Pour un pays comme le nôtre, doté en Europe de façades maritimes développées, exerçant des responsabilités outre-mer et possédant des forces navales, et en particulier nucléaires – dont la liberté de navigation ne saurait être entravée – la 6e session de l'actuelle Conférence sur le droit de la mer qui va s'ouvrir fin mai à New York revêt une certaine importance. Mais celle-ci n'est pas moins grande pour les rapports du Tiers-Monde et des pays industrialisés et d'une manière générale pour l'avenir du droit appelé à régir les rapports internationaux, et par conséquent pour la paix du inonde. Cet article permettra au lecteur de se rappeler l'évolution récente des problèmes du droit de la mer et de sa nécessaire révision, de prendre conscience de leur enjeu, de faire connaissance avec les principales thèses qui vont s'affronter à New York et d'apercevoir les perspectives d'échec ou de succès qui s'offrent à la négociation. Lire les premières lignes
La France, trop longtemps tournée vers l'intérieur du continent, a négligé sa vocation maritime. L'intérêt d'une marine marchande nationale est aujourd'hui évident ; il faut que notre commerce extérieur s'effectue en majorité sous pavillon français. Mais le développement d'une infrastructure portuaire capable d'assurer une plus large part du commerce européen est non moins indispensable ci notre balance commerciale. À cet égard, beaucoup a déjà été fait durant les dernières décennies ; les réalisations de Dunkerque, Le Havre-Antifer et Marseille-Fos en témoignent. Ce n'est pas cependant dans le seul domaine du traitement des marchandises pondéreuses, en vrac solide ou liquide, que nos installations portuaires doivent se développer, mais aussi dans celui des marchandises diverses où nos concurrents belges, hollandais et allemands offrent des services plus avantageux ou à des prix plus compétitifs. Il faut pour cela lever un certain nombre de handicaps dont souffrent encore nos ports et leur environnement. La récente grève qui a paralysé le port de Dunkerque n'est qu'un des aspects de ces problèmes. Cet article présente le bilan de notre développement portuaire, porte un diagnostic sur les obstacles qu’il rencontre et indique les conditions de leur levée.
Le 2 décembre 1976, M. Roper (député britannique, Commission des Questions de Défense et des Armements) a présenté à la 22e session de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale un intéressant rapport sur la lutte anti-sous-marine. Après avoir présenté le potentiel soviétique dans ce domaine, ce rapport analysait la vulnérabilité de l’Occident, présentait les moyens de l’Otan en matière de recherches, de détection, de systèmes d’armes, et évaluait le potentiel de lutte anti-sous-marine des alliés. Il concluait à la nécessité pour ceux-ci de coordonner leurs tactiques, d’intensifier leurs efforts de recherche et de veiller à l’interopérabilité de leurs forces en ce domaine. Ce rapport est ici commenté par un spécialiste de ces questions. Lire les premières lignes
La paix est indivisible : les Super-Grands ne peuvent prétendre la révérer en Europe continentale et la bafouer à sa porte méditerranéenne en continuant à y alimenter les tensions sous couvert de l'exercice d'un droit de police. Il convenait donc de permettre aux riverains non européens de cette mer défaire entendre leurs voix à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe. L'auteur fait l'historique de ce dialogue et en dresse le bilan, bien mince il est vrai, à la veille de la réunion de Belgrade qui va faire le point des résolutions signées à Helsinki il y a deux ans. Lire les premières lignes
Zélatrice du non-alignement et de la révision du nouvel ordre international, l'Algérie, après quelques déboires et un certain repli de la scène internationale, a réapprécié sa politique étrangère. Son militantisme n'a cependant rien perdu de sa vigueur mais son effort s'applique aujourd'hui à l'Afrique où elle se trouve engagée aux côtés des régimes progressistes combattant pour la « décolonisation ». Dans le numéro de mai 1977, l'auteur avait traité de l'évolution de la politique intérieure de l'Algérie. La rédaction du présent article est antérieure à la tension des relations franco-algériennes qui a fait suite à l'enlèvement par le Front Polisario, soutenu par Alger, de 6 Français en Mauritanie.
La carte politique de l'Orient s'est très sensiblement modifiée depuis un an. On a assisté à la naissance d'une alliance entre régimes modérés (Égypte, Arabie saoudite et Soudan), décidés à s'opposer aux tentatives révolutionnaires dans la péninsule arabe et en Éthiopie ; on a vu la réconciliation égypto-syrienne, le rapprochement du régime hachémite et du Conseil national palestinien, et enfin la défaite des extrémistes palestiniens au Liban. Un nouveau camp arabe conservateur, beaucoup plus structuré et plus ample que par le passé s'est ainsi formé avec la bénédiction sinon l'appui de Washington. Est-ce à dire pour autant que le « Front du Refus » est en déroute et que les obstacles sur le chemin de la paix qui passe nécessairement par Genève sont éliminés ? L'auteur analyse cette situation de façon très complète avec les nuances qui s'imposent, en faisant ressortir les motivations propres à chacune des parties engagées dans cette affaire complexe, et en montrant leurs points de convergence et leurs désaccords. Lire les premières lignes
La décision prise par le Président de la République française de répondre positivement à la demande d’assistance du Président de la République du Zaïre et du Roi du Maroc et la manière dont cette décision a été exécutée ont fait l’objet de nombreux commentaires. Du point de vue militaire et technique, on a souligné la démonstration qui vient d’être faite de notre capacité à assurer, dans les conditions requises de discrétion, la préparation et le déroulement d’une opération logistique d’une grande envergure. La manière remarquable dont fut menée cette action prouve en effet que la France dispose des moyens matériels indispensables pour faire face aux engagements qu’elle a souscrits et pour défendre ses intérêts propres, même à des distances considérables, lorsqu’il n’est pas question d’affronter les superpuissances. Mais l’objet de cet article n’est pas de tenter de tirer les leçons sur le plan stratégique de l’aide logistique que la France vient d’apporter au Zaïre ; il est d’énoncer les questions qui, sur le plan juridique et politique, peuvent être posées à propos de cette action. Le Président de la République a d’ailleurs lui-même opportunément pris l’initiative dans ses propos télévisés du 12 avril d’éliminer un certain nombre de malentendus. Lire les premières lignes
Les larges possibilités qu’offrent les satellites artificiels en matière de reconnaissance sont apparues dès le début de l’ère spatiale (1957). Lire les premières lignes
Chroniques
On pouvait, sans grand risque d’erreur, prévoir que 1977 serait « l’année de l’Afrique » : les combats qui se sont engagés au Zaïre, et qui ont fait apparaître de nouveaux clivages, ainsi que les convulsions qui secouent l’Éthiopie, ont donné une nouvelle dimension aux problèmes de la stabilisation du continent noir. On pouvait, sans davantage de risque d’erreur, prévoir que le Président Carter se heurterait à des difficultés pour transcrire dans les faits la diplomatie qu’il avait annoncée durant sa campagne électorale. Le refus de Moscou de lier dans une même négociation la question de la limitation des armements stratégiques et celle des droits de l’homme a placé les relations américano-soviétiques dans une nouvelle perspective, à quelques semaines de la Conférence de Belgrade, qui doit établir le bilan de celle d’Helsinki de juillet 1974. Dans d’autres domaines apparaissent aussi des nouveautés qui, sans affecter le fond des problèmes, en modifient certaines données. Continuité et changements imposent ainsi à la réflexion un double souci, celui de la permanence de certaines lignes de force, celui des novations qui tiennent pour les unes aux hommes, pour les autres à la logique des événements eux-mêmes. C’est particulièrement vrai pour certaines des questions qui concernent directement l’Europe. Lire les premières lignes
La venue à Moscou du 28 au 31 mars 1977 du secrétaire d’État américain marquait pour la nouvelle administration la reprise des relations avec l’Union soviétique ; l’échéance d’octobre 1977 pour les négociations sur la limitation des armements stratégiques (1) justifiait l’importance de cette première rencontre. Lire les premières lignes
Dans les semaines qui ont suivi le voyage à Moscou de M. Cyrus Vance, le secrétaire au Département d’État, les observateurs se sont essentiellement interrogés sur les conséquences de l’échec de la mission américaine. La détente était-elle mise en péril ? Mais au même moment il n’échappait à personne que les États-Unis renouvelaient les gestes de conciliation en direction de la Chine populaire : M. Cyrus Vance n’a-t-il pas tenu à informer personnellement le représentant chinois à Washington. M. Huan Chen, des résultats de son voyage au Kremlin ? N’envisage-t-il pas de se rendre à Pékin au mois de novembre ? Et le président Carter lui-même n’a-t-il pas remis un message au Vice-Premier ministre chinois, M. Li Hsien-Nien, par l’entremise de son fils « Chip » Carter en voyage à Pékin ? Tout cela présage une reprise du dialogue naguère engagé par Henry Kissinger. Lire les premières lignes
Le 32e Salon international de l’aéronautique et de l’Espace qui va se tenir au Bourget du 2 au 12 juin prochain revêt pour nos exportations une importance que l’on ne saurait minimiser si l’on considère les chiffres suivants : en 1975 et 1976 l’industrie aéronautique française a livré pour plus de 17 milliards de francs de matériels. Dans le même temps, elle a enregistré 19 milliards de francs de commandes. Pour 80 % ces exportations concernent des matériels militaires. On conçoit donc que les armées fassent un effort particulier à l’occasion de ce Salon où elles ouvrent des stands constituant en quelque sorte une vitrine de leurs armements et un lieu de contact pour la clientèle potentielle. Notre collaborateur Victor Bréhat rendant compte dans sa chronique aéronautique de la représentation de l’Armée de l’air, nous nous attacherons ici au rôle des diverses directions techniques de la Délégation générale pour l’armement (DGA), celles des constructions aéronautiques (DTCA), des constructions navales (DTCN), des armements terrestres (DTAT) avec son groupement industriel (GIAT), et enfin des engins (DTEn). Lire les premières lignes
Comme toutes les composantes de l’Armée de terre, les troupes de Marine entreprennent des transformations qui ne remettent cependant pas en cause leur caractère interarmes et leur vocation à servir outre-mer. Lire la suite
Le 18 mars dernier, le ministre de la Défense du Canada annonçait qu’il prévoyait l’achat de 130 à 150 nouveaux appareils de chasse polyvalents et à haute performance. Ces chasseurs sont destinés à remplacer partiellement le CF-104 et le CF-101 en service depuis les années 1950 et 1960 et d’autre part le CF-5 qui, au cours de la prochaine décennie, sera utilisé comme avion d’entraînement avancé et de perfectionnement. Lire les premières lignes
Le gouvernement canadien a récemment adopté un plan visant à renouveler et moderniser sa flotte. Celle-ci comprend essentiellement : Lire les premières lignes
L’Afrique modérée est-elle vraiment délaissée face aux menées subversives soviéto-cubaines ? La léthargie des puissances occidentales et principalement des États-Unis depuis l’affaire angolaise était-elle irrémédiable ? Trop souvent démunis, faute de solidarité, les États les plus pondérés du continent allaient-ils devoir s’en remettre « au rôle stabilisateur des forces cubaines », pour reprendre les propres termes de l’ambassadeur américain aux Nations unies, Andrew Young ? L’Afrique allait-elle tout entière être soumise à l’ordre qui règne à Varsovie et Prague ? La théorie des dominos… Elle redevenait d’actualité mais cette fois dans les capitales africaines. Et principalement à Dakar où le président Senghor se refuse toujours à reconnaître la République d’Angola, à Dakar où était convoquée les 20 et 21 avril la quatrième Conférence franco-africaine. Lire les premières lignes
* Pour les États-Unis, la session spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur le désarmement doit avoir pour objectif l’ouverture de négociations multilatérales concrètes sur la question, notamment en établissant une politique des budgets militaires et en élaborant un système de médiation en cas de crises. Une communication en ce sens a été remise fin avril par Washington au siège des Nations Unies. Celle session spéciale est prévue pour juin 1978. Lire la suite
Bibliographie
Déchiffrer notre destinée… Lire la suite
À la parution de ce livre, en janvier dernier, la grande presse ne retint pas le point d’interrogation qui ponctuait le titre mais la réponse affirmative qui se dégageait de l’ouvrage du commandant de la 16e Division des forces belges en Allemagne. Celui-ci attirait l’attention sur le déséquilibre qui est en train de s’accentuer entre les forces classiques des Occidentaux et celles du Pacte de Varsovie. La parité nucléaire à laquelle sont parvenus Soviétiques et Américains rend à ces forces toute leur importante. La réponse nucléaire stratégique de Washington à une agression limitée qui ne s’en prendrait pas directement aux intérêts vitaux américains peut être mise en doute. Dans le même temps, la vigilance des Européens de l’Ouest semble s’assoupir dans le climat de la détente et ils ont tendance à relâcher leur effort, certains d’entre eux réduisant leurs forces et la durée de leurs services militaires. Si nous continuons sur cette lancée, l’Europe deviendra un jour une proie tentante dont l’adversaire croira pouvoir se saisir sans risque dans un coup de main audacieux déclenché par surprise. Lire la suite
Contrairement à certains stratèges qui mettent en doute l’utilité de l’arme nucléaire tactique, ce petit ouvrage est un véritable plaidoyer en sa faveur et pour la création de forces aéromobiles. L’auteur estime en effet qu’à l’heure actuelle les moyens d’agir dont dispose la France « sont si exclusivement orientés qu’en dehors du cas extrême, ils sont inutilisables. » Certes notre dispositif de défense est loin d’être inefficace, mais Philippe Debas nous assure qu’on peut tout perdre sans avoir rien risqué : « l’adversaire sur le Rhin respectera notre territoire et nous imposera sa loi. » Dans de telles conditions, encore accentuées par la technicité des armes modernes, l’armée de conscription n’est plus d’usage. Il faut, aux yeux de l’auteur, une armée de professionnels. Une armée qu’il définit ainsi : « Quinze mille hommes aux forces aéromobiles nucléaires et d’intervention : soixante mille à la 1re armée : tous avec leurs services au complet de telle sorte qu’ils puissent s’engager dans l’instant… ». Car pour Philippe Debas la France ne peut se permettre de courir le risque d’une mobilisation étalée dans le temps, elle doit peser à bref délai dans le déroulement des opérations. Lire la suite
25 février 1948 : pour la deuxième fois dans sa vie un homme d’État, le président Benes, va devoir céder à un coup de force et signer une capitulation. En 1948 il a dû s’incliner devant le diktat de Munich, signal du démembrement de son pays. Dix ans plus tard, malade, aux bords de la tombe même puisqu’il mourra le 3 septembre 1948, épuisé par les assauts réitérés de son président du Conseil le communiste Klement Gottwald qui agite devant lui le spectre de la guerre civile et qui a mobilisé la rue avec la complicité de la police, il va signer la liste du nouveau gouvernement que celui-ci lui présente et dans laquelle les communistes se taillent la part du lion. Quinze jours plus tard encore, Jan Masaryk, le fils du fondateur de la Tchécoslovaquie, demeuré à son poste de ministre des Affaires étrangères, mais doublé par le communiste Clementis, se suicidera. Ainsi finit dans la tragédie la démocratie tchécoslovaque. Le 30 mai 1948 les électeurs seront appelés à consacrer ce coup de force en participant à des élections basées sur des listes uniques. Une répression impitoyable s’abattra très vite sur les opposants au nouveau régime et le rideau de fer se refermera sur la Tchécoslovaquie. On sait par ailleurs quel sort tragique sera réservé aux éléments communistes qui, tels Slansky et Clementis, auront déplu au maître du Kremlin et comment les velléités de retour à un socialisme à visage humain seront brisées en 1968 par l’intervention des chars russes et satellites. Lire la suite
Dans le renouveau actuel de l’histoire militaire, des approches originales viennent compléter les études classiques sur les campagnes et les batailles de l’époque moderne. Parmi ces approches, celle du major-général B.P. Hughes retient à juste titre l’attention. L’auteur a tenté de mesurer l’efficacité des armes à feu sur le champ de bataille entre 1630 et 1850, période pendant laquelle les principales de ces armes, le fusil à pierre et le canon à âme lisse, qui se chargeaient par la bouche et tiraient un projectile plein et rond, évoluèrent peu, au moins en ce qui concerne leurs caractéristiques techniques. Ces armes étaient alors le plus souvent servies par des troupes de métier. En deux siècles, les campagnes militaires ont été nombreuses et le major-général Hughes a consulté un vaste et riche ensemble de documents, de données numériques, d’études particulières et d’ouvrages généraux, auxquels sa bibliographie nous renvoie. Lire la suite
Ce petit livre – il n’est petit que par son format – apparaîtra, croyons-nous, à de très nombreux lecteurs pour qui le plaisir de lire n’est pas incompatible avec l’effort de lire, comme un ouvrage d’une grande importance par la densité, l’originalité et la qualité des idées qu’il propose à nos réflexions. De ce point de vue, on regrettera peut-être son caractère légèrement didactique. Sa très riche matière s’accommoderait mieux d’une forme quelque peu plus recherchée ou plus littéraire, ainsi que d’un style et d’une manière plus proches de ceux de Paul Valéry dans « Regards sur le Monde actuel » par exemple. En tout cas, nous nous permettons de suggérer aux lecteurs d’aborder « Europe, terre promise » sans hâte, sans impatience, sans chercher à deviner tout de suite où l’auteur veut en venir et s’il a ou non une arrière-pensée politique. Ce livre, pour être apprécié, ne doit pas être absorbé d’un seul trait. Et, surtout, il ne faut pas y chercher une quelconque réponse – claire, tranchante, définitive – aux préoccupations politiques du moment, ni à l’ensemble des interrogations actuellement englobées dans le terme extrêmement vague de « construction européenne ». Lire la suite
Les ouvrages d’ensemble sur l’histoire des États-Unis rédigés après 1945 étaient rares en Français. L’étude la plus récente était celle de Denise Artaud et André Kaspi (1969), et n’avait été précédée que par celles de Firmin Roz (1949) et de André Maurois (1959). C’est à ce dernier ouvrage que le livre de Lacour-Gayet s’apparente le plus sans prétendre à la même qualité. Lire la suite
Auteur de nombreux reportages sur des sujets variés. Jean Mezerette avait déjà été attiré par ce champ d’affrontement fascinant qu’est l’Atlantique Nord et avait publié en 1960 un ouvrage intitulé « Dans le ciel de l’Atlantique Nord ». Lire la suite
Un recueil des principaux textes et documents ayant marqué le développement des relations franco-soviétiques au cours de la décennie écoulée vient d’être publié simultanément à Moscou et à Paris sous l’égide des ministères des Affaires étrangères de la France et de l’URSS. L’ouvrage Les relations franco-soviétiques est diffusé à Moscou par les éditions Politizdat et à Paris par la Documentation française. Lire la suite
Ouvrages reçus
Robert J. Roux : Les avions civils du monde ; Éditions Larivière, 1977 ; 385 pages
Il n'y a pas d'éditorial pour ce numéro.
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