Il paraissait normal, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, que la France, à l'instar de la Grande-Bretagne, portât son effort de recherche sur la défense et les industries de pointe. Aujourd'hui, la lutte économique qui s'engage pour l'Europe face aux rivaux redoutables que sont les États-Unis et surtout le Japon n'impose-t-elle pas une meilleure coordination des efforts de recherche européens et leur rééquilibrage au profit de secteurs offrant à la Communauté les meilleures chances d'efficacité ? Lire les premières lignes
Avec l’aimable autorisation de son auteur, le président-directeur général de l’Aérospatiale, nous reproduisons ici l’exposé qu’il a fait en février 1973 devant l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). S’agissant du témoignage d’un homme qui a consacré sa vie aux créations et aux productions aéronautiques, qui depuis trente ans a fait en ce domaine l’expérience de la coopération internationale et qui en tire aujourd’hui les leçons, nous avons tenu à respecter la forme orale originelle de son exposé. Lire la suite
Vecteur privilégié de la croissance, condition fondamentale du désenclavement des hommes, les transports jouent – ou plutôt, devraient jouer… – un rôle majeur dans la poursuite des objectifs essentiels de la Communauté économique européenne (CEE) : la suppression des barrières économiques et sociales à l'intérieur de la Communauté et sa protection économique à l'extérieur. Les signataires du Traité de Rome en avaient-ils bien conscience ? Quelles mesures s'imposent d'urgence pour l'établissement d'une véritable politique européenne face aux entreprises hégémoniques des États-Unis ? Lire la suite
Mer et espace s'entendent ici comme immensités de la troisième dimension dans lesquelles, à défaut d'une autorité capable de dire et de faire respecter le droit, l'homme risque fort d'introduire de nouveaux conflits. Ces deux milieux présentent bien des analogies – chacun d'eux est « res communis » au regard du droit – mais aussi des caractéristiques spécifiques telles que les stratégies qui peuvent s'y appliquer et les activités de défense appelées à y être mises en œuvre sont fondamentalement différentes. Aucune politique de dissuasion ne peut les ignorer aujourd'hui. Qu'elle veuille ou non y développer des activités de défense, la France doit au moins savoir ce qui s'y passe. Lire la suite
Au point où elle en est parvenue de son développement, l'industrie aéronautique japonaise doit rechercher une coopération internationale ; celle que lui offre l'Europe accroîtrait son indépendance vis-à-vis des États-Unis. L'auteur, jeune technicien de l'aéronautique, a fait récemment plusieurs séjours au Japon. Lire les premières lignes
S'interroger sur la situation de la Yougoslavie aujourd'hui, c'est en fait se demander quel degré d'originalité conserve la « voie yougoslave » vers le socialisme, qui a soulevé tant d'intérêt en Occident depuis un quart de siècle. C'est à cette question que cherche à répondre très objectivement l'auteur, universitaire, spécialiste des questions balkaniques, et qui a fait récemment plusieurs séjours en Yougoslavie.
On ne peut bien comprendre l'évolution parallèle des rapports américano-soviétiques et américano-européens si l'on ne se réfère à la doctrine McNamara qui marqua la politique des États-Unis dans les années 1960. Les Européens en ont surtout retenu ce qui les touchait le plus : la volonté américaine de minimiser les risques d'une escalade fatale et de s'opposer à la création de forces nucléaires européennes nationales indépendantes jugées dangereuses. En fait, il n'y eut pas « une » doctrine McNamara mais, à mesure que les États-Unis voyaient décroître leur suprématie nucléaire, une série de visées évoluant de la « stratégie contre-force » à la « limitation des dommages », puis à la « destruction assurée ». L'auteur retrace cette évolution qui aboutit finalement à une doctrine bien proche, selon lui, de celle de la « dissuasion minimale » initialement rejetée par McNamara. Lire la suite
Une analyse de la situation actuelle au Proche-Orient et au Moyen-Orient débouche, me semble-t-il, sur les réflexions ou les questions suivantes : Lire les premières lignes
Chroniques
Si, rationalisant par une abstraction du contexte les événements de mai 1968 et leur conférant une logique qu’ils ne possédèrent pas, quelques groupements politiques menaçaient le gouvernement français d’un « printemps chaud », c’est surtout dans le domaine international que, dans les premiers jours de mai 1973, certaines tensions paraissaient susceptibles de s’aggraver en crises. Sans doute les insuffisances et les équivoques de l’accord de Paris du 27 janvier 1973 permettaient-elles de prévoir que l’arrêt officiel des combats au Vietnam ne créerait pas, par lui-même, les conditions de la paix. Mais on ne pouvait pas penser que la situation s’aggraverait au point de paraître justifier une rencontre entre MM. Henry Kissinger, conseiller à la Sécurité nationale des États-Unis, et Le Duc Tho, chef de la délégation nord-vietnamienne, et que la guérilla qui sévissait au Cambodge s’amplifierait comme elle l’a fait. Lire la suite
Qu’il s’agisse de la défense proprement dite, de la condition des personnels, de la réorganisation de l’appareil militaire ou des problèmes d’information, le bilan de l’activité de M. Michel Debré à la Défense nationale est éloquent. On retrouve partout sa volonté de faire aboutir des réformes et de mener à bien une évolution rendue nécessaire à bien des égards. Lire la suite
En Ulster, où la situation apparaît toujours aussi compliquée, les efforts du secrétaire d’État pour l’Irlande du Nord M. William Whitelaw n’ont pas réussi jusqu’ici à rapprocher les communautés catholique et protestante. Du côté catholique, il existe une opposition légale représentée au Stormont (1) par le Parti socialiste et démocrate du travail (Social Democratic and Labour Party, SDLP) et une opposition clandestine, essentiellement le fait des deux Irish Republican Army (IRA). Des mouvements visant à la défense des droits civiques de la majorité catholique se sont, en outre, développés. Enfin le Parti communiste et divers groupements gauchistes ne pouvaient manquer de s’intéresser au problème. Le présent article donne un aperçu de ces différentes formations et de leur activité. Lire la suite
Au moment où paraîtra cette chronique le 30e Salon international de l’aéronautique et de l’Espace (25 mai-3 juin 1973) battra son plein au Bourget. L’industrie aéronautique française y sera représentée par nos constructeurs nationaux de cellules de moteurs et d’équipements. Lire la suite
La presse a récemment annoncé que la marine péruvienne avait acheté le croiseur néerlandais De Ruyter. Ce bâtiment qui a été rebaptisé Almirante Grau, a été achevé en 1953. Il déplace 11 850 tonnes pleine charge (tpc) et est propulsé par des turbines à vapeur développant au total 85 000 CV à une vitesse de 32 nœuds. Son armement principal se compose de 8 pièces de 152 en tourelles doubles. Cette acquisition, qui semble destinée à contrebalancer l’achat du Gota Lejon (1) suédois par les Chiliens, attire l’attention sur la marine péruvienne et nous donne l’occasion de poursuivre notre revue des marines de l’Amérique latine. Nous donnerons dans les lignes qui suivent une rapide description de la marine péruvienne que nous ferons suivre par celle de la Colombie. Lire la suite
Au Dahomey [NDLR 2023 : Bénin à partir de 1975], à la suite de l’accession au pouvoir d’un régime militaire, le conflit des générations et un certain clivage social, assez exceptionnel en Afrique, se sont accentués et se sont ajoutés au tribalisme latent pour rendre préoccupante la situation intérieure. De plus, ce pays est le carrefour d’influence opposées : celle des francophones de l’Afrique de l’Ouest, semi-dirigistes, associés à la Communauté économique européenne (CEE) et cherchant à s’unir pour défendre leurs particularismes, celle du Nigeria libre-échangiste, qui s’efforce d’abolir les liens préférentiels existant entre l’Europe et ses voisins pour regrouper ceux-ci en un ensemble qu’il pourrait modeler à sa guise. Lire la suite
Tout récemment, un de nos amis, désireux d’aller voir L’Aventure du Poseidon, fit ce que font en pareil cas des millions de Français : il appela le cinéma en posant la question rituelle : « À quelle heure passe le “grand film” ? ». La réponse ne fut pas celle que les caissières donnent d’habitude. « Monsieur – lui dit la préposée – vous devriez venir en début de séance. Nous passons un film de complément charmant et vous regretteriez de ne pas l’avoir vu ». Le spectateur suivit le conseil de la caissière et ne le regretta pas, le film étant, en effet, charmant. Or, il s’agissait d’une production de l’Établissement cinématographique et photographique des Armées (ECPA) : Vent d’Ouest. Le titre n’est pas suggéré par des considérations géographiques, c’est tout simplement le nom d’un superbe cheval dont les réalisateurs Raymond Méjat et Charles Meunier nous content avec talent et tendresse l’existence au haras, au sein de l’armée et enfin à la retraite. Non seulement le cheval est beau, non seulement son service dans la Garde républicaine donne lieu à des scènes pittoresques et insoupçonnées, mais encore le commentaire, dit avec beaucoup d’esprit et de subtilité par Daniel Ceccaldi, ajoute une note poétique et mélancolique à ce récit en images qui fait honneur à la production du Fort d’Ivry. Lire la suite
Bibliographie
« Je meurs de soif auprès de la fontaine »… Le poème de Villon désigne assez bien l’état de l’homme occidental, éperdu au sein de ses richesses, angoissé dans ses sécurités mêmes, inquiet de ne plus avoir d’histoire quand il maîtrise la nature et bientôt le temps… Pour Jacques Ellul, la clef de cette réalité paradoxale pourrait être la faim et la soif d’une Parole de Dieu absente. Le vide qui nous habite est celui du silence de Dieu et de la dérision. L’homme contemporain remplit le silence de son bavardage et se trouve plus seul que jamais : la seule réponse possible au silence de Dieu c’est l’Espérance. Lire la suite
Cet essai d’un très distingué professeur de Sciences politiques à la très sélective Université de Yale est une œuvre de réflexion entièrement personnelle. Bien que patronné par la Fondation Rockefeller, l’auteur n’a pas fait appel – comme cela se produit si souvent aux États-Unis – à une de ces nombreuses équipes de chercheurs qui gravitent autour des universités américaines et mettent leurs curiosités et leur talent à la disposition des « grands patrons » réputés. Lire la suite
Le problème de la réduction générale des armements a été abordé depuis longtemps dans un certain nombre d’œuvres doctrinales. Mais ce n’est que depuis le début de XXe siècle que sont apparues des institutions attachées à sa réalisation. Lire la suite
Au rythme d’une prolifération exponentielle qui a déjà paralysé et peut-être détruit la moitié du potentiel de notre écosphère, il ne nous reste que fort peu de temps pour sauver l’autre moitié et qu’un espoir très mince de reconstituer l’intégrité de ce capital. Faut-il donc se résigner à freiner cette croissance d’où viendrait le mal et n’obtenir, au mieux, qu’une rémission de celui-ci ? Faut-il la condamner à la régression au risque de déséquilibres plus graves encore ? Non, affirme Robert Lattes, mais il est possible, s’inspirant des modèles proposés par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et le Club de Rome, d’imaginer une économie nouvelle, donc une politique, dont l’objectif ne serait plus une élévation constante du niveau de vie mais un genre de vie plus conforme à nos aspirations de justice, d’équité, de bien-être social. Entre le laisser-faire et l’arrêt brutal, il faut trouver un passage dont le but serait d’élever le taux « de bonheur mondial brut » d’une humanité devenue solidaire dans un projet unique de civilisation. Lire la suite
En juin 1972, à l’occasion de la publication du Rapport Mansholt, l’opinion française a été brusquement confrontée avec un problème assez angoissant : celui des dangers – précis, prochains, peut-être imparables – qui ne menacent rien moins que la survie de notre société humaine sous sa forme actuelle. On sait que l’ordinateur du Massachusetts Institute of Technology, interrogé par le Club de Rome, a produit un diagnostic alarmant : l’augmentation de la population mondiale, l’épuisement des ressources naturelles, la pollution de la nature dus au progrès économique vont se conjuguer pour provoquer, à relativement brève échéance, l’écroulement de notre civilisation. Un seul remède : stopper l’accroissement de la population dans tous les pays ; freiner, sinon arrêter la croissance économique. C’est le Zero Growth, la Croissance Zéro. Lire la suite
Longtemps réduite au cercle des spécialistes, l’histoire de la Chine contemporaine commence à entrer dans la culture générale. Mais qui peut se flatter de connaître le nom, les actes, la vie des hommes qui ont bâti la Chine d’aujourd’hui ? « Du milieu du XIXe siècle à nos jours, la Révolution chinoise moderne se résume à l’histoire d’une double aspiration : la recherche d’un statut international autonome et celle d’une modernisation nationale auto-engendrée. Pour le monde occidental, l’histoire de cette aspiration est encore malheureusement entourée de lacunes, et d’un manque de compréhension, résultats d’une documentation inadéquate ainsi que de l’ambiguïté de réalités opposées, inhérentes à l’Empire du Milieu ». Lire la suite
Ce petit opuscule mérite d’être signalé à ceux de nos lecteurs qui s’intéressent à l’évolution de la Chine populaire et sont curieux de savoir comment fonctionnent, d’une façon concrète, le régime de Mao Tsé-toung et l’administration qui le sert. Lire la suite
Bien que la situation de l’Église orthodoxe en URSS soit un sujet fréquemment abordé dans les conversations en France, il n’existe pas, à notre connaissance, d’ouvrage sérieux et complet à l’usage du grand public de langue française qui lui ait été consacré. Il n’en est pas de même aux États-Unis où abondent aussi bien des travaux originaux effectués, sous l’égide de divers instituts et universités, que des traductions d’ouvrages initialement publiés en russe, soit par des émigrés en Occident, soit par des chercheurs soviétiques en URSS même. Parmi toutes ces contributions, celle de William C. Fletcher, voué depuis de longues années aux études relatives à l’URSS, nous paraît bénéficier de la documentation la plus abondante, la plus diversifiée et la plus soigneusement passée au crible d’une critique scientifique rigoureuse. Elle bénéficie aussi de l’incontestable talent d’écrivain de son auteur qui s’entend fort bien à susciter l’intérêt du lecteur par l’évocation de l’ambiance historique des événements relatés, par le choix des anecdotes et par d’opportunes citations. Lire la suite
Cinq ans après avoir publié le premier tome de La Jordanie réelle, Mlle Goichon nous donne la suite de son ouvrage. Il faut la louer d’avoir eu le courage de s’attaquer à ce travail aussitôt après la guerre des Six Jours (5-10 juin 1967) qui s’est traduite par l’occupation de toutes les conquêtes cisjordaniennes réalisées en 1948 par le roi Abdallah. Comme l’auteur l’indique dans son introduction, la recherche de la « valeur humaine » n’a cessé d’être le fil directeur de son étude, ce qui donne à son travail une dimension qu’on trouve rarement dans des études similaires. Lire la suite
La collection « Que sais-je ? », depuis des années, rend de précieux services à tous ceux qui, étudiants ou non, veulent s’informer rapidement, sans que ce soit superficiellement, de toutes sortes de questions, ressortissant à pratiquement toutes les disciplines et à toutes les activités humaines. Lire la suite
Le 2 octobre 1944, le général Komorowski, commandant l’Armée polonaise de l’intérieur, présentait sa reddition à son adversaire allemand, le général von dem Bach. Ainsi trouvait son épilogue la plus amère tragédie de la Seconde Guerre mondiale. Le 4 octobre, conformément à la décision de Hitler, nouveau Scipion, était entreprise la destruction systématique de Varsovie, autre Carthage, ou du moins ce qu’il en restait après soixante-trois jours de combats sans merci pendant lesquels les insurgés avaient défendu leur capitale quartier par quartier, rue par rue, maison par maison et parfois, on le verra, étage par étage. 16 000 tués chez les défenseurs, 26 000 chez les assaillants, plus de deux cent mille civils fusillés, morts de misère, de faim, de soif, ensevelis sous les décombres d’une des plus belles villes du monde ! Trente ans après, l’on peut se demander le pourquoi d’un tel sacrifice. Lire la suite
Voici une excellente étude historique : sérieuse, honnête, bien documentée et réfléchie, qui n’a d’autre ambition que de raconter et d’expliquer, clairement et simplement, ce qui s’est passé au Mexique de 1910 à 1940, et rien d’autre. C’est là une attitude saine et constructive, qui sert la science historique française, fait honneur à l’auteur et le distingue des pseudo-historiens, plus soucieux de politique et d’actualité que désireux de bien faire leur métier. Lire la suite
« J’avais résolu de renouveler à Cherbourg les merveilles de l’Égypte ». Gravée sur le socle de la statue qui orne la place Napoléon, cette phrase du Mémorial, reprise par l’amiral Lepotier dans l’ouvrage qu’il consacre à Cherbourg, montre à l’évidence que l’Empereur avait clairement reconnu l’importance géographique et stratégique du grand port normand. C’est d’ailleurs dès le Consulat qu’il décida de « donner enfin à notre flotte une rade abritée, nautiquement accessible en tout temps de vents et marées et défendue contre toute attaque par mer ». Lire la suite
Passionnant, le nouvel ouvrage d’Henri Le Masson, de l’Académie de Marine, nous entraîne bien loin de ces grands affrontements qui ont marqué à travers le monde l’histoire maritime : batailles navales des XVIIe et XVIIIe siècles, aventure du Jutland [1916] ou luttes dramatiques de la guerre du Pacifique. Il ne s’agit plus ici de cuirassés, ni de porte-avions, mais de petits bâtiments, de simples engins parfois, où l’ingéniosité des constructeurs s’est donné libre cours et où l’audace et le courage individuels ont trouvé un admirable terrain d’action. Lire la suite
Derrière ce titre un peu mystérieux, se cache l’évocation de deux mois particulièrement sombres de l’histoire de France : septembre et octobre 1870, entre la capitulation de Sedan et celle de Metz. L’armée du Rhin, commandée par Bazaine, est bloquée autour de Metz, l’empereur Napoléon III est prisonnier en Allemagne, l’impératrice Eugénie réfugiée en Angleterre, les plus fidèles bonapartistes avec elle ou en Belgique ; le gouvernement de Défense nationale essaye de poursuivre la lutte avec Gambetta tandis que Jules Favre sonde les intentions allemandes. Tels sont les pions de l’échiquier que Bismarck manipule au mieux des intérêts du roi de Prusse. Lire la suite
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