Juillet 1992 - n° 533

Colloque - Les changements stratégiques dans le monde (II)

Pendant les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, la politique expansionniste de l’Union Soviétique et l’existence du Pacte de Varsovie ont défini la mission principale des armées françaises, leur organisation et présidé à la conception de leurs équipements. Lire les premières lignes

  p. 9-16

On a beaucoup dit que le nouveau contexte stratégique conduisait à se poser de nombreuses questions sur les forces nucléaires en général et les nôtres en particulier. Certains vont même jusqu’à douter que, l’adversaire potentiel (comme on l’appelait) ayant disparu, ces forces puissent encore jouer un rôle important à l’avenir. Tout semble se conjuguer pour saper les fondements de doctrines nucléaires qui, si elles ont su préserver pendant 45 ans un certain équilibre Est-Ouest, paraissent inadaptées à l’état futur du monde. Non seulement, pour reprendre une expression célèbre, Gorbatchev nous a privés d’ennemi, mais de plus de nouveaux risques, que l’on voudrait bien ne pas avoir à supporter, apparaissent avec les perspectives de prolifération : d’utiles qu’elles étaient autrefois, les armes nucléaires semblent devenir aujourd’hui presque gênantes. De son côté, la construction européenne met en cause l’un des tabous les plus sérieux : le caractère purement national des forces nucléaires. Il n’est pas jusqu’à la technologie elle-même qui, avec la perspective de voir apparaître à terme des défenses antibalistiques, ne conduise à penser que le rôle des armes nucléaires devrait aller en décroissant. Lire les premières lignes

  p. 17-24
  p. 25-36

À propos d’un retour du militarisme allemand, je crois que pour l’heure l’Allemagne est un vaste chantier avec, à sa tête, des hommes ayant des préoccupations assez semblables à celles des dirigeants russes, c’est-à-dire celles de gestionnaires. De plus l’Allemagne bat des records dans l’objection de conscience et la tendance de l’opinion publique va vers le désarmement, le développement de la CSCE et un rejet total de l’arme nucléaire. Je ne crois pas non plus qu’on doive craindre le danger d’un rapprochement germano-soviétique. En revanche, les relations entre Bonn et Washington m’inquiètent. Lors du départ de troupes de son pays, le secrétaire d’État américain, dans son allocution, a donné l’impression qu’il voyait l’Allemagne jouer le rôle de partenaire privilégié. Comment apprécier la politique américaine de défense vis-à-vis de l’Allemagne, d’autant que les possibilités politiques de défense européenne sont de plus en plus diminuées, l’Europe devant être réduite à un rôle subsidiaire en fonction d’accords sectoriels ? Lire la suite

  p. 37-40

Nous sommes à l’École militaire ; cette journée a été organisée par la revue Défense Nationale et la Fondation pour les études de défense nationale ; nous sommes habitués aux rapports de forces, aux affrontements, à tous les problèmes de défense et de sécurité, ce qui conduit tout naturellement à des analyses que je qualifie de pessimistes car nous attirons l’attention sur tout ce qui peut être conflictuel et dangereux ; nous brossons un tableau d’ensemble des risques et nous en tirons la conclusion qu’à la suite des novations extraordinaires que nous venons de vivre nous sommes toujours dans un monde aussi dangereux ! Lire la suite

  p. 40-43

Repères - Opinions - Débats

Dans cet article remarquable, fruit d'une réflexion collective, l'auteur s'attache à la prise en compte des facteurs humains dans les mutations en cours ou en préparation au sein de l'armée de terre.

  p. 45-59

Un groupe de réflexion de l'association « L'Épaulette » s'est réuni sous la direction de son président, le général de corps d'armée (CR) Norbert Molinier, afin d'approfondir le thème suivant : comment valoriser l'état d'officier ? Le résultat de ces réflexions, contribution à l'étude d'un problème dont l'actualité et l'acuité doivent être soulignées, a été préalablement publié dans la revue de cette association (1er trimestre 1992).

  p. 61-72

Ingénieur général de l'armement (CR) ayant occupé de hautes fonctions en France et à l'étranger, l'auteur donne des éléments de réponse à une question que se posent actuellement avec force la plupart des ingénieurs de l'armement, en raison des réorganisations et restructurations décidées ou en cours au sein de la défense.

  p. 73-79

La crise yougoslave et la seconde guerre du Golfe constituent les deux tests du nouvel ordre international. Qu’il s’agisse du Golfe ou de la Yougoslavie, le monde semble s’installer dans des situations d’attente, où aucun des protagonistes, même le plus fort, n’est capable de dégager une solution claire, définitive. Il y a crise de la puissance : même les États-Unis, ultime supergrand, s’ils ont défait l’Irak de Saddam Hussein, se retrouvent, dans le golfe Arabo-Persique, face à un imbroglio d’incertitudes, attirés peu à peu dans une instabilité plus large allant du Caucase à l’Asie centrale. Quant à la Yougoslavie, elle révèle d’abord les ambiguïtés du nouvel ordre européen. Lire les premières lignes

  p. 81-87

À l’été 1989, Francis Fukuyama, jeune chercheur à la Rand Corporation (il a alors 36 ans), publie sous le titre « La fin de l’histoire ? » un article dans The National Interest, revue américaine qui ne tire qu’à quelques milliers d’exemplaires. Cette modeste entrée en scène eut un énorme retentissement. L’article fut reproduit dans le monde entier, et en France dès l’automne dans le n° 47 de la revue Commentaire. Il déclencha des polémiques passionnées. Quelques rares louanges surnagèrent dans un flot de critiques hargneuses. C’est que la fin de l’histoire, avant de mettre le monde en panne, laisserait au bord de la route beaucoup de gens dont le métier est de la faire, de l’écrire ou de la commenter. Lire les premières lignes

  p. 89-96

L'auteur, directeur dans une entreprise aéronautique, avait publié dans notre revue en mai 1989 un excellent article sur l'innovation. Bien des bouleversements se sont produits depuis cette date, et face à cette nouvelle situation, il nous donne son opinion sur ce que devraient être désormais les missions de nos forces armées.

  p. 97-102

L'auteur, historien et spécialiste des questions de sécurité et défense, avait, en 1991, traité de la désintégration du Pacte de Varsovie et de la constitution de forces multinationales. Cette fois-ci, il étudie la création du Conseil de coopération nord-atlantique (CCNA), qu’il perçoit comme une initiative américaine de légitimation de l’Otan. Il saisit cette occasion pour souligner à nouveau la nécessité pour l’Europe de définir une politique commune de défense. Lire les premières lignes

  p. 103-114

Il y a bientôt deux ans, nous nous demandions si le « rideau de bambous » allait tomber en Birmanie (ou Myanmar). Il n'en est rien, et tous les espoirs de paix et de démocratisation semblent s'être évanouis : il faut être réaliste. C'est ce que nous expliquent les auteurs de cet article remarquablement documenté.

  p. 115-130

Dans un long article très documenté, l'auteur présente la situation de ce pays déchiré et exsangue qu'est le Soudan. Ce texte est en quelque sorte une mise à jour bienvenue de celui qu'il avait écrit sur ce même sujet en février 1989Lire les premières lignes

  p. 131-147

Les nouvelles données géopolitiques et économiques qui sont en train de s'établir dans l'océan Indien concernent au plus haut point Paris en raison du rôle significatif que pourrait jouer La Réunion dans cette partie de la planète. Les résultats contrastés de notre département d'outre-mer alimentent cependant quelques incertitudes. Toutefois des espoirs demeurent en raison des atouts spécifiques de cette terre du bout du monde qui partage depuis longtemps une belle histoire avec la France. L'auteur brosse un tableau très complet de la situation et de son enjeu.

  p. 149-161

Chroniques

  p. 163-168
  p. 169-175

À La Rochelle, les 21 et 22 mai 1992, la France et l’Allemagne seraient-elles parvenues à accélérer le processus envisagé à Maëstricht en vue de mettre sur pied une défense commune et non plus seulement un concept commun de sécurité ? En décidant de créer un corps d’armée franco-allemand ouvert aux autres membres de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), nos confrères estiment que les deux pays ont franchi un pas décisif. Si nul ne trouve à y redire, nombreuses sont, en revanche, les questions d’ordre stratégique que suscite cette initiative. Lire les premières lignes

  p. 176-179

Ancien protectorat britannique du Bechuanaland, le Botswana accède à l’indépendance le 30 septembre 1966. Sa superficie, 600 370 kilomètres carrés, est légèrement supérieure à celle de la France. Sa population est estimée à 1 300 000 habitants. Le désert de Kalahari occupe la majeure partie de son territoire. Avec la Namibie, le Botswana est le dernier pays à abriter encore les Bochimans, peuplade autrefois prédominante en Afrique australe. Lire les premières lignes

  p. 180-183

Les 13 et 14 mai, s’est tenu à Saint-Cyr-Coëtquidan un colloque international sur la formation initiale des officiers. Il faisait suite à un séminaire de recherche dirigé en 1990-1991 par le contrôleur des armées Hoffmann, consacré à la comparaison des systèmes de formation dans neuf pays alliés, dont la France. Le colloque rassemblait des représentants de ces pays, des écoles des trois armées et de la Gendarmerie, de l’administration centrale et de l’université. Le chef du contrôle des armées et le secrétaire général pour l’administration concluaient les débats. Lire les premières lignes

  p. 184-187

Malgré les incertitudes qui pèsent encore sur la période à venir et bien que le monde ne se soit pas encore stabilisé après le choc causé par l’éclatement du Pacte de Varsovie et de l’URSS, il est toutefois déjà possible de dégager des événements considérables qui viennent de se dérouler quelques tendances lourdes permettant de définir dès maintenant, pour l’Armée de terre, un projet à moyen terme. Lire la suite

  p. 188-189

Alors que les deux premières frégates de surveillance. Floréal et Prairial, viennent d’être affectées outre-mer, la tête de série des La Fayette a été mise à flot le 13 juin 1992, à Lorient. Avec ces nouveaux bâtiments, qui prennent la relève d’avisos-escorteurs anciens et fatigués, la France conserve sa capacité de présence et de vigilance dans ses zones d’intérêt les plus lointaines. Ces deux programmes, sans pour autant l’enrayer, ralentissent la décroissance de la flotte de surface. Lire la suite

  p. 190-192

Les 7 et 8 avril 1992, la défense aérienne a effectué dans l’ensemble de l’espace aérien français et de ses approches maritimes des manœuvres nationales baptisées Datex 92. Cet exercice majeur, dont le but essentiel était de vérifier la capacité de notre dispositif à détecter et à s’opposer à une menace omnidirectionnelle, a mobilisé sous la direction du Commandement air des forces de défense aérienne (Cafda) l’ensemble des forces aériennes, une partie de l’aéronautique navale et des régiments d’artillerie sol-air de l’Armée de terre. Lire les premières lignes

  p. 193-196

Que nul imprévu ne vienne tout remettre en question, et le Maroc devrait au cours des prochains mois se doter d’une nouvelle Constitution, renouveler son Parlement de même que ses conseils communaux, et régler le dossier du Sahara occidental. Cet été sera donc décisif à plus d’un titre et le souverain aura le sentiment d’avoir fait franchir à son royaume une nouvelle étape vers la démocratie sans céder à la précipitation. Cette prudence, souvent décriée, vient de la difficulté qu’il perçoit à faire coexister dans son pays les civilisations orientale et occidentale. Il s’agit cependant là d’une préoccupation primordiale de sa part et on le constate en le voyant apparaître, selon les circonstances, en costume traditionnel de commandeur des croyants ou en simple complet veston. Lire les premières lignes

  p. 197-200

• Le 22 mai 1992, à La Rochelle, le président Mitterrand et le chancelier Kohl ont décidé la création d’un corps d’armée franco-allemand auquel d’autres pays européens sont invités à se joindre. La déclaration commune stipule : « Les missions du corps européen s’inscrivent dans le cadre de l’Union européenne, dans le respect des limites constitutionnelles nationales et des dispositions de la Charte des Nations unies. Le corps pourra être employé pour la défense commune des Alliés, en application de l’article 5 du Traité de Washington ou du Traité de Bruxelles. Il pourra également se voir confier des missions de maintien ou de rétablissement de la paix et être engagé dans le cadre d’actions humanitaires. Un état-major de montée en puissance sera mis sur pied à partir du 1er juillet 1992 ». Lire la suite

  p. 201-202

Bibliographie

Dominique David : Conflits, puissances et stratégies en Europe : le dégel d’un continent  ; Éditions Bruylant, 1992 ; 213 pages - Marcel Duval

La plupart de nos lecteurs connaissent certainement Dominique David, puisque, alors qu’il appartenait à la Fondation pour les études de défense nationale (FEDN), il a présenté en 1989, dans un ouvrage indispensable à tous ceux qui s’intéressent à « la politique de défense de la France » – tel était en effet son titre –, les textes et documents qui ont défini cette politique. Aujourd’hui, alors qu’il vient de rejoindre le groupe d’études stratégiques de l’Institut français des relations internationales (Ifri), il nous propose ses propres réflexions prospectives sur le même sujet dans un livre ambitieux, car il embrasse l’ensemble des problèmes que pose à la France l’organisation de la sécurité de la nouvelle Europe. Or, comme il le constate lui-même dans son introduction, parler de l’Europe n’est pas facile, car « l’Europe est tout sauf une évidence », et la notion de sécurité « un objet depuis toujours introuvable ». Lire la suite

  p. 203-205

H. de Beaufort et J. de Zélicourt : Perspectives économiques et stratégiques de 1992  ; Éditions Loisel, 1991 ; 733 pages - Pierre Morisot

La comparaison vient tout de suite à l’esprit avec L’année stratégique ou L’état du monde, d’ailleurs cités en bibliographie. La parenté existe, mais les auteurs ont su trouver un créneau par la recherche de l’essentiel, sous une forme simple et en langage clair. Le livre, de consultation facile, ne prétend pas remplacer tous les annuaires existants, mais il les complète de bonne façon. Lire la suite

  p. 205-206

Bernard Lugan : Afrique, bilan de la décolonisation  ; Éditions Perrin, 1991 ; 304 pages - Pierre Morisot

Le livre de Bernard Lugan consacré à l’Afrique noire revêt deux aspects. Le premier est celui d’un pamphlet dirigé contre les idéologies tiers-mondistes qui, fondées sur un complexe de culpabilité allant jusqu’au masochisme, ont confondu théorie et réalité, et contre la coopération qui, faisant suite à la brève période coloniale, « parenthèse de paix et de prospérité », connaît après trente ans de ruineux exercices un « échec évident ». Le ton sarcastique n’étonnera pas de la part de l’auteur, spécialiste en formules percutantes (qui imposeraient même la mise à jour du petit Robert : « ethnocider » page 198) : les « reptations sémantiques et les contorsions intellectuelles » des « charlatans du cœur » pour qui « il est plus facile de psalmodier l’acte d’accusation du monde industrialisé que de mettre l’Afrique au travail » équilibrent, au Nord, les agissements des « experts en mendicité internationale » qui, en l’absence de contrôle sérieux, détournent au Sud la plus grande partie de l’aide « au profit des nomenklaturas locales », tout en s’annexant sans vergogne Pythagore et Archimède (voir une citation réjouissante de Jeune Afrique page 251). Lire la suite

  p. 207-208

Jean d’Arbaumont : Capitaine Jean Bulle  ; Dominique Guéniot, 1992 ; 340 pages - Claude Le Borgne

Voici la réédition d’un livre paru il y a plus de vingt ans et couronné alors de quatre prix. C’est une heureuse idée, tant sont exemplaires la vie et la mort du capitaine Jean Bulle. Sorti de Saint-Cyr en 1936, ce héros de la Savoie est célébré à deux titres : le combat de la Tête d’Enclave le 22 juin 1940, la résistance dans le secteur d’Albertville. Lire la suite

  p. 208-208

Jacques Salbaing : Ardeur et réflexion – Cahiers d’un chef de section d’infanterie de Marine dans la division Leclerc  ; (Préface du général Massu) Éditions La Pensée Universelle, 1992 ; 412 pages - Michel Klen

Jacques Salbaing a interrompu ses études d’ingénieur en 1942 pour rejoindre les Forces françaises libres (FFL) et la 2e Division blindée. Au sein de cette prestigieuse unité, il exerce le commandement d’une section du Régiment de marche du Tchad (RMT). L’auteur nous fait vivre au jour le jour son expérience pendant les dernières années qui ont précédé l’armistice. Le livre commence par la difficile période d’entraînement et de formation au Maroc, puis en Algérie. C’est ensuite l’attente en Angleterre avant le débarquement sur les côtes françaises à Utah Beach. L’extraordinaire parcours du jeune sous-lieutenant nous fait vivre les grandes péripéties de l’histoire de la 2e DB : la campagne de Normandie, la Libération de Paris, la bataille des Vosges, l’entrée dans Strasbourg, les combats en Alsace, puis en Allemagne jusqu’à Berchtesgaden. Lire la suite

  p. 209-209

Claude Riffaud : Mékong palace  ; Presses de la Cité, 1992 ; 432 pages - Jacques Hugon

Il y a, épisodiquement, des périodes « Indochine » : récemment, on a vu sur les écrans « Diên Bien Phu » et… « Indochine » justement. Il se trouve que le livre de Claude Riffaud vient à point évoquer cette marine fluviale qui a œuvré sur le Mékong – et le fleuve Rouge – entre 1945 et 1954, en parfaite symbiose avec nos camarades de l’Armée de terre, et dont on n’a jamais beaucoup parlé – je citerai rapidement : Dinassaut, remarquable, de l’amiral de Brossard ; Le crabe tambour, bien évidemment ; Enseigne dans le delta, très autobiographique, de l’amiral Estival. À vrai dire, dans les couloirs parisiens, on avait initialement un peu honte de cette Marine en kaki, qui n’affrontait pas l’ennemi sur mer mais le long des rivières où la navigation était affaire de flair et d’expérience, et non d’astronomie ! Les équipages, vivant souvent dans des conditions invraisemblables, étaient sans doute destinés à devenir inutilisables dans cette Marine « Otan » – on disait « Nato » avec l’accent – que l’on était en train de constituer. Il n’en fut rien, bien au contraire, et les hommes à qui des responsabilités avaient été confiées alors qu’ils avaient quelque vingt ans montrèrent leurs capacités ultérieurement. Lire la suite

  p. 209-210

Revue Défense Nationale - Juillet 1992 - n° 533

Revue Défense Nationale - Juillet 1992 - n° 533

Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.

Revue Défense Nationale - Juillet 1992 - n° 533

La RDN vous invite dans cet espace à contribuer au « débat stratégique », vocation de la Revue. Cette contribution doit être constructive et doit viser à enrichir le débat abordé dans le dossier. C’est l’occasion d’apporter votre vision, complémentaire ou contradictoire. Vos réponses argumentées seront publiées sous votre nom après validation par la rédaction.

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La RDN est fière d'accompagner Nemrod – Enjeux contemporains de défense et de sécurité et ses auteurs dans la promotion de ce Cahier de la RDN. Venez retrouver l'équipe et les auteurs de « La guerre des sanctions » le mercredi 2 avril à la Librairie Pedone à Paris pour un temps d'échange sur ce sujet qui fait l'actualité.

Rendez-vous :
Mardi 2 avril
18h30-20h30
13 rue Soufflot – 75005 Paris
Librairie Pedone

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