175

L’élément militaire se présente de la façon la plus modeste dans la production cinématographique de ces derniers mois. Il n’est pourtant pas absent et se manifeste par petites touches. Aucun film, en effet, n’a été consacré à l’armée, à l’exception de la grosse farce Les Bidasses s’en vont en guerre de Claude Zidi qui se rapproche quelque peu des vaudevilles militaires d’avant-guerre mais dont l’inspiration est nettement inférieure à celle du film précédent, Les Bidasses en folie. En tout état de cause, ce genre de production n’a pas à être pris au sérieux, dans cette revue encore moins qu’ailleurs. Le facteur militaire se retrouve donc d’une manière plutôt épisodique dans plusieurs productions de factures très différentes. Lire la suite

  p. 176-177

Bibliographie

Jean-Pierre Brule : Demain… l’armée chinoise  ; Éditions Balland, 1974 ; 283 pages - André Nolde

Le rayon déjà abondamment garni, réservé chez les libraires aux études sur la Chine populaire, vient de s’enrichir d’un nouvel ouvrage. Jean-Pierre Brulé connaît bien le sujet pour lui avoir déjà consacré, en 1969, un livre : La Chine a vingt ans qui avait retenu l’attention en France, comme à l’étranger. Cette fois, pour expliquer la Révolution culturelle et pour essayer de deviner ce que pourrait être la Chine « d’après Mao » – les deux préoccupations majeures au cours de ces dernières années de la quasi-totalité des sinologues – Jean-Pierre Brulé adopte un éclairage nouveau, celui que prennent les événements si on les considère comme autant d’épisodes dans l’histoire de l’Armée populaire de libération (APL) chinoise. Lire la suite

  p. 178-178

Joachim Schickel : Grande muraille, grande méthode  ; (traduit de l’allemand par Jean-Louis Scheffer) Éditions du Seuil, 1974 ; 313 pages - André Nolde

Sur le thème général de la Chine – celle du passé et celle du présent – ce volume est un patchwork qui assemble des articles précédemment publiés dans des revues, des conférences faites à la radio, mais aussi des études et des réflexions encore inédites. Bien que forcément mentionnée (le livre est paru en allemand en 1968), la Révolution culturelle n’est pas, pour une fois, au centre des préoccupations de l’auteur. Car celui-ci n’est ni un reporter ambitionnant de vendre cinq colonnes à la Une, ni un homme politique parti pour déchiffrer en trois semaines les énigmes du régime de Mao Tsé-toung et découvrir l’avenir mondial de la Chine. Joachim Schickel est un sinologue. Ses maîtres sont Granet, Lin Yu Tang, Claudel, Pauthier, Arendt. Il est un familier de la langue, de la littérature et de la philosophie chinoises sous la plupart de leurs aspects. Ce qui lui permet, comme à Alice, de passer de l’autre côté du miroir et de voir la Chine de l’intérieur. Ce qui lui permet aussi de rattacher le présent au passé. Ses analyses des évolutions récentes prennent ainsi une consistance et un sérieux qu’on ne s’attend plus tellement à trouver dans l’abondante littérature de ces dernières années. Lire la suite

  p. 178-179

Jean-Thomas Nordmann : Histoire des radicaux, 1820-1973  ; Éditions La Table Ronde, 1974 ; 510 pages - Claude Delmas

Depuis le début du XIXe siècle, les radicaux ont joué dans la vie politique française un rôle toujours sensible, souvent déterminant et parfois capital, mais le radicalisme français ne se laisse pas enfermer dans des définitions rigoureuses. Sans doute l’idéologie radicale gravite autour de quelques noyaux fondamentaux, mais ses expressions se sont considérablement modifiées selon les circonstances. « Phénix de la vie politique française, le radicalisme renaît volontiers de ses cendres, mais c’est souvent pour offrir un visage altéré ». Jean-Thomas Nordmann a donc jugé prudent de ramener l’histoire du radicalisme à l’histoire de ceux qui se sont affirmés radicaux avant de s’organiser en Parti radical. Il étudie les grandes phases de cette double évolution en esquissant la vie et l’action du parti fondé en 1901. Lire la suite

  p. 179-180

Michèle Cotta : La VIe République  ; Éditions Flammarion, 1974 ; 208 pages - André Nolde

Les Français, même s’ils s’en défendent, ont du goût pour la politique. L’élection présidentielle de 1974 en a apporté une nouvelle preuve. Jamais la télévision n’avait bénéficié d’une telle audience. Jamais les journaux n’avaient atteint de si forts tirages. Jamais les sondages ne s’étaient succédés à une telle cadence et n’avaient été aussi passionnément discutés, en réunion publique, aussi bien qu’entre amis et même en famille. Lire la suite

  p. 180-180

Daniel Coulmy et Jean-Pierre Page : Les ressources de l’océan  ; Presses de la Cité, 1974 ; 291 pages - André Nolde

Cet excellent ouvrage de vulgarisation se propose de faire ressortir le rôle de plus en plus important dans le développement des activités économiques sur notre planète des masses océaniques qui en occupent la majeure partie. Pendant des siècles, l’utilité des océans était presque exclusivement limitée aux transports maritimes, qui permettaient l’essor du commerce international, et à la pêche, le plus souvent côtière, qui fournissait à certains pays un complément précieux de ressources alimentaires. Mais aujourd’hui, bien que ces domaines d’activité anciens aient conservé toute leur importance, de nombreuses possibilités nouvelles sollicitent l’imagination et attendent des initiatives. Lire la suite

  p. 181-181

Odon Vallet : L’administration de l’environnement  ; Éditions Berger-Levrault, 1975 ; 339 pages

L’administration de l’environnement n’est pas seulement l’affaire du secrétariat d’État du même nom, non plus que celle du ministère de la Qualité de la vie. Chaque administration, y compris celle de la Défense, participe à la protection ou à la dégradation de la nature. Lire la suite

  p. 182-182

Heinrich Brüning : Mémoires (1918-1934)  ; Éditions Gallimard, 1974 ; 500 pages - Claude Delmas

Heinrich Brüning a été Chancelier du 30 mars 1930 au 30 mai 1932. Après la dissolution de son parti, il n’a plus jamais joué un rôle politique. Émigré aux États-Unis, il y est mort le 30 mars 1970, apparemment oublié de ses compatriotes. Or ses Mémoires sont considérées comme un événement. En fait, il ne s’agit pas de mémoires à proprement parler, mais de notes prises au jour le jour, et ce livre s’apparente ainsi au Journal de Vincent Auriol pour la IVe République. Son succès tient sans doute à ce qu’il apporte de nouveaux éléments de réponse à la question : « Comment cela a-t-il pu arriver ? » – cela, c’est-à-dire Hitler et le national-socialisme. Brüning ne présente pas seulement des événements et des hommes, il ne se contente pas de peindre la décomposition d’un régime et les intrigues féroces et finalement suicidaires au sein d’un milieu dirigeant. Lire la suite

  p. 182-182

Jean-François Dubois : Vente d’armes : une politique  ; Éditions Galliamard, 1974 ; 223 pages - André Nolde

Les ventes d’armes sont un sujet d’actualité et un sujet politique dont les journaux et les revues traitent abondamment, mais souvent à tort et à travers. Il faut donc se féliciter qu’un jeune universitaire, Jean-François Dubois, ait pris l’initiative de nous le présenter dans son ensemble, avec le sérieux, la compétence et l’objectivité d’un spécialiste de droit public, doué de surcroit d’une remarquable ouverture d’esprit. Il fallait ces qualités pour rendre le sujet attrayant. Car en fait, dès que l’on veut, en la matière, aller au fond des choses, on s’embourbe littéralement, en France comme à l’étranger, dans un effroyable marécage de textes administratifs, de réglementations et de procédures où il est d’autant plus difficile de se retrouver que toute enquête menée de l’extérieur parait facilement suspecte et se voit opposer les consignes draconiennes du « secret-défense ». Lire la suite

  p. 183-183

Colonel Augustin de Dainville : L’ORA, la Résistance de l’Armée (Guerre 39-45)  ; Éditions Lavauzelle, 1974 ; 324 pages - P. L.

On attendait depuis longtemps cette contribution importante à l’histoire de la Résistance. Elle ne déçoit pas, car il s’agit d’une œuvre collective, honnête, qui reflète bien l’écho des divergences et des points d’accord de la société militaire de cette époque et qui s’appuie sur des témoignages récents et des documents souvent inédits. Lire la suite

  p. 183-184

Pierre Lefranc : Voici tes fils  ; Éditions Plon, 1974 ; 325 pages - André Nolde

Résistant de la première heure, Pierre Lefranc s’est voué au gaullisme, comme on entre en religion, dès la fin de ses études secondaires, en 1940. Ce qui signifie qu’il a vécu tout jeune, au cours des années qui ont suivi sa « prise d’habit », de bien singulières et parfois dramatiques aventures. Il en a aujourd’hui entrepris le récit, en faisant appel à ses souvenirs de l’époque qui paraissent être restées relativement présents à sa mémoire, et en les complétant – car on ne peut tout de même pas reconstituer après 40 ans jusqu’aux dialogues et aux jeux de physionomie des moindres comparses – par le produit de son imagination. Cet amalgame se résout en une évocation vivante, facile à lire et, après tout, assez vraisemblable, malgré quelques exagérations manifestes. Lire la suite

  p. 184-184

Jacques Massu : Sept ans avec Leclerc  ; Éditions Plon, 1974 ; 322 pages - André Nolde

Suivant le point de vue où l’on se placera, cette nouvelle tranche des souvenirs de guerre du général Massu sera différemment appréciée. Lire la suite

  p. 185-186

Pierre Kalck : Histoire de la République centrafricaine  ; Éditions Berger-Levrault, 1974 ; 341 pages - André Nolde

Relevons tout de suite, mais pour les oublier aussitôt et nous livrer sans arrière-pensées au plaisir de la lecture, les quelques défauts de ce très passionnant ouvrage. De la plupart d’entre eux, l’auteur n’est d’ailleurs pas entièrement responsable. Lire la suite

  p. 186-187

Baron Thiry : Bonaparte en Italie-1796-1797  ; Éditions Berger-Levrault, 1973 ; 734 pages - J. De

Depuis des décennies, le baron Thiry continue à construire le monument à la gloire de Napoléon qui est l’œuvre de toute sa vie. Vingt-quatre volumes avaient été consacrés au Premier Consul et à l’Empereur. C’est désormais au seul général Bonaparte que l’auteur s’intéresse, d’où le livre sur la campagne d’Égypte paru l’année dernière, et d’où cette étude sur la campagne d’Italie. Suivant sa manière habituelle, très minutieuse, soucieuse du détail, le baron Thiry saisit Napoléon Bonaparte le jour où il arrive à Nice (26 mars 1796) en tant que nouveau général en chef de l’armée d’Italie, le suit pas à pas tout au long de plus de 700 pages et l’abandonne le 2 décembre 1797 au moment où le général victorieux qui a dicté les conditions de paix, quitte Rastatt pour Paris, rêvant, dans sa berline, à son avenir. Lire la suite

  p. 188-188

Waren Tute, John Costello et Terry Hughes : Jour J  ; (préface de l’Amiral Mountbatten) Éditions Albin Michel, 1974 ; 220 pages - Claude Delmas

De nombreux ouvrages ont été consacrés au débarquement du 6 juin 1944, à sa préparation, à son déroulement, à ses conséquences, à ses aspects militaires et humains. Celui-ci – écrit pour le trentième anniversaire de cet événement – ne donne pas l’impression de s’ajouter à une liste déjà longue, car il est profondément original. La propagande s’est tue, les plans secrets, les documents officiels, les rapports ont été rendus publics. Tute, Costello et Hughes les ont utilisés, ils y ont ajouté les mémoires et les carnets intimes des chefs des deux camps, ainsi que les témoignages de certains participants. Lire la suite

  p. 188-188

Revue Défense Nationale - Mars 1975 - n° 342

Revue Défense Nationale - Mars 1975 - n° 342

Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.

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