Président du Centre national d’études spatiales (Cnes), l'auteur, professeur, retrace ici les efforts de notre pays pour se doter des moyens d'une politique spatiale cohérente et pour promouvoir une Europe de l'espace seule capable de fournir à la fois aux applications par satellites (télécommunications, télévision, météo, transports, etc.), la dimension minimale qu'elles nécessitent et l'indépendance qu'implique la personnalité européenne. Il définit les options qui s'offrent à l'Europe face aux entreprises américaines en ces domaines vitaux. Lire les premières lignes
Dans les domaines du renseignement, des télécommunications, des aides à la navigation, un satellite militaire offrirait de multiples et nouvelles possibilités de développement et conférerait à notre système de défense une efficacité et une sûreté accrues. Quels sont nos besoins en ces matières et quelles sont nos capacités de réalisation ? Tels sont les points essentiels qu'aborde dans cet article l'auteur, capitaine de vaisseau et chef de la division Transmissions de l’État-major des armées (EMA).
Le problème de la dépendance énergétique de l'Europe et de notre pays a été souvent évoqué, et tout récemment encore dans notre revue (Pierre Desprairies : « Préoccupations pour l'approvisionnement pétrolier des pays industriels », mars 1973). Un début de solution interviendra à partir de 1985, quand le nucléaire aura pris en partie le relais du pétrole. Comment ce relais s'opérera-t-il ? Nécessairement par l'électricité et par le développement de ses usages thermiques. C'est ce que démontre, chiffres en mains, l'auteur, ancien élève de l’École normale supérieure (ENS), directeur général d'Électricité de France (EDF).
Il ne siérait pas de vouloir présenter une auteure de renommée mondiale, dont toute l'œuvre, romancée ou autobiographique, depuis Multiple splendeur jusqu'au Déluge du matin exprime son attachement à la terre et au peuple de Chine et sa compassion pour ses blessures anciennes. Rappelons seulement ce qu'en disait le célèbre philosophe anglais Bertrand Russell lorsque parut, il y a cinq ans La Chine de l'an 2001 : « Han Suyin n'est pas marxiste. Mais sachant combien déraisonnable est la politique occidentale envers la Chine, elle est anxieuse de faire connaître comment la Chine voit ses problèmes et son rôle dans le monde ». Si les choses ont heureusement progressé depuis lors, il n'est cependant pas certain que tous ceux qui discourent sur la Chine aient abandonné leur prétention de l'expliquer sans vouloir entendre les Chinois… Pascal était plus sage : « Mais la Chine obscurcit dites-vous ; et je réponds : la Chine obscurcit, mais il y a clarté à trouver ; cherchez-la ». (Pensées).
La révision, actuellement en cours, de la quasi-totalité des accords de coopération est pour l'auteur l'occasion d'une réflexion sur la nécessaire évolution des buts et des modalités de cette coopération. Il limite ici son propos à quelques idées simples de nature à éclairer ces problèmes dont il a eu à connaître les réalités, ces dernières années, en tant que représentant de la France dans une jeune république d'Afrique. Lire les premières lignes
Le roi Fayçal doit faire une visite officielle en France du 14 au 18 mai. Le souverain, qui avait été reçu le 2 juin 1967, trois jours avant la guerre de Six Jours, par le général de Gaulle, est venu depuis à plusieurs reprises à Paris, à titre privé. L'auteur, spécialiste des affaires du Proche-Orient au journal Le Monde, présente ici l’évolution de l’Arabie saoudite depuis le début du siècle et établit un bilan des rapports franco-saoudiens. Lire les premières lignes
En prenant le pouvoir, le 3 octobre 1968, les militaires péruviens ont instauré un régime « révolutionnaire, humaniste et chrétien » qui se veut également opposé au capitalisme et au communisme. Bien que des résultats notables aient déjà été obtenus au plan de l'exploitation des ressources et de la mise en valeur du pays, qui s'est dégagé de l'emprise américaine, il est encore trop tôt pour affirmer le plein succès de la « voie péruvienne ». Le régime du général Velasco Alvarado reste confronté à des problèmes considérables dont celui que pose l'intégration de la masse indienne qui représente les deux-tiers de la population. L'auteur est un observateur attentif des problèmes des pays andins et en particulier du Pérou où il a jadis séjourné.
Dans tous les pays socialistes, les transports sont la pierre d'achoppement de l'économie générale. Ils reposent pour l'essentiel (plus des deux tiers) sur la voie ferrée, encombrée et surchargée de matières pondéreuses. Cet état de fait explique le vif intérêt que montrent ces pays, et particulièrement l'Union soviétique, pour l'amélioration en cours du système fluvial du Danube dont ils sont tous riverains, sauf la Pologne. L'URSS, dont l'auteur a souligné dans de précédents articles les difficultés de transport (« La politique des transports en Union soviétique ») et les réalisations spécifiques (« Le canal des cinq mers »), entend bien tirer le maximum de bénéfices de nouvelles liaisons vers les mers libres. Lire les premières lignes
Quelques mois après la signature du cessez-le-feu au Vietnam, le moment semble venu de rassembler les éléments des nouveaux équipements et des nouvelles méthodes de combat apparues çà et là sur le champ de bataille. Parmi les nouveautés, les capteurs électroniques méritent d'être retenus, d'autant que les revues américaines ont publié de nombreuses études sur le sujet. Ce sont principalement ces sources qui ont fourni les matériaux de cet article.
Chroniques
Plusieurs événements avaient déjà, en eux-mêmes et par leur concomitance, illustré la fin de l’après-guerre. L’admission de la Chine populaire aux Nations unies (25 octobre 1971), les débuts de la normalisation des relations entre Washington et Pékin, la cessation des combats au Vietnam (27 janvier 1973), les efforts du Japon pour s’imposer, en Asie, comme le partenaire privilégié de la Chine et de l’Union soviétique, ont ouvert un « nouvel âge du Pacifique ». En dépit de ses insuffisances, le traité américano-soviétique du 26 mai 1972 sur la limitation de certains armements stratégiques, né de la conscience des risques impliqués par une relance de la course aux armements à partir des missiles antimissiles et des engins à ogives multiples, a consacré la naissance du « second âge nucléaire ». La substitution de rapports de rivalité commerciale à des rapports de dépendance entre les États-Unis et l’Europe relativise la notion de communauté atlantique dont certains avaient souhaité faire le fondement d’une alliance atlantique plus structurée et plus contraignante qu’elle n’était. Lire la suite
La sécurité du territoire national repose à la fois sur la défense civile, en matière d’ordre public, et sur la défense militaire qui revêt des aspects terrestre, maritime et aérien. Les structures de la défense aérienne, définies par un décret de 1964, restent valables. Par contre, la mise en place progressive, et actuellement réalisée, des forces nucléaires stratégiques ainsi que l’évolution de certains concepts de défense ont conduit à refondre les textes organisant la défense terrestre et maritime. Cette mise à jour de notre appareil de défense fait l’objet de récents décrets dont il faut analyser la portée. Lire la suite
Le 16 février 1973, le Secrétaire américain à la Marine, John W. Warner, a annoncé que le futur sous-marin du système Trident serait basé sur la côte Nord-Ouest des États-Unis, à Bangor, près de Keyport, dans l’État de Washington. Ce choix, qui marque une étape importante dans le programme de mise sur pied du système de missiles balistiques lancés de sous-marins, ramène l’attention sur le rôle dévolu à cette composante des forces stratégiques américaines à la fin de la décennie. Lire la suite
Examiné au Conseil de défense le 27 mars 1973, le plan à long terme de l’Armée de l’air propose une politique d’équipement visant à donner aux forces aériennes, à l’horizon 1985, les capacités d’action dont le gouvernement estime devoir disposer à cette époque pour conduire sa stratégie de dissuasion. Lire la suite
C’est le 24 janvier 1973 que le président Nixon a présenté au Congrès son projet de budget fédéral pour l’exercice 1973-1974 commençant le 1er juillet 1973. Exprimé en NOA (New Obligational Authority), c’est-à-dire en autorisations de dépenses, le budget de défense se monte à 83 481 milliards de dollars ce qui représente 32% environ de budget fédéral et 6 % du PNB américain prévu pour l’année fiscale. Lire la suite
La visite du Premier ministre britannique Sir Alec Douglas Home en Afrique, la réunion de la « Communauté économique africaine » à Abidjan et le séjour effectué par le président Senghor à Bruxelles attirent l’attention sur les répercussions africaines de l’adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun : 1973 verra se dérouler une négociation générale sur l’association des pays du Commonwealth à la Communauté européenne élargie. Depuis 1972, les prises de position et les projets se succèdent montrant l’importance que revêt l’événement. Lire la suite
Bibliographie
« Le 5 mars 1953, bien des choses ont changé pour nous tous parce qu’un vieillard était mort dans la banlieue de Moscou. Une semaine après sa mise au tombeau, le monde sentait déjà qu’il n’était plus le même. Qu’il fût ou non le produit de son époque, il était devenu à lui seul une époque. Il y a Staline, et puis l’après-Staline ». Telles sont les premières lignes du livre de Georges Bortoli, qui a voulu retrouver cet homme qui avait fait de sa personne un mythe, de son royaume la caverne de Platon – des ombres sur un mur. Il a voulu décrire ce passage d’un temps à un autre, suivre pas à pas les derniers jours de Staline et les premiers jours de l’ère suivante. Nous voyons ainsi Staline dans sa datcha, dans son bureau, aux eaux du Caucase, au XIXe Congrès, pendant ses entretiens avec de rares privilégiés. Nous sommes replongés dans « l’affaire des blouses blanches » et dans la montée d’une politique anti-juive… Puis voici la mort (naturelle, provoquée par une congestion cérébrale), le drame des funérailles, les premiers reniements des disciples, la fin de Béria… Nous suivons les débuts des héritiers, Khrouchtchev, Malenkov, Molotov, Mikoyan, Kossyguine. Mais Georges Bortoli nous fait aussi rencontrer le kolkhozien dans son champ, les déportés dans leurs forêts, les hommes et les femmes de la rue dans leurs préoccupations quotidiennes… Lire la suite
L’épaisseur de ce livre et la densité de sa typographie pourraient décourager le lecteur le plus intrépide. Qu’il se donne la peine de lire la préface et il n’en aura plus à courir jusqu’à la conclusion. Avec Angus Calder qui, s’il n’a pas tout vu, a tout retenu, nous nous engouffrons dans les abris de Londres pendant les nuits d’apocalypse, nous parcourons les rues dévastées, nous courons nous réfugier dans la campagne anglaise, nous visitons des usines d’armement, nous piétinons à la porte des boutiques, nous hantons les pubs, nous écoutons la BBC où, sur un fond d’explosions et de sirènes, l’inamovible et irremplaçable Winston Churchill stimule son « peuple en guerre ». Lire la suite
Kurt Waldheim, avant de succéder à M. U Thant au secrétariat général de l’ONU, était ministre des Affaires étrangères d’Autriche. Il évoque l’histoire de son pays de la fin de la Première Guerre mondiale jusqu’aux négociations d’association avec le Marché commun. Cette histoire s’ouvre avec la consécration, par le traité de Versailles, de la fin de l’empire austro-hongrois : si l’on peut considérer que l’Europe bourgeoise du XIXe siècle est morte en juillet 1914, c’est seulement en 1919 que l’on se rendît vraiment compte qu’un temps de l’histoire était clos, qu’un autre s’ouvrait. Elle se termine avec l’association de l’économie autrichienne à celle des États de l’Europe de l’Ouest, dans le cadre de la détente entre l’Est et l’Ouest, car l’Union soviétique aurait pu utiliser le « traité d’État » pour s’opposer à cette association. Ce renouveau est, aux yeux de M. Kurt Waldheim, un véritable « miracle ». Lire la suite
André Guérin est un journaliste qui suscite l’adhésion ou le refus, jamais l’indifférence. Avec 1871, la Commune et La folle guerre de 1870, il s’était révélé bon historien. Voici qu’avec Il y a cent ans, la République, il nous donne un livre d’un extrême intérêt. Sans doute n’apporte-t-il pas de documents nouveaux. Mais le temps n’a pas atténué les passions. Des hommes comme Ferry, Gambetta, Clemenceau, restent présents parmi nous, non comme des statues mais comme des combattants dont on partage ou désapprouve les prises de position. En fond de tableau apparaissent les masses, qui n’ont laissé dans l’histoire que des cris d’espoir ou de haine, mais sans qui l’on ne peut comprendre l’évolution des mœurs et des mentalités. Thiers, Mac Mahon, Gambetta, les « trois Jules », Simon, Grévy, Ferry et Floquet, et Dupanloup, oui sans doute, mais aussi un accompagnement populaire qui, d’année en année, se fait plus distinct. Lire la suite
Voilà un texte fort ancien qui n’avait pas été publié depuis longtemps. Faut-il mettre cette édition sur le compte de la vogue que connaissent actuellement les textes militaires du passé, de Sun Tzu à Clausewitz ? Lire la suite
Il y a vingt-cinq siècles, dans la Chine des « Royaumes combattants » était rédigé le premier traité de l’art de la guerre. Sur son auteur, Sun Tzu, l’histoire ne fournit que quelques traits biographiques, et encore sont-ils mêlés à la légende. Originaire du royaume de Ch’i [Qi], il serait passé au service du roi de Wu et en aurait commandé les armées avec un constant succès. Mais son ouvrage, d’une concision toujours perceptible malgré les adjonctions des commentateurs, a été et demeure au centre de la pensée militaire extrême-orientale. Au Japon, où il a été connu au VIIIe siècle de notre ère, il a inspiré, après les guerriers féodaux, les officiers de l’armée impériale, et Pearl Harbour a été une explication de sa maxime fondamentale : « Tout l’art de la guerre repose sur la duperie ». Lire la suite
Il faut rendre hommage aux Éditions de l’Herne d’avoir accompli l’effort qu’il fallait pour nous donner de Mao Tsé-toung autre chose qu’un de ces aperçus rapides ou de ces jugements superficiels et hâtifs que journalistes et voyageurs rapportent à profusion depuis quelque temps de leur récent – et en général premier – contact avec la Chine. Lire la suite
Guy Raïssac est un magistrat que ses succès professionnels, attestés par une brillante carrière, n’ont pas détourné d’une vocation d’écrivain et d’historien à laquelle il s’est, depuis quelque temps, entièrement consacré. Les sujets qui paraissent l’attirer – une étude sur le général Weygand, le différend Pétain-de Gaulle, en témoignent – sont choisis dans un passé très récent, avec le désir d’apporter sur des événements controversés et qui ont soulevé maintes passions le témoignage et le résultat des recherches d’un homme qui ne se sent intellectuellement engagé ni d’un côté ni de l’autre. Lire la suite
Souvenirs d’un ancien officier de Marine – l’auteur a pris sa retraite comme capitaine de vaisseau en 1947 pour entrer dans l’industrie – sur la période de 1939 à 1946, au cours de laquelle il a successivement servi à l’État-major de Darlan jusqu’en 1942, à l’Amirauté d’Alger jusqu’en 1944, à la mer (débarquement en Provence), et comme observateur militaire français de l’explosion atomique de Bikini (juillet 1946). C’est dire qu’Henri Ballande a eu une carrière particulièrement riche en événements. En outre, il sait les raconter. Quelques-unes de ses appréciations, tant sur les hommes qu’il a fréquentés que sur les événements dont il a été le témoin, heurteront peut-être certaines susceptibilités ou certains préjugés. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas prêter attention à ce récit très intéressant, fortement documenté et parfaitement sincère, qui tranche sur la platitude de tant de souvenirs de guerre plus conformes à ce qu’exige, en particulier sur la période vichyssoise, l’imagerie populaire fabriquée après coup. ♦
On se souvient que, dans cette excellente collection du Seuil, Louis Bergeron avait analysé les aspects intérieurs de l’épisode napoléonien. Jacques Lovie et André Palluel-Guillard consacrent le volume suivant à l’étude des aspects extérieurs de l’Empire. Lire la suite
La piraterie est vieille comme les navires, nous dit Hubert Deschamps. Certains faits divers nous portent à croire qu’elle est éternelle. Elle s’est contentée, pour survivre, d’établir sa coupable industrie dans un autre élément. Lorsqu’il n’y eut plus, dans les riches eaux des Caraïbes, de galions à piller ni d’Espagnols à pourfendre, les « gentilshommes de fortune » se virent obligés de la chercher ailleurs. Ce faisant, ils troquèrent les Indes occidentales contre les Indes orientales, et les Mascareignes, les Comores et surtout Madagascar leur offrirent des havres aussi hospitaliers que les criques antillaises. Lire la suite
L’organisation de la recherche scientifique, jadis domaine privilégié de la libre entreprise, est devenue aujourd’hui une affaire d’État et même une affaire internationale. Une extrême complication préside désormais à cette organisation, et les relations, en matière de recherche, entre les différents États sont soumises à des règles et à des contraintes juridiques de plus en plus élaborées et délicates à manier. Lire la suite
Werner Heisenberg, l’un des plus illustres lauréats du Prix Nobel de Physique, joua un rôle considérable dans le développement de nos connaissances du monde nucléaire, et ses fameuses « relations d’incertitude » firent couler beaucoup d’encre, car elles remettaient en cause les concepts traditionnels de hasard et de déterminisme. Dans ce volume, au style extrêmement simple, dont pas une page ne rebute le non-spécialiste et qui « couvre » les années 1920-1965, il retrace le déroulement des choses, ses hésitations et ses enthousiasmes, ses propos ou discussions avec les plus grands savants du temps : Einstein, Bohr, Dirac, Pauli, etc. On saisit ainsi le prodigieux enchaînement qui conduisit la science nucléaire des premières découvertes aux applications militaires et civiles d’aujourd’hui, et la révolution intellectuelle qu’il entraîna. Mais si la physique, et plus spécialement l’infiniment petit, ont dominé sa vie, ils n’en furent pas le centre unique. Werner Heisenberg ne s’enferma pas dans son laboratoire : certaines des pages les plus attachantes de son livre évoquent les problèmes de la responsabilité morale et politique du savant, les rapports entre science et religion, la montée du nazisme, les possibilités nucléaires de l’Allemagne dès 1939, etc. Ces dialogues entre l’homme et le savant, et entre le savant et l’homme, sont passionnants, et ce témoignage représente un très grand livre. ♦
Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.
La RDN vous invite dans cet espace à contribuer au « débat stratégique », vocation de la Revue. Cette contribution doit être constructive et doit viser à enrichir le débat abordé dans le dossier. C’est l’occasion d’apporter votre vision, complémentaire ou contradictoire. Vos réponses argumentées seront publiées sous votre nom après validation par la rédaction.
Aucune contribution n'a encore été apportée.
Colloques, manifestations, expositions...
Institutions, ministères, médias...